Moussa Salma est convaincu que «seule la lutte armée est à même de permettre au peuple Sahraoui de recouvrer son indépendance». Moussa Salma est convaincu que «seule la lutte armée est à même de permettre au peuple Sahraoui de recouvrer son indépendance». Le Secrétaire général de l'Union Générale de la Jeunesse et des Etudiants du Front Polisario et membre du secrétariat national du Front Polisario, Moussa Salma, est convaincu que «seule la lutte armée est à même de permettre au peuple Sahraoui de recouvrer son indépendance». Le représentant de la jeunesse du Front Polisario qui rencontrait, hier, les journalistes de la presse nationale au siège du CNASPS (Comité Algérien de Solidarité avec le Peuple Sahraoui), dans le cadre d'un périple consacré à la sensibilisation des populations maghrébines et européennes à la cause sahraoui, a souligné qu' «un débat» est engagé sur cette option, qui est en définitive une «exigence» entre la jeunesse Sahraoui et les dirigeants du Front Polisario, avouant qu' «il n'y avait rien à attendre de nouveau des responsables marocains». Pour le dirigeant de la jeunesse sahraoui, «les jeunes Sahraouis sont prêts à reprendre les armes pour libérer le Sahara Occidental, occupé par les forces marocaines», dénonçant l'adoption par le Conseil de Sécurité de l'ONU de la résolution 1871 demandant aux parties de poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général, sans conditions préalables et de bonne foi, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. Le premier responsable de la jeunesse Sahraoui estime que le Conseil de Sécurité de l'Onu «n'est pas neutre» et adresse de sévères critiques aux puissances occidentales et particulièrement à la France qui, selon les propos de son représentant à l'ONU, Jean-Maurice Ripert, «continuait d'attacher la plus haute importance à la proposition d'autonomie du Maroc de 2007, qui constitue, selon lui, une feuille de route crédible dans la mesure où elle respecte le principe d'autodétermination», alors que dans le même temps la question des droits de l'homme dans les territoires occupés par le Maroc a été éludée dans le mandat de la Minurso qui a été prorogé jusqu'au 30 avril 2010. Il est clair pour Moussa Salma que depuis la disparition du Roi Hassan II, le Maroc est revenu sur ses engagements de tenir un référendum d'autodétermination du peuple Sahraoui, soutenu en cela par ses principaux alliés de la région qui «sont obnubilés par la préservation de leurs intérêts au détriment de ceux du peuple Sahraoui», a-t-il souligné, relevant que la région du Sahara Occidentale recèle d'énormes potentialités économiques. Pour lui, il ne faut pas s'attendre à des résultats tangibles, pas plus que les quatre autres, du cinquième round de négociation entre le Front Polisario et le Maroc qui se tiendra à Manhasset (New-York), avouant que le Roi Hassan II avait «peut-être de bonnes intentions de parvenir à une solution juste et durable du conflit sahraoui». Le peuple Sahraoui, selon Moussa Salma, «perd espoir» de voir un jour, une solution juste et durable naître des négociations qui traînent en longueur. Et au premier dirigeant de la jeunesse Sahraouie d'affirmer que l'Armée Sahraoui de Libération qui renferme en son sein «95% de la jeunesse» est prête, sur tous les plans et dans tous les domaines, et déterminée à reprendre les armes pour libérer le territoire sahraoui des mains de l'occupant marocain, avertissant que «ce qui est pris par la force ne peut être repris que par la force». Le Secrétaire général de l'Union Générale de la Jeunesse et des Etudiants du Front Polisario et membre du secrétariat national du Front Polisario, Moussa Salma, est convaincu que «seule la lutte armée est à même de permettre au peuple Sahraoui de recouvrer son indépendance». Le représentant de la jeunesse du Front Polisario qui rencontrait, hier, les journalistes de la presse nationale au siège du CNASPS (Comité Algérien de Solidarité avec le Peuple Sahraoui), dans le cadre d'un périple consacré à la sensibilisation des populations maghrébines et européennes à la cause sahraoui, a souligné qu' «un débat» est engagé sur cette option, qui est en définitive une «exigence» entre la jeunesse Sahraoui et les dirigeants du Front Polisario, avouant qu' «il n'y avait rien à attendre de nouveau des responsables marocains». Pour le dirigeant de la jeunesse sahraoui, «les jeunes Sahraouis sont prêts à reprendre les armes pour libérer le Sahara Occidental, occupé par les forces marocaines», dénonçant l'adoption par le Conseil de Sécurité de l'ONU de la résolution 1871 demandant aux parties de poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général, sans conditions préalables et de bonne foi, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara occidental. Le premier responsable de la jeunesse Sahraoui estime que le Conseil de Sécurité de l'Onu «n'est pas neutre» et adresse de sévères critiques aux puissances occidentales et particulièrement à la France qui, selon les propos de son représentant à l'ONU, Jean-Maurice Ripert, «continuait d'attacher la plus haute importance à la proposition d'autonomie du Maroc de 2007, qui constitue, selon lui, une feuille de route crédible dans la mesure où elle respecte le principe d'autodétermination», alors que dans le même temps la question des droits de l'homme dans les territoires occupés par le Maroc a été éludée dans le mandat de la Minurso qui a été prorogé jusqu'au 30 avril 2010. Il est clair pour Moussa Salma que depuis la disparition du Roi Hassan II, le Maroc est revenu sur ses engagements de tenir un référendum d'autodétermination du peuple Sahraoui, soutenu en cela par ses principaux alliés de la région qui «sont obnubilés par la préservation de leurs intérêts au détriment de ceux du peuple Sahraoui», a-t-il souligné, relevant que la région du Sahara Occidentale recèle d'énormes potentialités économiques. Pour lui, il ne faut pas s'attendre à des résultats tangibles, pas plus que les quatre autres, du cinquième round de négociation entre le Front Polisario et le Maroc qui se tiendra à Manhasset (New-York), avouant que le Roi Hassan II avait «peut-être de bonnes intentions de parvenir à une solution juste et durable du conflit sahraoui». Le peuple Sahraoui, selon Moussa Salma, «perd espoir» de voir un jour, une solution juste et durable naître des négociations qui traînent en longueur. Et au premier dirigeant de la jeunesse Sahraouie d'affirmer que l'Armée Sahraoui de Libération qui renferme en son sein «95% de la jeunesse» est prête, sur tous les plans et dans tous les domaines, et déterminée à reprendre les armes pour libérer le territoire sahraoui des mains de l'occupant marocain, avertissant que «ce qui est pris par la force ne peut être repris que par la force».