Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a rouvert, hier à Alger, le jardin d'essai d'El Hamma. Le public, à partir de dimanche prochain, retrouvera cet espace de verdure après d'importants travaux de réhabilitation entamés en 2004. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a rouvert, hier à Alger, le jardin d'essai d'El Hamma. Le public, à partir de dimanche prochain, retrouvera cet espace de verdure après d'importants travaux de réhabilitation entamés en 2004. Des travaux qui ont touché les espaces plantés, les infrastructures et l'espace réservé au zoo, visant à redonner leurs justes valeurs à la préservation des ressources naturelles. Durant un peu plus d'une heure, M. Bouteflika a parcouru à pied les différentes allées du jardin. Une randonné qu'il a entamé à partir du «Jardin à la française» agréablement réaménagé avec des tracés réguliers et symétriques présentant deux grands miroirs d'eau. Il s'est ensuite dirigé vers le «Jardin à l'anglaise» dont les allées sont sinueuses avec des contours irréguliers, des parcelles et une végétation dense d'origine tropicale ou subtropicale. Ce jardin est doté d'un grand bassin dans lequel vivent des plantes et espèces animales aquatiques et d'où émerge un petit îlot exotique. M. Bouteflika a également visité les carrés de collections au sein desquels sont implantés des carrés de floriculture expérimentale, des pépinières, des serres et de la rocaille mexicaine. L'établissement dispose aussi d'un séminarium et d'un laboratoire de culture in-vitro. D'autres infrastructures situées à l'intérieur du jardin ont été également visitées par le chef de l'Etat. Il s'agit notamment de l'école d'horticulture, l'école d'éducation à l'environnement et la clinique vétérinaire. Il s'est également longuement attardé au jardin zoologique disposant d'une trentaine d'espèces animales entre lions, léopards, cerfs, gazelles, oiseaux de tous genres, ours, etc. Une présence très riche comparativement à 2005 période durant laquelle un seul animal y résidait, un condor parmi les plus vieux au monde. En tout, ce sont plus de 3.000 essences différentes qui évoluent dans cet espace paradisiaque de la capitale dont le décor est agréablement embelli par des allées ornées de ficus, de pacaniers et de palmiers recouvrant de leurs ombrages une bonne partie des enclos. Plusieurs arbres, dont certains dépassant les 15 mètres de hauteur subsistent encore, certains datent de 1847. Des bancs en fonte et des banquettes ont été également installés dans différents endroits du jardin au titre de la réhabilitation. Le Jardin d'Essai, possédant le statut d'une entreprise publique à caractère administratif, a été créé en 1832 et les aménagements actuels ont été dessinés, en 1929, par l'architecte français Régnier. Les travaux ont été réalisés en collaboration avec des experts français en botanique dans le cadre de la coopération entre la wilaya d'Alger et la mairie de Paris. Auparavant, le président Bouteflika s'est également rendu, durant la même matinée, au port d'Alger où il s'est recueilli à la mémoire des 200 victimes de l'attentat à l'explosif du 2 mai 1962, perpétré par l'Organisation armée secrète (OAS). Des travaux qui ont touché les espaces plantés, les infrastructures et l'espace réservé au zoo, visant à redonner leurs justes valeurs à la préservation des ressources naturelles. Durant un peu plus d'une heure, M. Bouteflika a parcouru à pied les différentes allées du jardin. Une randonné qu'il a entamé à partir du «Jardin à la française» agréablement réaménagé avec des tracés réguliers et symétriques présentant deux grands miroirs d'eau. Il s'est ensuite dirigé vers le «Jardin à l'anglaise» dont les allées sont sinueuses avec des contours irréguliers, des parcelles et une végétation dense d'origine tropicale ou subtropicale. Ce jardin est doté d'un grand bassin dans lequel vivent des plantes et espèces animales aquatiques et d'où émerge un petit îlot exotique. M. Bouteflika a également visité les carrés de collections au sein desquels sont implantés des carrés de floriculture expérimentale, des pépinières, des serres et de la rocaille mexicaine. L'établissement dispose aussi d'un séminarium et d'un laboratoire de culture in-vitro. D'autres infrastructures situées à l'intérieur du jardin ont été également visitées par le chef de l'Etat. Il s'agit notamment de l'école d'horticulture, l'école d'éducation à l'environnement et la clinique vétérinaire. Il s'est également longuement attardé au jardin zoologique disposant d'une trentaine d'espèces animales entre lions, léopards, cerfs, gazelles, oiseaux de tous genres, ours, etc. Une présence très riche comparativement à 2005 période durant laquelle un seul animal y résidait, un condor parmi les plus vieux au monde. En tout, ce sont plus de 3.000 essences différentes qui évoluent dans cet espace paradisiaque de la capitale dont le décor est agréablement embelli par des allées ornées de ficus, de pacaniers et de palmiers recouvrant de leurs ombrages une bonne partie des enclos. Plusieurs arbres, dont certains dépassant les 15 mètres de hauteur subsistent encore, certains datent de 1847. Des bancs en fonte et des banquettes ont été également installés dans différents endroits du jardin au titre de la réhabilitation. Le Jardin d'Essai, possédant le statut d'une entreprise publique à caractère administratif, a été créé en 1832 et les aménagements actuels ont été dessinés, en 1929, par l'architecte français Régnier. Les travaux ont été réalisés en collaboration avec des experts français en botanique dans le cadre de la coopération entre la wilaya d'Alger et la mairie de Paris. Auparavant, le président Bouteflika s'est également rendu, durant la même matinée, au port d'Alger où il s'est recueilli à la mémoire des 200 victimes de l'attentat à l'explosif du 2 mai 1962, perpétré par l'Organisation armée secrète (OAS).