Le Syndicat national des professeurs et docents des sciences médicales (SNPDSM), affirme n'avoir nullement été mis au courrant des dispositions prises lors de réunion, mardi passé, ayant regroupé les deux ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. «Je n'ai pris connaissance de la tenue de cette réunion qu'en écoutant les informations diffusées sur la Radio nationale», s'étonne M. Djidjli, secrétaire général du SNPDSM. Pour lui, cette rencontre était «purement technique» et est loin de «satisfaire les revendications de la corporation». «Si la tutelle voulait vraiment mettre fin au débrayage dans le secteur et au marasme qui y règne actuellement c'est à nous qu'il aurait fallu qu'elle s'adresse», estime-t-il. En plus de l'empêchement de la tenue des examens prévus pour samedi prochain, le SNPDSM avait décidé, également, de reprendre le mouvement de grève cyclique de trois jours, ceci dans l'ensemble des facultés de médecine à travers le territoire national à partir des 11,12 et 13 mai prochain. Une décision qui a fini par faire réagir la tutelle. En effet, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS) Rachid Haraoubia et le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Saïd Barkat, avaient affirmé «l'entière disponibilité» de leurs secteurs à prendre en charge les préoccupations des personnels hospitalo-universitaires. Dans un communiqué conjoint rendu public, ces deux départements affirment qu'une réunion plénière avec des présidents de Comités pédagogiques nationaux de spécialité en sciences médicales (CPNS), a été tenue mardi passé. Une rencontre lors de laquelle les différentes parties ont afirmé être disponible à «axer leurs efforts conjoints dans l'amélioration des conditions de la formation universitaire et des activités hospitalières et universitaires des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires» Les deux ministres se sont également engagés, poursuit la missive, à «explorer toutes les voies et à mobiliser tous les moyens qui garantissent la stabilité de ces personnels et d'assurer leur progression dans leur carrière hospitalière et universitaire». «La concertation à tous les niveaux en vue de la prise en charge des problèmes qui se posent à la communauté scientifique hospitalo-universitaire nationale, partie intégrante de l'élite nationale, est indispensable», affirment les deux membres du gouvernement lors de cette réunion. Ils ont ainsi assuré aux présidents des CNPS «leur engagement à ne ménager aucun effort pour résoudre les problèmes qui se posent à la communauté hospitalière et universitaire dans l'accomplissement de sa double mission de formation et de soins, au niveau des établissements et structures hospitalo-universitaires et notamment dans la perspective de réalisation et de réception d'un important réseau d'établissements hospitaliers, programmés dans le cadre du programme quinquennal de développement du secteur de la santé». L'ordre du jour inscrit, portait, indique encore le communiqué, sur l'examen de projets de textes dont un projet d'arrêté ministériel relatif à l'organisation des enseignements et des modalités d'évaluations et des progression du cycle de formation en vue de l'obtention du Diplôme d'études médicales spécialisées (DEMS). Elle a également été l'occasion d'examiner le projet de texte relatif à la modification de l'arrêté ministériel n°101 du 11octobre 2006 relatif à l'organisation et au fonctionnement des Comités pédagogiques nationaux (CPN) et des Comités pédagogiques régionaux (CPR) de spécialité en sciences médicales. La réunion a permis, aussi, de lancer la concertation en vue de la création d'un diplôme de sur-spécialité médicale appelé «Diplôme inter-universitaire» (DIU) ou «Diplôme de surspécialité» (DS), à la lumière des dispositions du statut particulier des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires. Le Syndicat national des professeurs et docents des sciences médicales (SNPDSM), affirme n'avoir nullement été mis au courrant des dispositions prises lors de réunion, mardi passé, ayant regroupé les deux ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. «Je n'ai pris connaissance de la tenue de cette réunion qu'en écoutant les informations diffusées sur la Radio nationale», s'étonne M. Djidjli, secrétaire général du SNPDSM. Pour lui, cette rencontre était «purement technique» et est loin de «satisfaire les revendications de la corporation». «Si la tutelle voulait vraiment mettre fin au débrayage dans le secteur et au marasme qui y règne actuellement c'est à nous qu'il aurait fallu qu'elle s'adresse», estime-t-il. En plus de l'empêchement de la tenue des examens prévus pour samedi prochain, le SNPDSM avait décidé, également, de reprendre le mouvement de grève cyclique de trois jours, ceci dans l'ensemble des facultés de médecine à travers le territoire national à partir des 11,12 et 13 mai prochain. Une décision qui a fini par faire réagir la tutelle. En effet, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS) Rachid Haraoubia et le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Saïd Barkat, avaient affirmé «l'entière disponibilité» de leurs secteurs à prendre en charge les préoccupations des personnels hospitalo-universitaires. Dans un communiqué conjoint rendu public, ces deux départements affirment qu'une réunion plénière avec des présidents de Comités pédagogiques nationaux de spécialité en sciences médicales (CPNS), a été tenue mardi passé. Une rencontre lors de laquelle les différentes parties ont afirmé être disponible à «axer leurs efforts conjoints dans l'amélioration des conditions de la formation universitaire et des activités hospitalières et universitaires des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires» Les deux ministres se sont également engagés, poursuit la missive, à «explorer toutes les voies et à mobiliser tous les moyens qui garantissent la stabilité de ces personnels et d'assurer leur progression dans leur carrière hospitalière et universitaire». «La concertation à tous les niveaux en vue de la prise en charge des problèmes qui se posent à la communauté scientifique hospitalo-universitaire nationale, partie intégrante de l'élite nationale, est indispensable», affirment les deux membres du gouvernement lors de cette réunion. Ils ont ainsi assuré aux présidents des CNPS «leur engagement à ne ménager aucun effort pour résoudre les problèmes qui se posent à la communauté hospitalière et universitaire dans l'accomplissement de sa double mission de formation et de soins, au niveau des établissements et structures hospitalo-universitaires et notamment dans la perspective de réalisation et de réception d'un important réseau d'établissements hospitaliers, programmés dans le cadre du programme quinquennal de développement du secteur de la santé». L'ordre du jour inscrit, portait, indique encore le communiqué, sur l'examen de projets de textes dont un projet d'arrêté ministériel relatif à l'organisation des enseignements et des modalités d'évaluations et des progression du cycle de formation en vue de l'obtention du Diplôme d'études médicales spécialisées (DEMS). Elle a également été l'occasion d'examiner le projet de texte relatif à la modification de l'arrêté ministériel n°101 du 11octobre 2006 relatif à l'organisation et au fonctionnement des Comités pédagogiques nationaux (CPN) et des Comités pédagogiques régionaux (CPR) de spécialité en sciences médicales. La réunion a permis, aussi, de lancer la concertation en vue de la création d'un diplôme de sur-spécialité médicale appelé «Diplôme inter-universitaire» (DIU) ou «Diplôme de surspécialité» (DS), à la lumière des dispositions du statut particulier des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires.