Convoquée mardi par l'UA, cette réunion regroupera le ministre de la Défense somalien Mohammed Abdi Mohammed et ses homologues des pays contributeurs de troupes à la mission de paix africaine en Somalie (Amisom), ainsi que l'envoyé spécial des Nations unies pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah. Convoquée mardi par l'UA, cette réunion regroupera le ministre de la Défense somalien Mohammed Abdi Mohammed et ses homologues des pays contributeurs de troupes à la mission de paix africaine en Somalie (Amisom), ainsi que l'envoyé spécial des Nations unies pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah. Le processus de paix et de réconciliation en Somalie devait être hier à Addis Abeba au centre d'une réunion ministérielle des pays contributeurs de troupes à la mission de paix de l'Union africaine présente dans ce pays dont la capitale Mogadiscio est en proie à des combats meurtriers. Convoquée mardi par l'UA, cette réunion regroupera le ministre de la Défense somalien Mohammed Abdi Mohammed et ses homologues des pays contributeurs de troupes à la mission de paix africaine en Somalie (Amisom), ainsi que l'envoyé spécial des Nations unies pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah. La réunion de l'UA vise notamment à "s'accorder sur les étapes nécessaires à franchir pour soutenir davantage le processus de paix et de réconciliation en Somalie", selon le président de la Commission de l'Union africaine, M. Jean Ping. La rencontre se tiendra dans la foulée de violents combats opposant depuis sept jours les forces gouvernementales somaliennes à des insurgés dans la capitale Mogadiscio. Ces combats ont fait mardi soir huit morts dans la localité de Mahas (300 km au nord de Mogadiscio) lorsque les forces pro-gouvernementales ont attaqué des positions des shebab, principal groupe d'insurgés actif en Somalie. Depuis le déclenchement des affrontements jeudi dernier dans la capitale somalienne, 41 personnes ont été tuées, selon des chefs coutumiers. La reprise des combats à Mogadiscio a suscité une vive condamnation de l'Union africaine et des Nations unies. Ainsi, M. Jean Ping, a indiqué qu'il "continue de suivre étroitement la situation en Somalie et condamné fermement les combats en cours visant le TFG (gouvernement de transition)". M. Ping a réitéré en outre son appel à la communauté internationale pour "augmenter son soutien au processus de réconciliation en Somalie". Pour sa part, l'envoyé spécial de l'ONU pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah a dénoncé les combats qui ont provoqué des morts et conduit au déplacement d'un grand nombre de civils à Mogadiscio qualifiant ces violences d'"inacceptables". M. Ould-Abdallah a également souligné que la violence et l'anarchie des deux dernières décennies "doivent être rejetées par le peuple somalien et la communauté internationale". A ce propos, l'émissaire onusien a appelé à "mettre fin immédiatement à ces combats" qui portent atteinte à la stabilité du pays et de la région tout entière. Le responsable onusien a souligné la nécessité de "soutenir le gouvernement légitime reconnu par la communauté internationale" en se disant "satisfait" que l'Union africaine et l'Autorité intergouvernementale pour le développement (Igad) d'Afrique de l'Est aient réagi rapidement pour condamner le regain de violences à Mogadiscio. Le processus de paix et de réconciliation en Somalie devait être hier à Addis Abeba au centre d'une réunion ministérielle des pays contributeurs de troupes à la mission de paix de l'Union africaine présente dans ce pays dont la capitale Mogadiscio est en proie à des combats meurtriers. Convoquée mardi par l'UA, cette réunion regroupera le ministre de la Défense somalien Mohammed Abdi Mohammed et ses homologues des pays contributeurs de troupes à la mission de paix africaine en Somalie (Amisom), ainsi que l'envoyé spécial des Nations unies pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah. La réunion de l'UA vise notamment à "s'accorder sur les étapes nécessaires à franchir pour soutenir davantage le processus de paix et de réconciliation en Somalie", selon le président de la Commission de l'Union africaine, M. Jean Ping. La rencontre se tiendra dans la foulée de violents combats opposant depuis sept jours les forces gouvernementales somaliennes à des insurgés dans la capitale Mogadiscio. Ces combats ont fait mardi soir huit morts dans la localité de Mahas (300 km au nord de Mogadiscio) lorsque les forces pro-gouvernementales ont attaqué des positions des shebab, principal groupe d'insurgés actif en Somalie. Depuis le déclenchement des affrontements jeudi dernier dans la capitale somalienne, 41 personnes ont été tuées, selon des chefs coutumiers. La reprise des combats à Mogadiscio a suscité une vive condamnation de l'Union africaine et des Nations unies. Ainsi, M. Jean Ping, a indiqué qu'il "continue de suivre étroitement la situation en Somalie et condamné fermement les combats en cours visant le TFG (gouvernement de transition)". M. Ping a réitéré en outre son appel à la communauté internationale pour "augmenter son soutien au processus de réconciliation en Somalie". Pour sa part, l'envoyé spécial de l'ONU pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah a dénoncé les combats qui ont provoqué des morts et conduit au déplacement d'un grand nombre de civils à Mogadiscio qualifiant ces violences d'"inacceptables". M. Ould-Abdallah a également souligné que la violence et l'anarchie des deux dernières décennies "doivent être rejetées par le peuple somalien et la communauté internationale". A ce propos, l'émissaire onusien a appelé à "mettre fin immédiatement à ces combats" qui portent atteinte à la stabilité du pays et de la région tout entière. Le responsable onusien a souligné la nécessité de "soutenir le gouvernement légitime reconnu par la communauté internationale" en se disant "satisfait" que l'Union africaine et l'Autorité intergouvernementale pour le développement (Igad) d'Afrique de l'Est aient réagi rapidement pour condamner le regain de violences à Mogadiscio.