La rumeur a fait, en quelques minutes, le tour de la ville au cours de la matinée d'hier : "16 "harraga" auraient été repêchés par les gardes-côtes au large des côtes de Ténés". Les Ténèsiens ont d'autant plus pensé que cette information était vraie, qu'ils ont assisté à un ballet incessant d'ambulances de la Protection civile et de l'hôpital qui faisaient le va-et-vient entre le port et l'établissement hospitalier. Il faut dire que le sujet des "harragas" est d'actualité, particulièrement dans cette région connue pour ses nombreux "harragas", qui tentent la traversée vers l'Espagne, surtout en cette saison où la météo se montre plutôt favorable pour de telles aventures. En définitive, cette agitation inhabituelle était l'exercice de simulation, effectué par les gardes-côtes, d'un sauvetage en mer de personnes en difficulté. Pour cet exercice, différents intervenants ont été réquisitionnés. La Protection civile, les médecins de l'hôpital et les autres corps de sécurité étaient présents. Pour le commandant de l'unité des gardes-côtes de Ténès, l'objectif de telles manœuvres, auxquelles ont pris part des unités navales, ont un lien direct avec le Plan national de sauvetage et de recherche en littoral ayant trait au sauvetage de personnes portées disparues au large des côtes dans les eaux territoriales. L'opération d'intervention a débuté à partir du signal d'alerte jusqu'à l'évacuation des prétendus «blessés» et de leur prise en charge au niveau du port puis dans un établissement hospitalier. "Cet exercice de simulation permet également aux gardes-côtes de renforcer leur expérience en matière d'intervention et de développer leurs techniques de recherche et de sauvetage en mer, particulièrement en matière de coordination et d'organisation entre les différents acteurs", a souligné le même responsable. A l'issue de cet exercice, le commandant s'est dit "satisfait" et parle de "réussite", notamment en ce qui concerne la maîtrise des opérations de recherches et la coordination entre les différents services et la gestion des moyens. La rumeur a fait, en quelques minutes, le tour de la ville au cours de la matinée d'hier : "16 "harraga" auraient été repêchés par les gardes-côtes au large des côtes de Ténés". Les Ténèsiens ont d'autant plus pensé que cette information était vraie, qu'ils ont assisté à un ballet incessant d'ambulances de la Protection civile et de l'hôpital qui faisaient le va-et-vient entre le port et l'établissement hospitalier. Il faut dire que le sujet des "harragas" est d'actualité, particulièrement dans cette région connue pour ses nombreux "harragas", qui tentent la traversée vers l'Espagne, surtout en cette saison où la météo se montre plutôt favorable pour de telles aventures. En définitive, cette agitation inhabituelle était l'exercice de simulation, effectué par les gardes-côtes, d'un sauvetage en mer de personnes en difficulté. Pour cet exercice, différents intervenants ont été réquisitionnés. La Protection civile, les médecins de l'hôpital et les autres corps de sécurité étaient présents. Pour le commandant de l'unité des gardes-côtes de Ténès, l'objectif de telles manœuvres, auxquelles ont pris part des unités navales, ont un lien direct avec le Plan national de sauvetage et de recherche en littoral ayant trait au sauvetage de personnes portées disparues au large des côtes dans les eaux territoriales. L'opération d'intervention a débuté à partir du signal d'alerte jusqu'à l'évacuation des prétendus «blessés» et de leur prise en charge au niveau du port puis dans un établissement hospitalier. "Cet exercice de simulation permet également aux gardes-côtes de renforcer leur expérience en matière d'intervention et de développer leurs techniques de recherche et de sauvetage en mer, particulièrement en matière de coordination et d'organisation entre les différents acteurs", a souligné le même responsable. A l'issue de cet exercice, le commandant s'est dit "satisfait" et parle de "réussite", notamment en ce qui concerne la maîtrise des opérations de recherches et la coordination entre les différents services et la gestion des moyens.