Une autre affaire liée au terrorisme s'ouvre aujourd'hui à la cour pénale d'Alger. Cette fois-ci, le dossier concerne 26 accusés dont 1 femme, K. L., âgée de 29 ans, poursuivis pour adhésion à un groupe terroriste, trafic d'argent et de sceaux d'institutions de l'Etat, vol et port illégal d'armes à feu. Trois accusés habitant Dely Ibrahim, à Alger, sont accusés de possession d'armes de guerre. Lors de la fouille de la maison de l'un des accusés par les forces de sécurité, des copies de fausses pièces d'identité avec une seule et même photo on été découvertes. Les terroristes ont trafiqué la pièce d'identité en changeant les informations personnelles de l'individu avec une même photo, c'est dire que le terroriste avait plusieurs identités. Après une longue enquête menée par les services de la Police judiciaire, les éléments des forces de sécurité ont pu découvrir et récupérer des sceaux de plusieurs établissements étatiques. Il s'agit du ministère de la Défense, des services des Douanes algériennes, la Banque nationale algérienne, les cachets humides des wilaya d'Alger, Boumerdès, Relizane, les APC de Birkhadem, et de Bir Mourad Rais, la daïra de Bouzaréah, les impôts de Baraki et des timbres de quelques notaires et de directeurs de sociétés privées exerçant dans le domaine de l'importation de voitures. Les accusés ont utilisé les griffes des institutions de l'Etat pour la falsification de papiers au profit des terroristes depuis 2000 jusqu'à leur arrestation et mise en détention en 2006, sachant que quelques accusés ont déjà été poursuivis par la justice pour des affaires de trafic et de falsification de papiers. Les accusés, selon l'enquête, utilisaient du papier carton de différentes couleurs pour trafiquer des pièces d'identité, des cartes grises et des permis de conduire. Les pièces d'identité, les cartes grises, les passeports, les permis de conduire étaient écoulés à 4.000 DA pièce, tandis que les actes de naissance, les certificats de résidence étaient délivrés à 100 DA pièce. Ces crimes ont aidé beaucoup de terroristes à commettre des attentats dans les différentes wilayas citées. Une autre affaire liée au terrorisme s'ouvre aujourd'hui à la cour pénale d'Alger. Cette fois-ci, le dossier concerne 26 accusés dont 1 femme, K. L., âgée de 29 ans, poursuivis pour adhésion à un groupe terroriste, trafic d'argent et de sceaux d'institutions de l'Etat, vol et port illégal d'armes à feu. Trois accusés habitant Dely Ibrahim, à Alger, sont accusés de possession d'armes de guerre. Lors de la fouille de la maison de l'un des accusés par les forces de sécurité, des copies de fausses pièces d'identité avec une seule et même photo on été découvertes. Les terroristes ont trafiqué la pièce d'identité en changeant les informations personnelles de l'individu avec une même photo, c'est dire que le terroriste avait plusieurs identités. Après une longue enquête menée par les services de la Police judiciaire, les éléments des forces de sécurité ont pu découvrir et récupérer des sceaux de plusieurs établissements étatiques. Il s'agit du ministère de la Défense, des services des Douanes algériennes, la Banque nationale algérienne, les cachets humides des wilaya d'Alger, Boumerdès, Relizane, les APC de Birkhadem, et de Bir Mourad Rais, la daïra de Bouzaréah, les impôts de Baraki et des timbres de quelques notaires et de directeurs de sociétés privées exerçant dans le domaine de l'importation de voitures. Les accusés ont utilisé les griffes des institutions de l'Etat pour la falsification de papiers au profit des terroristes depuis 2000 jusqu'à leur arrestation et mise en détention en 2006, sachant que quelques accusés ont déjà été poursuivis par la justice pour des affaires de trafic et de falsification de papiers. Les accusés, selon l'enquête, utilisaient du papier carton de différentes couleurs pour trafiquer des pièces d'identité, des cartes grises et des permis de conduire. Les pièces d'identité, les cartes grises, les passeports, les permis de conduire étaient écoulés à 4.000 DA pièce, tandis que les actes de naissance, les certificats de résidence étaient délivrés à 100 DA pièce. Ces crimes ont aidé beaucoup de terroristes à commettre des attentats dans les différentes wilayas citées.