La banque émiratie qui n'a pas encore obtenu le feu vert du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) de la Banque d'Algérie espère concrétiser ses projets dans la région du Maghreb, à commencer par l'Algérie, dès cet exercice. La banque émiratie qui n'a pas encore obtenu le feu vert du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) de la Banque d'Algérie espère concrétiser ses projets dans la région du Maghreb, à commencer par l'Algérie, dès cet exercice. Une troisième banque islamique prépare activement son implantation en Algérie. « Abu Dhabi Islamic Bank (ADIB) va consacrer 110 millions d'euros à son installation en Algérie.» a rapporté africintelligence.com. La banque émiratie qui n'a pas encore obtenu le feu vert du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) de la Banque d'Algérie alors que le dépôt de la demande d'agrément remonte à décembre 2007 espère concrétiser ses projets dans la région du Maghreb, à commencer par l'Algérie, dès cet exercice. Il y a de cela moins de dix jours, ADIB s'est fait remarquer par sa présence lors du 5e Forum international de la finance qu'a abrité Alger. Le délégué qui a fait le voyage à Alger a saisi cette tribune pour réaffirmer les ambitions de la banque et souligner sa disponibilité à satisfaire aux nouvelles exigences des autorités algériennes à la lumière des récentes modifications réglementaires relatives à l'accès des étrangers à l'investissement. Intervenant lors de cette rencontre, M. Mokretar Karroubi, directeur chargé de la stratégie et de la planification à l'ADIB a confirmé de nouveau l'intention de sa banque qui fait «des retours sur investissements intéressants» de «participer à la diversification et à l'enrichissement du paysage bancaire algérien». S'agissant de la question des règles d'investissement, ce même représentant a soutenu que les entrepreneurs étrangers qui basent leurs investissements sur une volonté réelle de participer au développement de créneaux solides ne seront pas repoussés par ce type de mesures. Relayé par le responsable du secteur lié à la chariâ auprès de cette banque et directeur exécutif, Osaïd Mohamed Adib Kailani, s'est dit « très optimiste sur les opportunités qui s'offrent à cette institution dans le domaine de la finance islamique.» Abu Dhabi islamic Bank sera ainsi la seconde banque islamique émirienne à s'implanter en Algérie après Essalam et la troisième sur le marché national avec Al-Baraka Bank à proposer des produits bancaires «conformes» aux préceptes de la chariâ islamique. Des produits qui ont le vent en poupe sur fond de crise économique exacerbée. Avec «leurs propres règles de gouvernance» refusant «la spéculation, le découvert, l'usure et le rééchelonnement des dettes», les banques islamiques jouissent d'une image «propre» auprès d'une clientèle à la fois rebutée par les pratiques des banques traditionnelles et en quête d'un mode de financement conforme à la morale religieuse. Une troisième banque islamique prépare activement son implantation en Algérie. « Abu Dhabi Islamic Bank (ADIB) va consacrer 110 millions d'euros à son installation en Algérie.» a rapporté africintelligence.com. La banque émiratie qui n'a pas encore obtenu le feu vert du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) de la Banque d'Algérie alors que le dépôt de la demande d'agrément remonte à décembre 2007 espère concrétiser ses projets dans la région du Maghreb, à commencer par l'Algérie, dès cet exercice. Il y a de cela moins de dix jours, ADIB s'est fait remarquer par sa présence lors du 5e Forum international de la finance qu'a abrité Alger. Le délégué qui a fait le voyage à Alger a saisi cette tribune pour réaffirmer les ambitions de la banque et souligner sa disponibilité à satisfaire aux nouvelles exigences des autorités algériennes à la lumière des récentes modifications réglementaires relatives à l'accès des étrangers à l'investissement. Intervenant lors de cette rencontre, M. Mokretar Karroubi, directeur chargé de la stratégie et de la planification à l'ADIB a confirmé de nouveau l'intention de sa banque qui fait «des retours sur investissements intéressants» de «participer à la diversification et à l'enrichissement du paysage bancaire algérien». S'agissant de la question des règles d'investissement, ce même représentant a soutenu que les entrepreneurs étrangers qui basent leurs investissements sur une volonté réelle de participer au développement de créneaux solides ne seront pas repoussés par ce type de mesures. Relayé par le responsable du secteur lié à la chariâ auprès de cette banque et directeur exécutif, Osaïd Mohamed Adib Kailani, s'est dit « très optimiste sur les opportunités qui s'offrent à cette institution dans le domaine de la finance islamique.» Abu Dhabi islamic Bank sera ainsi la seconde banque islamique émirienne à s'implanter en Algérie après Essalam et la troisième sur le marché national avec Al-Baraka Bank à proposer des produits bancaires «conformes» aux préceptes de la chariâ islamique. Des produits qui ont le vent en poupe sur fond de crise économique exacerbée. Avec «leurs propres règles de gouvernance» refusant «la spéculation, le découvert, l'usure et le rééchelonnement des dettes», les banques islamiques jouissent d'une image «propre» auprès d'une clientèle à la fois rebutée par les pratiques des banques traditionnelles et en quête d'un mode de financement conforme à la morale religieuse.