L'Algérie a été représentée par six pongistes au championnat du monde qui a debuté hier, et ce, jusqu'au 4 mai, à Yokohama, au Japon. L'Algérie a été représentée par six pongistes au championnat du monde qui a debuté hier, et ce, jusqu'au 4 mai, à Yokohama, au Japon. «Si le tennis de table est l'un des symboles de l'identité en Chine, en Algérie ce n'est pas le cas. En effet, en Chine, cette discipline est à la fois très populaire et valorisante, un sport pratiqué dans tous les milieux et à tous les âges, le tennis de table a créé un lien entre les individus, quelle que soit leur classe sociale ». C'est ce qu'a déclaré M. Mesoud Bouheredj, conseiller en sport, et chef de service au sein de la Fédération algérienne de tennis de table lors d'une rencontre hier avec le Midi Libre. M. Bouheredj est aussi entraîneur au lycée sportif de Draria à Alger. Par ailleurs, l'Algérie a été représentée par six pongistes, au championnat du monde qui a debuté hier, et ce, jusqu'au 4 mai, à Yokohama, au Japon. Néanmoins, les participants sont, Boudjadja Sofiane, le champion d'Algérie classé 492 au niveau mondial, il y a aussi Ourahmoun Fatah et Khorta Idir, des joueurs qui s'entraînent en Europe, et Kherouf Samy, y compris les deux filles, Medjoub Souhila et Boulares Fatiha. Ainsi, les chances de l'Algérie dans ce championnat sont très limitées, vu le niveau élevé des autres participants. Entre autres la Chine. « Notre sélection a pris part à ce championnat avec peu de moyens, et avec un effectif insuffisant, et non préparé, tout en sachant qu'une hégémonie a été imposée depuis dix ans par les Chinois, ce pays actuellement dispose de 22 millions de licenciés uniquement en tennis, le chiffre des pratiquants atteint les 100 millions. Alors qu'en Algérie, il n'y a que 1.645 licenciés enregistrés au niveau de la fédération, le nombre des pratiquants ne dépassant pas les 8.000. Notre objectif dans ce championnat, c'est l'amélioration de notre classement ». Questionné sur les raisons de cette situation, notre interlocuteur dira : « Pouvez-vous imaginer une société qui marche sans comptable ? C'est dur. Où est l'équipe de Kouba, de Semar et d'autres bonnes composantes ? Elles ont disparu à cause du manque de moyens et de matériel. Une salle normalement, doit contenir au moins 12 tables, ce qui n'est pas le cas en Algérie. S'ajoute le problème de financement, qui n'est pas équitable. Saviez-vous qu'en Algérie il n'y a que trois équipes qui ont des salles spécialisées ? Saviez-vous aussi que tous ces clubs sont amateurs. On est vraiment devant un dilemme.» «Si le tennis de table est l'un des symboles de l'identité en Chine, en Algérie ce n'est pas le cas. En effet, en Chine, cette discipline est à la fois très populaire et valorisante, un sport pratiqué dans tous les milieux et à tous les âges, le tennis de table a créé un lien entre les individus, quelle que soit leur classe sociale ». C'est ce qu'a déclaré M. Mesoud Bouheredj, conseiller en sport, et chef de service au sein de la Fédération algérienne de tennis de table lors d'une rencontre hier avec le Midi Libre. M. Bouheredj est aussi entraîneur au lycée sportif de Draria à Alger. Par ailleurs, l'Algérie a été représentée par six pongistes, au championnat du monde qui a debuté hier, et ce, jusqu'au 4 mai, à Yokohama, au Japon. Néanmoins, les participants sont, Boudjadja Sofiane, le champion d'Algérie classé 492 au niveau mondial, il y a aussi Ourahmoun Fatah et Khorta Idir, des joueurs qui s'entraînent en Europe, et Kherouf Samy, y compris les deux filles, Medjoub Souhila et Boulares Fatiha. Ainsi, les chances de l'Algérie dans ce championnat sont très limitées, vu le niveau élevé des autres participants. Entre autres la Chine. « Notre sélection a pris part à ce championnat avec peu de moyens, et avec un effectif insuffisant, et non préparé, tout en sachant qu'une hégémonie a été imposée depuis dix ans par les Chinois, ce pays actuellement dispose de 22 millions de licenciés uniquement en tennis, le chiffre des pratiquants atteint les 100 millions. Alors qu'en Algérie, il n'y a que 1.645 licenciés enregistrés au niveau de la fédération, le nombre des pratiquants ne dépassant pas les 8.000. Notre objectif dans ce championnat, c'est l'amélioration de notre classement ». Questionné sur les raisons de cette situation, notre interlocuteur dira : « Pouvez-vous imaginer une société qui marche sans comptable ? C'est dur. Où est l'équipe de Kouba, de Semar et d'autres bonnes composantes ? Elles ont disparu à cause du manque de moyens et de matériel. Une salle normalement, doit contenir au moins 12 tables, ce qui n'est pas le cas en Algérie. S'ajoute le problème de financement, qui n'est pas équitable. Saviez-vous qu'en Algérie il n'y a que trois équipes qui ont des salles spécialisées ? Saviez-vous aussi que tous ces clubs sont amateurs. On est vraiment devant un dilemme.»