La cour d'Alger, siégeant en session criminelle, a prononcé la peine de 5 ans de prison ferme à l'encontre de Ben Mohamed Ben Mahmoud Mokhtar, alias Abou Alqama, de nationalité mauritanienne pour «appartenance à un groupe terroriste armé actif en Algérie». Interpellé en janvier 2008 par les forces de sécurité après le bombardement par l'aviation militaire algérienne de trois véhicules transportant plus de 30 terroristes, dans la région d'In Amenas près d'Illizi dans le Sud algérien. Selon l'arrêt de renvoi, le mis en cause a reconnu avoir tenté de joindre l'Irak pour participer à «la guerre sainte», en essayant de transiter clandestinement par l'Algérie. Ce dernier «convaincu» de la justesse du combat en Irak , depuis juillet 2007, avouera être entré en contact avec le dénommé «Abou Aiman» lequel active au sein de groupes terroristes dans les pays du Sahel, qui fut d'ailleurs son recruteur. L'accusé à également reconnu son appartenance à «katibat (phalange) des fatihine» affiliée à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)- ex-groupe salafiste pour la prédication et le combat, (ex-GSPC). Dans ses déclarations, l'accusé déclarera avoir transité par plusieurs villes pour enfin atterrir au Mali, plus précisément à Tombouctou, où il rencontrera l'émir de la katibat des fatihine et où il recevra, durant plus de quatre mois, un entraînement militaire intense sur l'art du combat, aux côtés d'autres recrues de diverses nationalités. La cour d'Alger, siégeant en session criminelle, a prononcé la peine de 5 ans de prison ferme à l'encontre de Ben Mohamed Ben Mahmoud Mokhtar, alias Abou Alqama, de nationalité mauritanienne pour «appartenance à un groupe terroriste armé actif en Algérie». Interpellé en janvier 2008 par les forces de sécurité après le bombardement par l'aviation militaire algérienne de trois véhicules transportant plus de 30 terroristes, dans la région d'In Amenas près d'Illizi dans le Sud algérien. Selon l'arrêt de renvoi, le mis en cause a reconnu avoir tenté de joindre l'Irak pour participer à «la guerre sainte», en essayant de transiter clandestinement par l'Algérie. Ce dernier «convaincu» de la justesse du combat en Irak , depuis juillet 2007, avouera être entré en contact avec le dénommé «Abou Aiman» lequel active au sein de groupes terroristes dans les pays du Sahel, qui fut d'ailleurs son recruteur. L'accusé à également reconnu son appartenance à «katibat (phalange) des fatihine» affiliée à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)- ex-groupe salafiste pour la prédication et le combat, (ex-GSPC). Dans ses déclarations, l'accusé déclarera avoir transité par plusieurs villes pour enfin atterrir au Mali, plus précisément à Tombouctou, où il rencontrera l'émir de la katibat des fatihine et où il recevra, durant plus de quatre mois, un entraînement militaire intense sur l'art du combat, aux côtés d'autres recrues de diverses nationalités.