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Session de formation pour les médecins algériens
Commission nationale du Droit international humanitaire
Publié dans Le Midi Libre le 04 - 05 - 2009

Des médecins de différentes spécialités ont bénéficié hier, à Alger d'une session de formation sur le droit international humanitaire (DIH) dans le cadre des activités de la commission nationale du DIH créée conformément au décret présidentiel du 4 juin 2008.
Organisée pour la première fois par le ministère de la Justice au profit d'une centaine de médecins, cette session vise à faire connaître le DIH, à travers des définitions, ses différentes sources, son évolution et son rapport avec le droit international des droits de l'homme en particulier. Cette rencontre a également pour objectif d'informer les médecins sur leur rôle dans les conflits armés ainsi que sur les règles de protection qui les régissent et qui s'appliquent aux malades et aux blessés. Elle était l'occasion aussi pour la vulgarisation du cadre juridique principal dans le cadre du droit international humanitaire à savoir les quatre conventions de Genève de 1949 ainsi que les accords de la Haye. Il est en outre question, selon les organisateurs, de faire connaître la commission nationale du DIH qui est un organe consultatif permanent chargé d'assister les pouvoirs publics en leur prodiguant des idées et des études dans toutes les questions liées au DIH. Cette commission présidée par le ministre de la Justice, garde des sceaux se compose de représentants de différentes institutions concernées par le DIH.
Cette session est encadrée par des experts algériens et étrangers de différentes spécialités en relation avec le DIH.
Les interventions ont été axées sur la définition du DIH, ses mécanismes d'exécution internationaux et nationaux, sa relation avec les droits de l'homme, ainsi que le rôle du médecin et les activités du comité international de la Croix rouge (CICR) en Algérie. Les intervenant ont souligné, dans ce contexte, que le DIH qui a ratifié une série de conventions visant à éliminer les effets des guerres sur les êtres et l'environnement, engage les pays signataires et reflète des valeurs suprêmes véhiculées par les lois divines.
Ces règles et principes universels sont avalisés par la communauté internationale à travers la ratification des conventions y afférent ou considérés dans leur ensemble comme des lois coutumières qui s'appliquent à tous.
Le droit international, ont estimé les intervenants, nécessite l'intensification des efforts nationaux, régionaux et internationaux pour activer ses dispositions et rendre leur application effective.
Les conventions du DIH, faut-il le souligner, renferment des règles générales et laissent le soin aux pays membres de prendre les dispositions nécessaires au plan national pour activer les mécanismes de respect des règles au moyen de législations nationales.
Des médecins de différentes spécialités ont bénéficié hier, à Alger d'une session de formation sur le droit international humanitaire (DIH) dans le cadre des activités de la commission nationale du DIH créée conformément au décret présidentiel du 4 juin 2008.
Organisée pour la première fois par le ministère de la Justice au profit d'une centaine de médecins, cette session vise à faire connaître le DIH, à travers des définitions, ses différentes sources, son évolution et son rapport avec le droit international des droits de l'homme en particulier. Cette rencontre a également pour objectif d'informer les médecins sur leur rôle dans les conflits armés ainsi que sur les règles de protection qui les régissent et qui s'appliquent aux malades et aux blessés. Elle était l'occasion aussi pour la vulgarisation du cadre juridique principal dans le cadre du droit international humanitaire à savoir les quatre conventions de Genève de 1949 ainsi que les accords de la Haye. Il est en outre question, selon les organisateurs, de faire connaître la commission nationale du DIH qui est un organe consultatif permanent chargé d'assister les pouvoirs publics en leur prodiguant des idées et des études dans toutes les questions liées au DIH. Cette commission présidée par le ministre de la Justice, garde des sceaux se compose de représentants de différentes institutions concernées par le DIH.
Cette session est encadrée par des experts algériens et étrangers de différentes spécialités en relation avec le DIH.
Les interventions ont été axées sur la définition du DIH, ses mécanismes d'exécution internationaux et nationaux, sa relation avec les droits de l'homme, ainsi que le rôle du médecin et les activités du comité international de la Croix rouge (CICR) en Algérie. Les intervenant ont souligné, dans ce contexte, que le DIH qui a ratifié une série de conventions visant à éliminer les effets des guerres sur les êtres et l'environnement, engage les pays signataires et reflète des valeurs suprêmes véhiculées par les lois divines.
Ces règles et principes universels sont avalisés par la communauté internationale à travers la ratification des conventions y afférent ou considérés dans leur ensemble comme des lois coutumières qui s'appliquent à tous.
Le droit international, ont estimé les intervenants, nécessite l'intensification des efforts nationaux, régionaux et internationaux pour activer ses dispositions et rendre leur application effective.
Les conventions du DIH, faut-il le souligner, renferment des règles générales et laissent le soin aux pays membres de prendre les dispositions nécessaires au plan national pour activer les mécanismes de respect des règles au moyen de législations nationales.


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