Devant une assistance constituée essentiellement de marins pêcheurs et patrons de pêche, le directeur général de la chambre nationale de la pêche a longuement insisté sur la nécessité de respecter les zones de pêche qui se situent au-delà de 3 miles du littoral (1 mile = 1.852 mètres ), afin de permettre d'assurer la reproduction et le repos des espèces. Devant une assistance constituée essentiellement de marins pêcheurs et patrons de pêche, le directeur général de la chambre nationale de la pêche a longuement insisté sur la nécessité de respecter les zones de pêche qui se situent au-delà de 3 miles du littoral (1 mile = 1.852 mètres ), afin de permettre d'assurer la reproduction et le repos des espèces. Le centre culturel de Ténès a abrité, mercredi dernier, une journée de sensibilisation et d'information sur la protection biologique des poissons. Organisée par la chambre de pêche et de la production halieutique en collaboration avec la direction de Chlef, cette manifestation destinée particulièrement aux utilisateurs des chaluts pélagiques, semi pélagiques (chalutiers) a été rehaussée par la présence du directeur général de la Chambre nationale de la pêche, M. Rahmani, du directeur de la pêche de la wilaya et des trois chefs de daïra des villes côtières de la wilaya de Chlef à savoir Ténès, Béni-Haoua et La Marsa. Devant une assistance constituée essentiellement de marins pêcheurs et patrons de pêche, M. Rahmani a longuement insisté sur la nécessité de respecter les zones de pêche qui se situent au-delà de 3 miles du littoral (1 mile = 1.852 mètres ), afin, dira-t-il, de permettre d'assurer la reproduction et le repos des espèces qui s'approchent de la côte durant cette période vitale de l'année qui s'étale du 1er mai au 31 août. Il indiquera, entre autres que le respect des mesures définies par l'arrêté interministériel N°4 du 24 avril 2004 fixant les limitations d'utilisation des chaluts pélagiques, semi pélagiques et de fond dans le temps et l'espace, garantira une reproduction du poisson dans de bonnes conditions et, par conséquent, assurera un meilleur avenir aux pêcheurs. Quant au président de la chambre de la pêche de Chlef, M. Abdat, tout en reconnaissant le bien fondé des préoccupations des marins pêcheurs qui demandent une dérogation sur les limites de la zone de pêche fixée à 3 miles arguant le motif que la côte ténèsienne, par ses spécificités, présente un fond rapide et accidenté particulièrement entre le cap Cramis et celui de Teska. A ce sujet, on croit savoir que la question a été posée à un haut niveau pour trouver un compromis à cette situation qui doit préserver aussi bien les droits des pêcheurs à subvenir aux besoins de leurs familles, qu'à respecter les prises de poisson notamment sur l'aspect calibrage. Il faut dire que certains pêcheurs n'hésitent pas "racler" les fonds marins à l'aide de filets à mailles réduites, n'épargnant par conséquent aucune espèce aussi petite soit-elle. Par ailleurs, conscient que la période d'inactivité "forcée" de 4 mois (mai à août), pour les marins, le directeur général de la Chambre nationale de la pêche, M. Rahmani, a émis le souhait de la création d'une coopérative de crédit et d'épargne qui pourrait venir en aide aux familles des pêcheurs au cours de la période de repos. Par ailleurs, lors de cette rencontre, nous avons appris que l'Algérie a passé commande pour l'acquisition d'un navire scientifique d'un montant de 580 millions de dinars. Cette flottille de recherche, selon M. Rahmani, sera d'un grand apport pour l'établissement d'une carte des fonds marins de la côte Le centre culturel de Ténès a abrité, mercredi dernier, une journée de sensibilisation et d'information sur la protection biologique des poissons. Organisée par la chambre de pêche et de la production halieutique en collaboration avec la direction de Chlef, cette manifestation destinée particulièrement aux utilisateurs des chaluts pélagiques, semi pélagiques (chalutiers) a été rehaussée par la présence du directeur général de la Chambre nationale de la pêche, M. Rahmani, du directeur de la pêche de la wilaya et des trois chefs de daïra des villes côtières de la wilaya de Chlef à savoir Ténès, Béni-Haoua et La Marsa. Devant une assistance constituée essentiellement de marins pêcheurs et patrons de pêche, M. Rahmani a longuement insisté sur la nécessité de respecter les zones de pêche qui se situent au-delà de 3 miles du littoral (1 mile = 1.852 mètres ), afin, dira-t-il, de permettre d'assurer la reproduction et le repos des espèces qui s'approchent de la côte durant cette période vitale de l'année qui s'étale du 1er mai au 31 août. Il indiquera, entre autres que le respect des mesures définies par l'arrêté interministériel N°4 du 24 avril 2004 fixant les limitations d'utilisation des chaluts pélagiques, semi pélagiques et de fond dans le temps et l'espace, garantira une reproduction du poisson dans de bonnes conditions et, par conséquent, assurera un meilleur avenir aux pêcheurs. Quant au président de la chambre de la pêche de Chlef, M. Abdat, tout en reconnaissant le bien fondé des préoccupations des marins pêcheurs qui demandent une dérogation sur les limites de la zone de pêche fixée à 3 miles arguant le motif que la côte ténèsienne, par ses spécificités, présente un fond rapide et accidenté particulièrement entre le cap Cramis et celui de Teska. A ce sujet, on croit savoir que la question a été posée à un haut niveau pour trouver un compromis à cette situation qui doit préserver aussi bien les droits des pêcheurs à subvenir aux besoins de leurs familles, qu'à respecter les prises de poisson notamment sur l'aspect calibrage. Il faut dire que certains pêcheurs n'hésitent pas "racler" les fonds marins à l'aide de filets à mailles réduites, n'épargnant par conséquent aucune espèce aussi petite soit-elle. Par ailleurs, conscient que la période d'inactivité "forcée" de 4 mois (mai à août), pour les marins, le directeur général de la Chambre nationale de la pêche, M. Rahmani, a émis le souhait de la création d'une coopérative de crédit et d'épargne qui pourrait venir en aide aux familles des pêcheurs au cours de la période de repos. Par ailleurs, lors de cette rencontre, nous avons appris que l'Algérie a passé commande pour l'acquisition d'un navire scientifique d'un montant de 580 millions de dinars. Cette flottille de recherche, selon M. Rahmani, sera d'un grand apport pour l'établissement d'une carte des fonds marins de la côte