C'est un véritable défi que l'Association pour la réhabilitation psycho- éducative infanto-juvénile (ARPEIJ) s'est lancée depuis plus d'une année. C'est un véritable défi que l'Association pour la réhabilitation psycho- éducative infanto-juvénile (ARPEIJ) s'est lancée depuis plus d'une année. Confrontée à un véritable problème d'insertion des adolescents dans la vie sociale et active, dans le cadre de ses activités associatives, cette ONG a fini par comprendre que la seule solution est de réfléchir à une véritable prise en charge des enfants non scolarisés. C'est ainsi, qu'elle a lancé, avec l'appui du Programme concerté pluri-acteurs Algérie (PCPA), un projet intitulé «l'école de la deuxième chance». Il s'agit, en effet, d'offrir aux adolescents de 14 à 16 ans (filles et garçons) qui se retrouvent à la rue, après leur exclusion de l'école, une nouvelle chance de retrouver le chemin des études. L'association pose la problématique de nombreux adolescent(e)s et pré-adolescents qui sont exclus du système éducatif sans aucun diplôme, avant même la fin de l'âge de scolarisation obligatoire. Le secteur de la formation professionnelle n'est, par ce fait, pas en mesure de les accueillir pour des raisons réglementaires (légalement l'âge minimum est de 16 ans), leur niveau scolaire est très faible voir inexistant (quelques-uns n'ont jamais été à l'école). C'est ainsi que des dizaines d'enfants se retrouvent à la croisée des chemins, ne sachant quel destin prendre. Les pouvoirs publics également n'ont pas tracé de programmes spécifiques à cette catégorie d'adolescents. Ils ne bénéficient d'aucune possibilité de prise en charge institutionnelle, ce qui les oriente naturellement vers les circuits de prédation et d'exploitation (collecte de déchets, apprentissage informel, prostitution, mendicité et délinquance). On les voit aussi dans ces gardiens de parking qui sèment parfois la terreur dans le milieu des automobilistes. Parfois des crimes sont commis pour une somme de 30 ou 40 DA. L'ARPEIJ, qui travaille depuis des années avec cette catégorie d'adolescents a, donc, eu l'idée de créer cette école de deuxième chance. Le projet consiste à accueillir de jeunes de 14 à 16 ans en situation de vulnérabilité et les réinitier aux études et à l'acquisition du savoir-faire en vue de leur insertion sociale et professionnelle. Des enseignants, des éducateurs et des psychologues seront par ailleurs mobilisés pour la mise en œuvre de ce projet. Il faut savoir que cette école sera spécifique, dès lors qu'elle accueille des enfants se trouvant souvent dans la rue. Confrontée à un véritable problème d'insertion des adolescents dans la vie sociale et active, dans le cadre de ses activités associatives, cette ONG a fini par comprendre que la seule solution est de réfléchir à une véritable prise en charge des enfants non scolarisés. C'est ainsi, qu'elle a lancé, avec l'appui du Programme concerté pluri-acteurs Algérie (PCPA), un projet intitulé «l'école de la deuxième chance». Il s'agit, en effet, d'offrir aux adolescents de 14 à 16 ans (filles et garçons) qui se retrouvent à la rue, après leur exclusion de l'école, une nouvelle chance de retrouver le chemin des études. L'association pose la problématique de nombreux adolescent(e)s et pré-adolescents qui sont exclus du système éducatif sans aucun diplôme, avant même la fin de l'âge de scolarisation obligatoire. Le secteur de la formation professionnelle n'est, par ce fait, pas en mesure de les accueillir pour des raisons réglementaires (légalement l'âge minimum est de 16 ans), leur niveau scolaire est très faible voir inexistant (quelques-uns n'ont jamais été à l'école). C'est ainsi que des dizaines d'enfants se retrouvent à la croisée des chemins, ne sachant quel destin prendre. Les pouvoirs publics également n'ont pas tracé de programmes spécifiques à cette catégorie d'adolescents. Ils ne bénéficient d'aucune possibilité de prise en charge institutionnelle, ce qui les oriente naturellement vers les circuits de prédation et d'exploitation (collecte de déchets, apprentissage informel, prostitution, mendicité et délinquance). On les voit aussi dans ces gardiens de parking qui sèment parfois la terreur dans le milieu des automobilistes. Parfois des crimes sont commis pour une somme de 30 ou 40 DA. L'ARPEIJ, qui travaille depuis des années avec cette catégorie d'adolescents a, donc, eu l'idée de créer cette école de deuxième chance. Le projet consiste à accueillir de jeunes de 14 à 16 ans en situation de vulnérabilité et les réinitier aux études et à l'acquisition du savoir-faire en vue de leur insertion sociale et professionnelle. Des enseignants, des éducateurs et des psychologues seront par ailleurs mobilisés pour la mise en œuvre de ce projet. Il faut savoir que cette école sera spécifique, dès lors qu'elle accueille des enfants se trouvant souvent dans la rue.