Sonatrach, qui aspire à se positionner comme un acteur mondial de l'industrie gazière et pétrolière va, rappelle le P-dg, augmenter ses exportations en gaz naturel et GNL vers l'Europe et le reste du monde, à 85 milliards de M3 par an à l'horizon 2012. Sonatrach, qui aspire à se positionner comme un acteur mondial de l'industrie gazière et pétrolière va, rappelle le P-dg, augmenter ses exportations en gaz naturel et GNL vers l'Europe et le reste du monde, à 85 milliards de M3 par an à l'horizon 2012. Les recettes pétrolières, engrangées par l'Algérie durant les quatre premiers mois de l'année 2009, ont atteint un montant global de 13,1 milliards de dollars, a affirmé, hier, le P-dg de Sonatrach, M. Mohamed Meziane, qui intervenait sur les ondes de la Radio nationale, précisant que le niveau actuel des prix du pétrole sur le marché international, qui oscille entre 57 et 58 dollars le baril, pourrait permettre à Sonatrach d'améliorer ses revenus, notamment, les recettes gazières. Toutefois, tient-il à relever, le prix allant de 70 à 80 dollars est «le prix adéquat pour Sonatrach afin de poursuivre son programme d'investissements». Les capacités de production de pétrole dont dispose l'Algérie actuellement atteignent, selon M. Meziane, 1,45 million de barils/jour alors que sa production effective est de 1,2 mbj en raison de l'application des décisions de réduction de la production, votées par l'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Pour ce qui est des réserves prouvées de l'Algérie en gaz et pétrole, elles sont chiffrées à quelque 40 milliards de barils «dont seulement une petite partie est exploitée par Sonatrach et ses associés». «Ces réserves sont appelées à augmenter à la faveur de l'énorme programme d'investissement consenti par Sonatrach et ses associés dans l'exploration pétrolière», dira-t-il. Rien que pour l'année 2009, Sonatrach et ses associés vont investir un montant de 1,5 milliard de dollars dans l'exploration contre seulement 300 à 400 millions de dollars durant les années précédentes. Sonatrach, qui aspire à se positionner comme un acteur mondial de l'industrie gazière et pétrolière va, rappelle le P-dg, augmenter ses exportations en gaz naturel et GNL vers l'Europe et le reste du monde, à 85 milliards de M3 par an à l'horizon 2012. A une question portant sur le programme d'investissements de Sonatrach, M. Meziane a affirmé que le groupe va «investir 63 milliards de dollars durant le programme quinquennal 2009-2013». Ces investissements concerneront tous les maillons de la chaîne gazière et pétrolière en Algérie et à l'étranger. A l'horizon 2015, Sonatrach compte réaliser 30% de revenus de ses investissements à l'étranger où elle est présente dans 10 pays dont notamment le Pérou, la Mauritanie, la Tunisie, la Libye et l'Egypte. Une programme que l'hôte de la Radio nationale ne manque pas de qualifier d' «ambitieux». D'autant plus que, conclut M. Meziane, ce programme vise également la production de 120.000 tonnes équivalent pétrole (TEP) par jour de ses projets énergétiques développés à l'étranger et l'optimisation de ses réserves d'hydrocarbures à 600 millions de TEP. Les recettes pétrolières, engrangées par l'Algérie durant les quatre premiers mois de l'année 2009, ont atteint un montant global de 13,1 milliards de dollars, a affirmé, hier, le P-dg de Sonatrach, M. Mohamed Meziane, qui intervenait sur les ondes de la Radio nationale, précisant que le niveau actuel des prix du pétrole sur le marché international, qui oscille entre 57 et 58 dollars le baril, pourrait permettre à Sonatrach d'améliorer ses revenus, notamment, les recettes gazières. Toutefois, tient-il à relever, le prix allant de 70 à 80 dollars est «le prix adéquat pour Sonatrach afin de poursuivre son programme d'investissements». Les capacités de production de pétrole dont dispose l'Algérie actuellement atteignent, selon M. Meziane, 1,45 million de barils/jour alors que sa production effective est de 1,2 mbj en raison de l'application des décisions de réduction de la production, votées par l'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Pour ce qui est des réserves prouvées de l'Algérie en gaz et pétrole, elles sont chiffrées à quelque 40 milliards de barils «dont seulement une petite partie est exploitée par Sonatrach et ses associés». «Ces réserves sont appelées à augmenter à la faveur de l'énorme programme d'investissement consenti par Sonatrach et ses associés dans l'exploration pétrolière», dira-t-il. Rien que pour l'année 2009, Sonatrach et ses associés vont investir un montant de 1,5 milliard de dollars dans l'exploration contre seulement 300 à 400 millions de dollars durant les années précédentes. Sonatrach, qui aspire à se positionner comme un acteur mondial de l'industrie gazière et pétrolière va, rappelle le P-dg, augmenter ses exportations en gaz naturel et GNL vers l'Europe et le reste du monde, à 85 milliards de M3 par an à l'horizon 2012. A une question portant sur le programme d'investissements de Sonatrach, M. Meziane a affirmé que le groupe va «investir 63 milliards de dollars durant le programme quinquennal 2009-2013». Ces investissements concerneront tous les maillons de la chaîne gazière et pétrolière en Algérie et à l'étranger. A l'horizon 2015, Sonatrach compte réaliser 30% de revenus de ses investissements à l'étranger où elle est présente dans 10 pays dont notamment le Pérou, la Mauritanie, la Tunisie, la Libye et l'Egypte. Une programme que l'hôte de la Radio nationale ne manque pas de qualifier d' «ambitieux». D'autant plus que, conclut M. Meziane, ce programme vise également la production de 120.000 tonnes équivalent pétrole (TEP) par jour de ses projets énergétiques développés à l'étranger et l'optimisation de ses réserves d'hydrocarbures à 600 millions de TEP.