Le directeur général de l'Office national du tourisme qui a évoqué ce nouveau concept sur les ondes de la Chaîne III, hier, a tenu à rappeler que le «tourisme doit être une priorité dans les textes mais également dans les faits. Nous avons besoin que les autorités y veillent». Le directeur général de l'Office national du tourisme qui a évoqué ce nouveau concept sur les ondes de la Chaîne III, hier, a tenu à rappeler que le «tourisme doit être une priorité dans les textes mais également dans les faits. Nous avons besoin que les autorités y veillent». «La commune balnéaire», c'est la nouvelle «trouvaille» du ministère du Tourisme pour promouvoir ce secteur dont la relance est de plus en plus difficile. Un concept qui se veut global dans la mesure où il implique tous les citoyens, du plus petit à qui l'on doit apprendre un minimum de respect envers la nature, jusqu'au premier responsable de la commune, à savoir le P/APC. Le directeur général de l'Office national du tourisme qui a évoqué ce nouveau concept sur les ondes de la Chaîne III, hier, a tenu à rappeler que le «tourisme doit être une priorité dans les textes mais également dans les faits. Nous avons besoin que les autorités y veillent». Mohamed Belhadj citera l'exemple d'une touriste allemande qui s'est fait cambrioler récemment chez nous, indiquant que «les services de sécurité doivent intervenir pour que le cas de cette touriste soit un exemple pour expliquer aux citoyens que cette personne doit être reçue comme une invitée et que l'on comprenne que la venue de cette touriste est une plus-value sur le plan économique, ce concept doit être admis chez nous» a-t-il déclaré. La sécurité, justement, un est des éléments essentiels pour la promotion du tourisme, en plus de l'hygiène. Pour le DG de l'ONT, «les choses avancent dans ce sens, on commence à y travailler à travers plusieurs plans, dont le Delphine, le plan bleu et le plan vigie plages». Mais la relance réelle du tourisme est tributaire d'une stratégie qui existe, certes, mais dont les retombées sont loin d'être concrètes. A ce sujet, le directeur général de l'ONT expliquera que la stratégie du ministère du Tourisme repose sur 3 projets. Sur le court terme, c'est-à-dire de 2009 à 2010, "il s'agira d'améliorer l'ordinaire en inspectant les prestataires de services, hôtels et restaurants pour qu'ils se mettent en conformité. Une révision à la baisse des prix est nécessaire pour attirer les touristes algériens. Faire en sorte que l'Algérien n'aille pas ailleurs, particulièrement en Tunisie". Pour ce qui est des prévisions à moyen terme, c'est-à-dire vers 2015, «l'on prévoit la concrétisation du Schéma national d'aménagement touristique avec la réception de tous les investissements en cours. Ce schéma directeur apportera la visibilité quant aux 172 pôles touristiques d'excellence. Un décret exécutif en a défini certaines comme zones d'expansion touristique s'étendant sur 50.000 hectares. C'est un programme gigantesque» a indiqué M. Med Belhadj. Et enfin, la troisième phase, «celle qui fera de l'Algérie une destination de choix et une destination concurrentielle» prévue à l'horizon 2025. Le ministère du Tourisme vise également la communauté algérienne établie à l'étranger, Algériens émigrés ou encore bi-nationaux, l'objectif est de les faire venir en Algérie. «Deux catégories sur lesquelles est fondée la communication de l'office». Le directeur général de l'ONT a révélé que l'Algérie est actuellement sous audit et cela depuis 1an. «Nous prenons en considération toutes les remarques qui nous sont adressées par cet organisme français». Le directeur général de l'ONT a reconnu les faiblesses du secteur, dont la qualité des prestations offertes par nos hôtels. «Certains ne méritent même pas une demi étoile, d'autres devraient être déclassés». Il estime, par ailleurs, qu'à l'heure actuelle, «nous ne voulons plus raconter des histoires aux gens, mais l'espoir est