Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, M. Smail Mimoune, a indiqué, hier à Alger, qu'une vingtaine de fermes destinées au développement de l'activité aquacole sont entrées en production. Tout en rappelant la détermination de l'Etat à développer une industrie aquacole pour assurer l'approvisionnement du marché national en produits de pêche, le membre du gouvernement a tenu à relever que «l'élevage du poisson est la meilleure alternative pour améliorer le stock pêchable des sources marines évalué à 220.000 tonnes par an». Le ministre a précisé, dans ce contexte, que deux fermes spécialisées dans l'élevage de poisson en mer à Ain Tagourait dans la wilaya de Tipasa et Ain Taya à Alger, sont déjà entrées en production. Pour ce qui est de l'élevage du loup de mer et de la daurade en cage flottante en mer, le ministre affirme qu'une ferme à Azzefoun, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, a déjà mis son produit sur le marché. Les complexes d'élevage de crevette d'eau douce de Ouargla, de Ghardaïa et de Saida sont aussi entrés en production, a affirmé le ministre, annonçant la mise en service prochaine de la ferme de Ain Témouchent. M. Mimoune affirme également plus loin que son département a réalisé deux écloseries à Sétif et à Sidi Belabbès, spécialisées dans la production d'alevins de poisson d'eau douce pour prendre en charge l'approvisionnement en alevins, des fermes piscicoles et aquacoles. «Ces écloseries seront réceptionnées en juillet prochain», précise-t-il. Toutefois et dans l'objectif de préserver les ressources halieutiques, le ministre a rappelé que l'organisation onusienne pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a donné des orientations pour qu'à l'«avenir, le produit provenant de l'aquaculture doit représenter 50% des produits mis sur le marché». Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, M. Smail Mimoune, a indiqué, hier à Alger, qu'une vingtaine de fermes destinées au développement de l'activité aquacole sont entrées en production. Tout en rappelant la détermination de l'Etat à développer une industrie aquacole pour assurer l'approvisionnement du marché national en produits de pêche, le membre du gouvernement a tenu à relever que «l'élevage du poisson est la meilleure alternative pour améliorer le stock pêchable des sources marines évalué à 220.000 tonnes par an». Le ministre a précisé, dans ce contexte, que deux fermes spécialisées dans l'élevage de poisson en mer à Ain Tagourait dans la wilaya de Tipasa et Ain Taya à Alger, sont déjà entrées en production. Pour ce qui est de l'élevage du loup de mer et de la daurade en cage flottante en mer, le ministre affirme qu'une ferme à Azzefoun, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, a déjà mis son produit sur le marché. Les complexes d'élevage de crevette d'eau douce de Ouargla, de Ghardaïa et de Saida sont aussi entrés en production, a affirmé le ministre, annonçant la mise en service prochaine de la ferme de Ain Témouchent. M. Mimoune affirme également plus loin que son département a réalisé deux écloseries à Sétif et à Sidi Belabbès, spécialisées dans la production d'alevins de poisson d'eau douce pour prendre en charge l'approvisionnement en alevins, des fermes piscicoles et aquacoles. «Ces écloseries seront réceptionnées en juillet prochain», précise-t-il. Toutefois et dans l'objectif de préserver les ressources halieutiques, le ministre a rappelé que l'organisation onusienne pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a donné des orientations pour qu'à l'«avenir, le produit provenant de l'aquaculture doit représenter 50% des produits mis sur le marché».