Un incendie dramatique s'est déclenché dans la nuit de vendredi à samedi vers 2 h, dans un magasin, à la place Omar-Yacef (ex- de la lyre), à Alger. Selon des témoignages recueillis sur les lieux du sinistre, un jeune homme de 32 ans, qui passait la nuit dans le magasin en a été la seule victime. Atteint de brûlures du troisième degré, il a d'abord été évacué vers la clinique centrale avant d'être transféré à l'hôpital de Douéra, vu la gravité de ses brûlures. Un court-circuit survenu au niveau des câbles électriques semble avoir été à l'origine de cet incendie, nous confie-t-on sur place. Le fait que le magasin où s'est déroulé le drame était spécialisé dans la vente d'habits pour femmes a été, témoigne-t-on, «une circonstance aggravante ayant été très favorable à la propagation des flammes». Sur place, d'aucuns pourraient constater que rien n'a échappé aux flammes. «Les vêtements chinois sont fabriqués avec de la matière plastique, un vrai carburant» se désole un riverain. Un autre nous dira qu'il a trouvé des traces de sang de la victime devant ladite boutique, ce qui prouve que le malheureux a tenté de fuir les flammes qui l'ont malheureusement rattrapé. Tous les commerçants et les riverains rencontrés étaient encore sous l'effet du choc et n'arrivaient toujours pas à comprendre comment un tel drame ait pu se produire. Un incendie dramatique s'est déclenché dans la nuit de vendredi à samedi vers 2 h, dans un magasin, à la place Omar-Yacef (ex- de la lyre), à Alger. Selon des témoignages recueillis sur les lieux du sinistre, un jeune homme de 32 ans, qui passait la nuit dans le magasin en a été la seule victime. Atteint de brûlures du troisième degré, il a d'abord été évacué vers la clinique centrale avant d'être transféré à l'hôpital de Douéra, vu la gravité de ses brûlures. Un court-circuit survenu au niveau des câbles électriques semble avoir été à l'origine de cet incendie, nous confie-t-on sur place. Le fait que le magasin où s'est déroulé le drame était spécialisé dans la vente d'habits pour femmes a été, témoigne-t-on, «une circonstance aggravante ayant été très favorable à la propagation des flammes». Sur place, d'aucuns pourraient constater que rien n'a échappé aux flammes. «Les vêtements chinois sont fabriqués avec de la matière plastique, un vrai carburant» se désole un riverain. Un autre nous dira qu'il a trouvé des traces de sang de la victime devant ladite boutique, ce qui prouve que le malheureux a tenté de fuir les flammes qui l'ont malheureusement rattrapé. Tous les commerçants et les riverains rencontrés étaient encore sous l'effet du choc et n'arrivaient toujours pas à comprendre comment un tel drame ait pu se produire.