Pour afficher leur mécontentement de l'état jugé «impraticable» de la route reliant la municipalité de Bougous au chef lieu de la wilaya d'El Tarf, des chauffeurs de transports, public et privé, ont fermé la route, hier. Ces transports assurent, habituellement, plusieurs rotations par jour vers cette région située à une trentaine de kilomètres d'El Taref. Des lycéens et fonctionnaires ont été ainsi empêché par les contestataires de rejoindre leurs établissements respectifs et leurs postes de travail. Les protestataires ont brûlé, le long de la chaussée, des pneus et placé des objets hétéroclites pour bloquer cette seule voie d'accès vers toutes les autres localités de la wilaya. Même le président d'APC qui s'est déplacé sur les lieux n'a pas réussi à calmer les esprits. Ce n'est que vers quatorze heures que la route a été dégagée et que le trafic routier sur cet axe névralgique a repris. Les automobilistes, par cette protestation, tentent d'attirer l'attention des autorités sur le fait que ces «dos d'ânes placés ont la forme de dos de chameaux» leur causent des désagréments quotidiens. Depuis leur mise en place à la suite de la réfection de la route, leurs véhicules, se plaignent-t-ils, subissent des dégâts importants, conduisant à de nombreuses pannes. A noter que les mouvements de contestation à travers les localités d'El Tarf se multiplient depuis le début de cette année, donnant du fil à retordre aux services de sécurité, obligés d'intervenir à chaque fois pour assurer l'ordre public. Pour afficher leur mécontentement de l'état jugé «impraticable» de la route reliant la municipalité de Bougous au chef lieu de la wilaya d'El Tarf, des chauffeurs de transports, public et privé, ont fermé la route, hier. Ces transports assurent, habituellement, plusieurs rotations par jour vers cette région située à une trentaine de kilomètres d'El Taref. Des lycéens et fonctionnaires ont été ainsi empêché par les contestataires de rejoindre leurs établissements respectifs et leurs postes de travail. Les protestataires ont brûlé, le long de la chaussée, des pneus et placé des objets hétéroclites pour bloquer cette seule voie d'accès vers toutes les autres localités de la wilaya. Même le président d'APC qui s'est déplacé sur les lieux n'a pas réussi à calmer les esprits. Ce n'est que vers quatorze heures que la route a été dégagée et que le trafic routier sur cet axe névralgique a repris. Les automobilistes, par cette protestation, tentent d'attirer l'attention des autorités sur le fait que ces «dos d'ânes placés ont la forme de dos de chameaux» leur causent des désagréments quotidiens. Depuis leur mise en place à la suite de la réfection de la route, leurs véhicules, se plaignent-t-ils, subissent des dégâts importants, conduisant à de nombreuses pannes. A noter que les mouvements de contestation à travers les localités d'El Tarf se multiplient depuis le début de cette année, donnant du fil à retordre aux services de sécurité, obligés d'intervenir à chaque fois pour assurer l'ordre public.