La publication du Journal algérien de médecine (JAM), une revue bimestrielle spécialisée en sciences médicales, vient de reprendre après une rupture qui aura duré près de deux années. Créé en 1991 par l'Unité de recherche médicale de la faculté des sciences médicales de Constantine (URMEDCO), le magazine se propose de «contribuer au renom de la médecine algérienne dans les sphères nationale et internationale» et de «traduire les spécificités du vécu médical algérien», a indiqué le Pr Abdelhamid Aberkane, son directeur de la publication. La revue, ouverte aux plumes bénévoles des spécialistes algériens, a été récemment placée dans le giron de l'Agence nationale de développement de la recherche en santé (ANDRS) dont elle est désormais l'organe officiel et ce, «afin de garantir sa pérennité et sa parution régulière tous les deux mois», a précisé le Pr Aberkane. JAM se veut également, a-t-il encore souligné, «un moyen de renforcer la confiance des étudiants envers leurs formateurs, les hospitalo-universitaires, d'échanger des expériences entre praticiens et de valoriser le travail des meilleures équipes algériennes». La reparution du Journal algérien de médecine a également été dictée par «la nécessité d'informer et de proposer des alternatives et des démarches originales et adaptées», a affirmé de son côté le Dr Cherifa Benlatreche, rédactrice en chef de cette revue thématique à but non lucratif, publiée, selon elle, à l'intention des étudiants en médecine et de la communauté scientifique universitaire «pour leur permettre aussi d'avoir accès à des résultats de recherches et à des idées nouvelles». La publication du Journal algérien de médecine (JAM), une revue bimestrielle spécialisée en sciences médicales, vient de reprendre après une rupture qui aura duré près de deux années. Créé en 1991 par l'Unité de recherche médicale de la faculté des sciences médicales de Constantine (URMEDCO), le magazine se propose de «contribuer au renom de la médecine algérienne dans les sphères nationale et internationale» et de «traduire les spécificités du vécu médical algérien», a indiqué le Pr Abdelhamid Aberkane, son directeur de la publication. La revue, ouverte aux plumes bénévoles des spécialistes algériens, a été récemment placée dans le giron de l'Agence nationale de développement de la recherche en santé (ANDRS) dont elle est désormais l'organe officiel et ce, «afin de garantir sa pérennité et sa parution régulière tous les deux mois», a précisé le Pr Aberkane. JAM se veut également, a-t-il encore souligné, «un moyen de renforcer la confiance des étudiants envers leurs formateurs, les hospitalo-universitaires, d'échanger des expériences entre praticiens et de valoriser le travail des meilleures équipes algériennes». La reparution du Journal algérien de médecine a également été dictée par «la nécessité d'informer et de proposer des alternatives et des démarches originales et adaptées», a affirmé de son côté le Dr Cherifa Benlatreche, rédactrice en chef de cette revue thématique à but non lucratif, publiée, selon elle, à l'intention des étudiants en médecine et de la communauté scientifique universitaire «pour leur permettre aussi d'avoir accès à des résultats de recherches et à des idées nouvelles».