Le Duc d'York, le prince Andrew est arrivé, hier, à Alger, à la tête d'une importante délégation d'hommes d'affaires britanniques pour une visite de travail de trois jours. Le deuxième fils de la reine Elisabeth II a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international d'Alger, par le ministre des Finances, M. Karim Djoudi. Dans une déclaration à la presse, le prince Andrew s'est dit «heureux» de revenir en Algérie. Il émet ainsi son souhait que «sa visite puisse contribuer au renforcement des relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni». Le Duc d'York effectue cette visite à caractère économique en tant que représentant du Royaume-Uni en charge du commerce extérieur et de l'investissement. M. Djoudi précise à cet effet que cette visite du prince Andrew vient «renforcer encore les relations entre les deux pays qui sont déjà fortes sur les plans politique et économique». «Ces relations se traduisent par le fait que nos échanges commerciaux se sont fortement accrus durant les dix dernières années, passant de 500 millions de dollars à près de 3 milliards de dollars», affirme-t-il. Cette coopération, poursuit le ministre, se traduit notamment par «un mouvement d'investissement dans plusieurs secteurs à l'exemple de la chimie, la pharmacie et le bâtiment». Cette visite sera donc non seulement l'occasion d'«établir une évaluation de ce mouvement d'affaires, mais aussi et surtout d'étudier les moyens de l'intensifier». Le Duc d'York, le prince Andrew est arrivé, hier, à Alger, à la tête d'une importante délégation d'hommes d'affaires britanniques pour une visite de travail de trois jours. Le deuxième fils de la reine Elisabeth II a été accueilli à son arrivée à l'aéroport international d'Alger, par le ministre des Finances, M. Karim Djoudi. Dans une déclaration à la presse, le prince Andrew s'est dit «heureux» de revenir en Algérie. Il émet ainsi son souhait que «sa visite puisse contribuer au renforcement des relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni». Le Duc d'York effectue cette visite à caractère économique en tant que représentant du Royaume-Uni en charge du commerce extérieur et de l'investissement. M. Djoudi précise à cet effet que cette visite du prince Andrew vient «renforcer encore les relations entre les deux pays qui sont déjà fortes sur les plans politique et économique». «Ces relations se traduisent par le fait que nos échanges commerciaux se sont fortement accrus durant les dix dernières années, passant de 500 millions de dollars à près de 3 milliards de dollars», affirme-t-il. Cette coopération, poursuit le ministre, se traduit notamment par «un mouvement d'investissement dans plusieurs secteurs à l'exemple de la chimie, la pharmacie et le bâtiment». Cette visite sera donc non seulement l'occasion d'«établir une évaluation de ce mouvement d'affaires, mais aussi et surtout d'étudier les moyens de l'intensifier».