Le Programme concerté pluri acteurs- Algérie (PCPA), est un réseau d'associations algériennes et françaises qui a fait des collectivités locales un partenaire indissociable pour la mise en place de projets en faveur de l'enfance. Le Programme concerté pluri acteurs- Algérie (PCPA), est un réseau d'associations algériennes et françaises qui a fait des collectivités locales un partenaire indissociable pour la mise en place de projets en faveur de l'enfance. Si le partenariat entres sociétés civiles algérienne est française s'est toujours manifesté par des actions bilatérales entre associations, il n'est pas toutefois des pratiques de celles-ci d'associer les collectivités locales autour d'un seul projet ou chacun de ces parties à un rôle important à jouer. C'est pourtant le sens de l'existence même du Programme concerté pluri acteurs- Algérie (PCPA), un réseau d'associations algériennes et françaises qui a fait des collectivités locales un partenaire indissociable pour la mise en place de projets en faveur de l'enfance, la jeunesse et la société civile. Ainsi, dans le cadre de ce partenariat le PCPA a programmé, en collaboration avec les autorités locales des villes de Boumerdes (pour la partie algérienne) et Belfort (pour la partie française), un cycle de rencontres ayant pour objectif le renforcement des actions locales en direction des enfants et des jeunes. Ces rencontres auront lieu en deux temps, à savoir les 14 et 15 juin à Boumerdes les 14 et 15 décembre 2009, à Belfort. Après validation du projet par le comité de pilotage du PCPA, l' association « Ecole famille et prise encharge psychosociale » de Boumerdès (association chef de file d'un réseau de 40 associations intervenant dans la wilaya de Boumerdès), la Fédération nationale des Français, Cités Unies France, les autorités locales de Boumerdès (APC, APW, wilaya) et la ville de Belfort, ces rencontres seront placées sous le thème principal de «La concertation entre acteurs locaux pour renforcer les actions locales en direction des enfants et des jeunes». Il s'agit, selon les rédacteurs de ce projet, de rendre visible et perceptible la participation des associations et des collectivités locales dans l'élaboration et la mise en œuvre d'actions publiques locales. Aussi de s'interroger et d'expliquer à la fois les montages institutionnels et financiers existants, pour l'animation et l'exploitation des équipements et des services dédiés à la jeunesse et à l'enfance. Des ateliers thématiques abordant de manière sectorielle des actions publiques en direction de l'enfance et de la jeunesse seront également organisés dans ce cadre. L'objectif étant d'aboutir à des collaborations techniques et institutionnelles entre acteurs algériens et entre acteurs algériens et français. Des comités de suivi par thématique seront d'ailleurs mis en place pour expérimenter les nouveaux outils et les nouvelles méthodes de collaboration et d'action. Quelque 70 participants français et algériens issus d'associations et de collectivités locales prendront part à chacune de ces rencontres. Et ce n'est pas de toute facilité que les collectivités locales algériennes s'assoient à la même table que les associations, non pour négocier un budget ou demander des comptes sur un financement accordé aux associations, mais de se concerter sur une question d'ordre social et qui est une priorité de tous, à savoir les questions de la jeunesse et de l'enfance. Si le partenariat entres sociétés civiles algérienne est française s'est toujours manifesté par des actions bilatérales entre associations, il n'est pas toutefois des pratiques de celles-ci d'associer les collectivités locales autour d'un seul projet ou chacun de ces parties à un rôle important à jouer. C'est pourtant le sens de l'existence même du Programme concerté pluri acteurs- Algérie (PCPA), un réseau d'associations algériennes et françaises qui a fait des collectivités locales un partenaire indissociable pour la mise en place de projets en faveur de l'enfance, la jeunesse et la société civile. Ainsi, dans le cadre de ce partenariat le PCPA a programmé, en collaboration avec les autorités locales des villes de Boumerdes (pour la partie algérienne) et Belfort (pour la partie française), un cycle de rencontres ayant pour objectif le renforcement des actions locales en direction des enfants et des jeunes. Ces rencontres auront lieu en deux temps, à savoir les 14 et 15 juin à Boumerdes les 14 et 15 décembre 2009, à Belfort. Après validation du projet par le comité de pilotage du PCPA, l' association « Ecole famille et prise encharge psychosociale » de Boumerdès (association chef de file d'un réseau de 40 associations intervenant dans la wilaya de Boumerdès), la Fédération nationale des Français, Cités Unies France, les autorités locales de Boumerdès (APC, APW, wilaya) et la ville de Belfort, ces rencontres seront placées sous le thème principal de «La concertation entre acteurs locaux pour renforcer les actions locales en direction des enfants et des jeunes». Il s'agit, selon les rédacteurs de ce projet, de rendre visible et perceptible la participation des associations et des collectivités locales dans l'élaboration et la mise en œuvre d'actions publiques locales. Aussi de s'interroger et d'expliquer à la fois les montages institutionnels et financiers existants, pour l'animation et l'exploitation des équipements et des services dédiés à la jeunesse et à l'enfance. Des ateliers thématiques abordant de manière sectorielle des actions publiques en direction de l'enfance et de la jeunesse seront également organisés dans ce cadre. L'objectif étant d'aboutir à des collaborations techniques et institutionnelles entre acteurs algériens et entre acteurs algériens et français. Des comités de suivi par thématique seront d'ailleurs mis en place pour expérimenter les nouveaux outils et les nouvelles méthodes de collaboration et d'action. Quelque 70 participants français et algériens issus d'associations et de collectivités locales prendront part à chacune de ces rencontres. Et ce n'est pas de toute facilité que les collectivités locales algériennes s'assoient à la même table que les associations, non pour négocier un budget ou demander des comptes sur un financement accordé aux associations, mais de se concerter sur une question d'ordre social et qui est une priorité de tous, à savoir les questions de la jeunesse et de l'enfance.