A l'orée du troisième millénaire, la capitale algéroise souffre encore de la défaillance ou l'absence d'éclairage public et ce dans plusieurs quartiers. Ce constat se remarque surtout au niveau de la banlieue d'Alger et des nouvelles cités. Parfois si ce dispositif existe, c'est les ampoules qui sont grillées ou les lampadaires qui ont été vandalisés. A titre d'exemple, la nouvelle cité AADL des Bananiers, dans la commune de Mohammadia, est dépourvue de l'éclairage public depuis déjà plusieurs semaines, sans que les services concernés ne daignent se déplacer sur les lieux. De nombreux résidants dans cette cité nous diront que cette obscurité profite aux voleurs et délinquants leur permettant de mettre à exécution leurs coups bas. Les habitants, qui ne se sentent plus en sécurité dès la nuit tombée, redoutent la multiplication des actes de vol et d'agression encouragés par les ténébres complices. Les riverains s'interrogent sur l'inertie des services censés se déplacer pour rétablir l'éclairage public. A El Harrach, localité à forte concentration d'habitants plusieurs quartiers restent dans les ténèbres dès le crépuscule. «D'ailleurs, cette obscurité est la cause du nombre élevé des vols enregistrés dans ces zones», nous dira un policier exerçant dans cette localité. Il nous dira également : «Plusieurs appartements de cette cité ont été visités par des cambrioleurs à la faveur de l'obscurité. Ils profitent de l'absence de l'éclairage, après avoir repéré, dans la journée, les appartements désertés par leurs locataires». Les quartiers d'Alger-Centre ne sont pas mieux lotis on peut citer pour l'exemple la rue Mokhtar-Benhadidh, à la Place des Martyrs, qui souffre et ce depuis plusieurs années de l'absence de l'éclairage public, le problème reste à ce jour irrésolu en dépit des appels incessants des résidants. Les habitants, qui lancent un appel aux services concernés, estiment que l'installation de l'éclairage public dans leur quartier contribuerait à y ramener la sécurité. Alors pour quand une capitale qui brillera de mille feux pour les noctambules ou simplement pour la sécurité de ses habitants. A l'orée du troisième millénaire, la capitale algéroise souffre encore de la défaillance ou l'absence d'éclairage public et ce dans plusieurs quartiers. Ce constat se remarque surtout au niveau de la banlieue d'Alger et des nouvelles cités. Parfois si ce dispositif existe, c'est les ampoules qui sont grillées ou les lampadaires qui ont été vandalisés. A titre d'exemple, la nouvelle cité AADL des Bananiers, dans la commune de Mohammadia, est dépourvue de l'éclairage public depuis déjà plusieurs semaines, sans que les services concernés ne daignent se déplacer sur les lieux. De nombreux résidants dans cette cité nous diront que cette obscurité profite aux voleurs et délinquants leur permettant de mettre à exécution leurs coups bas. Les habitants, qui ne se sentent plus en sécurité dès la nuit tombée, redoutent la multiplication des actes de vol et d'agression encouragés par les ténébres complices. Les riverains s'interrogent sur l'inertie des services censés se déplacer pour rétablir l'éclairage public. A El Harrach, localité à forte concentration d'habitants plusieurs quartiers restent dans les ténèbres dès le crépuscule. «D'ailleurs, cette obscurité est la cause du nombre élevé des vols enregistrés dans ces zones», nous dira un policier exerçant dans cette localité. Il nous dira également : «Plusieurs appartements de cette cité ont été visités par des cambrioleurs à la faveur de l'obscurité. Ils profitent de l'absence de l'éclairage, après avoir repéré, dans la journée, les appartements désertés par leurs locataires». Les quartiers d'Alger-Centre ne sont pas mieux lotis on peut citer pour l'exemple la rue Mokhtar-Benhadidh, à la Place des Martyrs, qui souffre et ce depuis plusieurs années de l'absence de l'éclairage public, le problème reste à ce jour irrésolu en dépit des appels incessants des résidants. Les habitants, qui lancent un appel aux services concernés, estiment que l'installation de l'éclairage public dans leur quartier contribuerait à y ramener la sécurité. Alors pour quand une capitale qui brillera de mille feux pour les noctambules ou simplement pour la sécurité de ses habitants.