La journée internationale de l'enfant a été célébrée, lundi, à travers tout le territoire national. Des festivités ont été organisées à droite et à gauche, pour marquer cet événement, qui, en réalité, est une halte pour l'évaluation des actions institutionnelles entreprises à l'égard de cette population, dans le cadre du respect de la Convention internationale des droits des Enfants. Chaque association, dans son axe d'intervention a émis une série de recommandations et de sollicitations pour les pouvoirs publics, afin de mieux prendre en charge les enfants vulnérables. Les personnes handicapées plaident pour une meilleure insertion scolaire, notamment, l'aménagement des passages pour handicapés dans les écoles. Les associations œuvrant au profit des enfants malades se plaignent de l'absence des activités de loisirs et d'un suivi rigoureux de la scolarité de ces enfants privés de l'école pendant plusieurs mois, voir des années. Ce sont là deux exemples édifiants pour marquer une journée chargée en revendications. Si l'Etat a consacrée une attention particulière pour y répondre à toutes ces sollicitations, il n'en demeure pas moins que le chantier est encore à son début. Les actions ne manquent certes pas mais les résultats sont peu palpables, quand on sait que les défaillances viennent, non seulement du côté des pratiques mais des lois qui protègent les enfants. Le Reseau NADA pour la protection et la promotion des droits des enfants a publié, à l'occasion du 1er juin un exposé exhaustif de la situation juridique qui entoure les droits es enfants. La Stratégie nationale mise en œuvre par le ministère délégué chargé de la Famille et de la condition féminine se trouve à la croisée des chemins, en raison du manque de coordination entre les membres du même gouvernement, concernant les priorités à mettre en avant pour mieux prendre en charge l'enfant. En vérité, toutes les questions devraient être prioritaires et complémentaires. Construire des centres d'accueil pour les enfants abandonnés, pour les personnes handicapées ne peut pas empêcher, de développer en parallèle des mécanismes de protection des enfants maltraités. Il suffit que la volonté émise soit partagée par l'ensemble des acteurs politiques, associatifs et même économiques. L'urgence, pour l'heure est d'accélérer l'adoption du code de Protection des droits des enfants qui sera l'outil essentiel de plaidoyer et de revendication. Le partenariat entre les pouvoirs publics et les associations est une alliance également stratégique pour que les programmes tracés des deux côtés soient répercutés positivement sur les bénéficiaires, les enfants en l'occurrence. La journée internationale de l'enfant a été célébrée, lundi, à travers tout le territoire national. Des festivités ont été organisées à droite et à gauche, pour marquer cet événement, qui, en réalité, est une halte pour l'évaluation des actions institutionnelles entreprises à l'égard de cette population, dans le cadre du respect de la Convention internationale des droits des Enfants. Chaque association, dans son axe d'intervention a émis une série de recommandations et de sollicitations pour les pouvoirs publics, afin de mieux prendre en charge les enfants vulnérables. Les personnes handicapées plaident pour une meilleure insertion scolaire, notamment, l'aménagement des passages pour handicapés dans les écoles. Les associations œuvrant au profit des enfants malades se plaignent de l'absence des activités de loisirs et d'un suivi rigoureux de la scolarité de ces enfants privés de l'école pendant plusieurs mois, voir des années. Ce sont là deux exemples édifiants pour marquer une journée chargée en revendications. Si l'Etat a consacrée une attention particulière pour y répondre à toutes ces sollicitations, il n'en demeure pas moins que le chantier est encore à son début. Les actions ne manquent certes pas mais les résultats sont peu palpables, quand on sait que les défaillances viennent, non seulement du côté des pratiques mais des lois qui protègent les enfants. Le Reseau NADA pour la protection et la promotion des droits des enfants a publié, à l'occasion du 1er juin un exposé exhaustif de la situation juridique qui entoure les droits es enfants. La Stratégie nationale mise en œuvre par le ministère délégué chargé de la Famille et de la condition féminine se trouve à la croisée des chemins, en raison du manque de coordination entre les membres du même gouvernement, concernant les priorités à mettre en avant pour mieux prendre en charge l'enfant. En vérité, toutes les questions devraient être prioritaires et complémentaires. Construire des centres d'accueil pour les enfants abandonnés, pour les personnes handicapées ne peut pas empêcher, de développer en parallèle des mécanismes de protection des enfants maltraités. Il suffit que la volonté émise soit partagée par l'ensemble des acteurs politiques, associatifs et même économiques. L'urgence, pour l'heure est d'accélérer l'adoption du code de Protection des droits des enfants qui sera l'outil essentiel de plaidoyer et de revendication. Le partenariat entre les pouvoirs publics et les associations est une alliance également stratégique pour que les programmes tracés des deux côtés soient répercutés positivement sur les bénéficiaires, les enfants en l'occurrence.