Depuis le 2 mai, dans la commune de Taghit, des associatons de Béchar, Adrar, Tindouf et Naâma bénéficient d'une formation de 5 jours. Intitulée "Gestion du cycle de projet" (GCP), cette formation est organisée par l'Union européenne en partenariat avec le ministère de la Solidarité. Depuis le 2 mai, dans la commune de Taghit, des associatons de Béchar, Adrar, Tindouf et Naâma bénéficient d'une formation de 5 jours. Intitulée "Gestion du cycle de projet" (GCP), cette formation est organisée par l'Union européenne en partenariat avec le ministère de la Solidarité. L'encadrement des présidents d'associations est assuré par des experts principaux de l'Unité d'Appui au Projet (UAP), par des experts animateurs régionaux et par des assesseurs. Ce séminaires est organisé dans le cadre du projet ONG II qui couvre les 48 wilaya du pays. Il est la seconde phase du projet d'appui aux associations algeriennes de développement (ONG I) et a pour objectifs de renforcer les capacités opérationnelles des associations, de donner un appui institutionnement à l'Agence de Développement Social et aux collectivités locales pour la mise en place d'un encadrement incitatif à la création et au fonctionnement des associations. Favoriser la mise en réseau des associations est également l'un des grands objectifs proclamés par ONG II qui a démarré en septembre 2006. «Nous assistons à une véritable explosion du mouvement associatif. Dans le même temps, les intéressés sont de plus en plus consommateurs de formations et de moins en moins de subventons», a déclaré Mme Jessica Northey, qui avec, Mme Assia Harbi et M.Boucebci Téric, assurent l'expertise du projet. «Nous formons les concernés à s'acquitter avec succés des différentes étapes de création d'un projet associatif pour qu'il soit recevable par l'Union européenne qui investit 9 millions d'euros sur un budjet global qui en compte dix. Le reste du financement est assuré par le ministère de la Solidarité», a déclaré M.Boucebsi, qui ajoute que de nombreux projets sont très intéressants mais sont rejetés pour mauvaise formulation. Le projet, présenté par une note succincte de trois pages, est classé et présenté deux fois à différents assesseurs du comité d'évaluation. Double analyse pour avoir l'avis le plus fin possible. A ce stade, certains projets sont rejetés. C'est ensuite l'analyse de tout le dossier qui est faite. Le projet est alors coté et inscrit dans l'enveloppe dédiée. A ce stade une évaluation financière est fixée. «Il va de soi que le projet ONG II exclut les associations à caractère politique, syndical, corporatiste ou religieux. Il soutient et promeut les associations et les incite à travailler avec les pouvoirs publics. La loi 90-31 est très ouverte et offre des champs d'action variés», a déclaré M. Boucebsi qui se félicite de l'excellente dynamique qui existe dans les régions sud du pays. «L'élement féminin est très présent, et les bénéficiaires n'ont pas hésité à venir de très loin, alors que dans le nord, le déplacement de Blida à Alger posait problème.» Les femmes sont, en effet, très présentes à ce stage et les stagiaires contactées par nos soins font preuve d'un bel enthousiasme. Mme Fatima Zohra, mère de quatre enfants et présidente de l'Association sociale de solidarité avec la femme rurale d'Adrar, a déclaré avoir réussi à convaincre son environnement familial pour pouvoir accéder à la formation. Idem pour Melle Bendris Zohra de l'Association nationale de développement du travail régional de Béchar et pour Mme Hamou Salah Zohra de l'Association Chouâa El Amel d'Adrar. Quant à Melle Oum El Kheir Chaib de l'association de développement de la femme rurale de Timimoun, âgée de 23 ans, son dynamisme et sa jolie frimousse sont en train d'en faire la mascotte du séminaire. Après des heures d'ateliers menés à un rythme intensif, les stagiaires ont été heureux de se délasser en appréciant la soirée de musique organisée dans le cadre du troisième festival de la musique Diwane, dont deux troupes se sont produites dimanche à Taghit. L'encadrement des présidents d'associations est assuré par des experts principaux de l'Unité d'Appui au Projet (UAP), par des experts animateurs régionaux et par des assesseurs. Ce séminaires est organisé dans le cadre du projet ONG II qui couvre les 48 wilaya du pays. Il est la seconde phase du projet d'appui aux associations algeriennes de développement (ONG I) et a pour objectifs de renforcer les capacités opérationnelles des associations, de donner un appui institutionnement à l'Agence de Développement Social et aux collectivités locales pour la mise en place d'un encadrement incitatif à la création et au fonctionnement des associations. Favoriser la mise en réseau des associations est également l'un des grands objectifs proclamés par ONG II qui a démarré en septembre 2006. «Nous assistons à une véritable explosion du mouvement associatif. Dans le même temps, les intéressés sont de plus en plus consommateurs de formations et de moins en moins de subventons», a déclaré Mme Jessica Northey, qui avec, Mme Assia Harbi et M.Boucebci Téric, assurent l'expertise du projet. «Nous formons les concernés à s'acquitter avec succés des différentes étapes de création d'un projet associatif pour qu'il soit recevable par l'Union européenne qui investit 9 millions d'euros sur un budjet global qui en compte dix. Le reste du financement est assuré par le ministère de la Solidarité», a déclaré M.Boucebsi, qui ajoute que de nombreux projets sont très intéressants mais sont rejetés pour mauvaise formulation. Le projet, présenté par une note succincte de trois pages, est classé et présenté deux fois à différents assesseurs du comité d'évaluation. Double analyse pour avoir l'avis le plus fin possible. A ce stade, certains projets sont rejetés. C'est ensuite l'analyse de tout le dossier qui est faite. Le projet est alors coté et inscrit dans l'enveloppe dédiée. A ce stade une évaluation financière est fixée. «Il va de soi que le projet ONG II exclut les associations à caractère politique, syndical, corporatiste ou religieux. Il soutient et promeut les associations et les incite à travailler avec les pouvoirs publics. La loi 90-31 est très ouverte et offre des champs d'action variés», a déclaré M. Boucebsi qui se félicite de l'excellente dynamique qui existe dans les régions sud du pays. «L'élement féminin est très présent, et les bénéficiaires n'ont pas hésité à venir de très loin, alors que dans le nord, le déplacement de Blida à Alger posait problème.» Les femmes sont, en effet, très présentes à ce stage et les stagiaires contactées par nos soins font preuve d'un bel enthousiasme. Mme Fatima Zohra, mère de quatre enfants et présidente de l'Association sociale de solidarité avec la femme rurale d'Adrar, a déclaré avoir réussi à convaincre son environnement familial pour pouvoir accéder à la formation. Idem pour Melle Bendris Zohra de l'Association nationale de développement du travail régional de Béchar et pour Mme Hamou Salah Zohra de l'Association Chouâa El Amel d'Adrar. Quant à Melle Oum El Kheir Chaib de l'association de développement de la femme rurale de Timimoun, âgée de 23 ans, son dynamisme et sa jolie frimousse sont en train d'en faire la mascotte du séminaire. Après des heures d'ateliers menés à un rythme intensif, les stagiaires ont été heureux de se délasser en appréciant la soirée de musique organisée dans le cadre du troisième festival de la musique Diwane, dont deux troupes se sont produites dimanche à Taghit.