permis, j'y crois». Un optimisme clairement affiché du DG de l'ONT pour qui la crise financière n'aura aucun impact sur le secteur «zéro appréhension et infiniment d'espoir» dira t-il, une déclaration qui dénote, encore une fois, d'un optimisme qu'il faudra tout de même relativiser. «La commune balnéaire», c'est la nouvelle «trouvaille» du ministère du Tourisme pour promouvoir ce secteur dont la relance est de plus en plus difficile. Un concept qui se veut global dans la mesure où il implique tous les citoyens, du plus petit à qui l'on doit apprendre un minimum de respect envers la nature, jusqu'au premier responsable de la commune, à savoir le P/APC. Le directeur général de l'Office national du tourisme qui a évoqué ce nouveau concept sur les ondes de la Chaîne III, hier, a tenu à rappeler que le «tourisme doit être une priorité dans les textes mais également dans les faits. Nous avons besoin que les autorités y veillent». Mohamed Belhadj citera l'exemple d'une touriste allemande qui s'est fait cambrioler récemment chez nous, indiquant que «les services de sécurité doivent intervenir pour que le cas de cette touriste soit un exemple pour expliquer aux citoyens que cette personne doit être reçue comme une invitée et que l'on comprenne que la venue de cette touriste est une plus-value sur le plan économique, ce concept doit être admis chez nous» a-t-il déclaré. La sécurité, justement, un est des éléments essentiels pour la promotion du tourisme, en plus de l'hygiène. Pour le DG de l'ONT, «les choses avancent dans ce sens, on commence à y travailler à travers plusieurs plans, dont le Delphine, le plan bleu et le plan vigie plages». Mais la relance réelle du tourisme est tributaire d'une stratégie qui existe, certes, mais dont les retombées sont loin d'être concrètes. A ce sujet, le directeur général de l'ONT expliquera que la stratégie du ministère du Tourisme repose sur 3 projets. Sur le court terme, c'est-à-dire de 2009 à 2010, "il s'agira d'améliorer l'ordinaire en inspectant les prestataires de services, hôtels et restaurants pour qu'ils se mettent en conformité. Une révision à la baisse des prix est nécessaire pour attirer les touristes algériens. Faire en sorte que l'Algérien n'aille pas ailleurs, particulièrement en Tunisie". Pour ce qui est des prévisions à moyen terme, c'est-à-dire vers 2015, «l'on prévoit la concrétisation du Schéma national d'aménagement touristique avec la réception de tous les investissements en cours. Ce schéma directeur apportera la visibilité quant aux 172 pôles touristiques d'excellence. Un décret exécutif en a défini certaines comme zones d'expansion touristique s'étendant sur 50.000 hectares. C'est un programme gigantesque» a indiqué M. Med Belhadj. Et enfin, la troisième phase, «celle qui fera de l'Algérie une destination de choix et une destination concurrentielle» prévue à l'horizon 2025. Le ministère du Tourisme vise également la communauté algérienne établie à l'étranger, Algériens émigrés ou encore bi-nationaux, l'objectif est de les faire venir en Algérie. «Deux catégories sur lesquelles est fondée la communication de l'office». Le directeur général de l'ONT a révélé que l'Algérie est actuellement sous audit et cela depuis 1an. «Nous prenons en considération toutes les remarques qui nous sont adressées par cet organisme français». Le directeur général de l'ONT a reconnu les faiblesses du secteur, dont la qualité des prestations offertes par nos hôtels. «Certains ne méritent même pas une demi étoile, d'autres devraient être déclassés». Il estime, par ailleurs, qu'à l'heure actuelle, «nous ne voulons plus raconter des histoires aux gens, mais l'espoir est permis, j'y crois». Un optimisme clairement affiché du DG de l'ONT pour qui la crise financière n'aura aucun impact sur le secteur «zéro appréhension et infiniment d'espoir» dira t-il, une déclaration qui dénote, encore une fois, d'un optimisme qu'il faudra tout de même relativiser.