Ces vestiges, dont une grande partie se trouve en dessous des décombres accumulés au fil des siècles par les bouleversements de la nature, tels les éboulements montrent qu'il s'agissait d'une caserne militaire et de postes avancés. Ces vestiges, dont une grande partie se trouve en dessous des décombres accumulés au fil des siècles par les bouleversements de la nature, tels les éboulements montrent qu'il s'agissait d'une caserne militaire et de postes avancés. Des ruines datant de l'époque romaine, situées sur la montagne dite «Mesbah», sur les hauteurs de la commune d'Aokas, à vingt- cinq km à l'est de la wilaya de Béjaïa, demeurent non valorisées et abandonnés à leur triste sort. Pis, ces vestiges, sont, de nos jours, sujets à toute sorte de dépassements par les riverains qui fréquentent les lieux. Le mauvais état des lieux perdure et les autorités locales, y compris la direction de la culture, ne font pas le moindre geste pour préserver ce patrimoine millénaire. Interrogés à ce propos, un responsable du service de protection des sites archéologiques au niveau de la direction de la culture de Bejaia, et un autre de l'APC d'Aokas, promettent de prendre prochainement le dossier en charge en prévoyant d'engager une étude pour son classement au rang des sites protégés, et d'y installer les commodités nécessaires pour son exploitation. Selon les citoyens de «kefrida», un village limitrophe du site, ces vestiges, dont une grande partie se trouve en dessous des décombres entassés au fil des siècles par les bouleversements de la nature, tels que des éboulements montrent qu'il s'agissait d'une caserne militaire et de postes avancés. D'ailleurs, un poste similaire a été érigée, à la même place, par l'armée française, ce qui témoigne de l'importance stratégique militaire de ce point surplombant la bande littorale Est de la wilaya de Béjaia, facilitant ainsi le contrôle les mouvements dans la région. La place est également une zone tampon entre la commune d'Aokas et celle de Bordj Mira, et par la suite une porte vers la wilaya de Sétif, ce qui est avéré un important canal de communication entre les deux régions. Des ruines datant de l'époque romaine, situées sur la montagne dite «Mesbah», sur les hauteurs de la commune d'Aokas, à vingt- cinq km à l'est de la wilaya de Béjaïa, demeurent non valorisées et abandonnés à leur triste sort. Pis, ces vestiges, sont, de nos jours, sujets à toute sorte de dépassements par les riverains qui fréquentent les lieux. Le mauvais état des lieux perdure et les autorités locales, y compris la direction de la culture, ne font pas le moindre geste pour préserver ce patrimoine millénaire. Interrogés à ce propos, un responsable du service de protection des sites archéologiques au niveau de la direction de la culture de Bejaia, et un autre de l'APC d'Aokas, promettent de prendre prochainement le dossier en charge en prévoyant d'engager une étude pour son classement au rang des sites protégés, et d'y installer les commodités nécessaires pour son exploitation. Selon les citoyens de «kefrida», un village limitrophe du site, ces vestiges, dont une grande partie se trouve en dessous des décombres entassés au fil des siècles par les bouleversements de la nature, tels que des éboulements montrent qu'il s'agissait d'une caserne militaire et de postes avancés. D'ailleurs, un poste similaire a été érigée, à la même place, par l'armée française, ce qui témoigne de l'importance stratégique militaire de ce point surplombant la bande littorale Est de la wilaya de Béjaia, facilitant ainsi le contrôle les mouvements dans la région. La place est également une zone tampon entre la commune d'Aokas et celle de Bordj Mira, et par la suite une porte vers la wilaya de Sétif, ce qui est avéré un important canal de communication entre les deux régions.