L'augmentation de la production de GNL de 30% est un objectif stratégique pour la compagnie nationale, qui vise à porter la capacité de production de l'Algérie à 85 milliards de m3 à l'horizon 2015. Pour ce faire, la sonatrach a lancé d'importants investissements et ce ne sont pas les projets qui manquent. Abdelahafid Feghouli, vice-président de l'activité aval de la sonatrach a indiqué, hier, sur les ondes de la chaîne III que «l'unité de Skikda, en cours de réalisation, et celle d'Arzew permettront, respectivement, d'augmenter la production de 4,5 millions de tonnes vers 2012. A cela s'ajoutent le Medgaz et le Galsi qui vont permettre d'atteindre cet objectif de 30 milliards de mètres cubes de production en plus». En ces temps de de crise mondiale, des investissements importants ont été consentis. Rien que pour les deux unités de GNL, l'investissement est estimé à 6 milliards de dollars. Il est bien évidemment clair que cette augmentation de la production de 60 à 85 milliards de m3 offrira à la Sonatrach le tiers des recettes globales. Une augmentation qui permettra surtout au groupe pétrolier de conforter sa position à l'international. «Nous sommes déjà très présents en Europe, nous allons tenter d'investir d'autres marchés plus rentables, c'est-à-dire les USA ou encore l'Asie». Le raffinage connaît également une opération de restructuration au sein de la compagnie nationale. Une opération qui passe par la réhabilitation et la modernisation des 4 unités de raffinages existantes (Alger, Arzew, Skikda et Hassi Messaoud). L'objectif est d'augmenter les capacités de raffinage, mais également d'améliorer la qualité des produits. Ainsi, l'on apprend qu'à l'horizon 2013, toute l'essence qui sera vendue sur le marché sera sans plomb. Les conséquences sur l'environnement et pour la santé des citoyens seront, bien évidemment, positives. A ce sujet, le vice-président de l'activité Aval de la sonatrach a tenu à préciser que la Naftec n'a pas disparu, elle a été intégrée à la maison mère. "Elle est aujourd'hui une division de la sonatrach." Le raffinage étant un segment important, il faut avoir un plein contrôle sur cette étape. 3 milliards de dollars ont été débloqués pour cette opération de réhabilitation du raffinage qui permettra, avec la raffinerie de Tiaret, une capacité de production de 15 millions de tonnes pour atteindre, ainsi, l'objectif de 46 millions de tonnes à l'horizon 2014-2015. Le vice-président de l'activité Aval de Sonatrach, Abdelhafid Feghouli, a également évoqué la consommation nationale en gaz. «Le marché national connaît une augmentation de la consommation de gaz estimée actuellement à 24 milliards de mètres cubes, le plus gros va vers la production de l'électricité», dira M. Feghouli. La pétrochimie est également un axe de développement pour la Sonatrach. La stratégie lancée en 2005 commence à donner des résultats selon le vice-président Aval. «2 unités d'ammoniaque et d'urée sont en cours de réalisation a Arzew. Ils permettront à notre pays de se positionner sur le marché des engrais de manière effective». D'autres projets seront finalisés dans les mois à venir avec des consortiums étrangers. L'augmentation de la production de GNL de 30% est un objectif stratégique pour la compagnie nationale, qui vise à porter la capacité de production de l'Algérie à 85 milliards de m3 à l'horizon 2015. Pour ce faire, la sonatrach a lancé d'importants investissements et ce ne sont pas les projets qui manquent. Abdelahafid Feghouli, vice-président de l'activité aval de la sonatrach a indiqué, hier, sur les ondes de la chaîne III que «l'unité de Skikda, en cours de réalisation, et celle d'Arzew permettront, respectivement, d'augmenter la production de 4,5 millions de tonnes vers 2012. A cela s'ajoutent le Medgaz et le Galsi qui vont permettre d'atteindre cet objectif de 30 milliards de mètres cubes de production en plus». En ces temps de de crise mondiale, des investissements importants ont été consentis. Rien que pour les deux unités de GNL, l'investissement est estimé à 6 milliards de dollars. Il est bien évidemment clair que cette augmentation de la production de 60 à 85 milliards de m3 offrira à la Sonatrach le tiers des recettes globales. Une augmentation qui permettra surtout au groupe pétrolier de conforter sa position à l'international. «Nous sommes déjà très présents en Europe, nous allons tenter d'investir d'autres marchés plus rentables, c'est-à-dire les USA ou encore l'Asie». Le raffinage connaît également une opération de restructuration au sein de la compagnie nationale. Une opération qui passe par la réhabilitation et la modernisation des 4 unités de raffinages existantes (Alger, Arzew, Skikda et Hassi Messaoud). L'objectif est d'augmenter les capacités de raffinage, mais également d'améliorer la qualité des produits. Ainsi, l'on apprend qu'à l'horizon 2013, toute l'essence qui sera vendue sur le marché sera sans plomb. Les conséquences sur l'environnement et pour la santé des citoyens seront, bien évidemment, positives. A ce sujet, le vice-président de l'activité Aval de la sonatrach a tenu à préciser que la Naftec n'a pas disparu, elle a été intégrée à la maison mère. "Elle est aujourd'hui une division de la sonatrach." Le raffinage étant un segment important, il faut avoir un plein contrôle sur cette étape. 3 milliards de dollars ont été débloqués pour cette opération de réhabilitation du raffinage qui permettra, avec la raffinerie de Tiaret, une capacité de production de 15 millions de tonnes pour atteindre, ainsi, l'objectif de 46 millions de tonnes à l'horizon 2014-2015. Le vice-président de l'activité Aval de Sonatrach, Abdelhafid Feghouli, a également évoqué la consommation nationale en gaz. «Le marché national connaît une augmentation de la consommation de gaz estimée actuellement à 24 milliards de mètres cubes, le plus gros va vers la production de l'électricité», dira M. Feghouli. La pétrochimie est également un axe de développement pour la Sonatrach. La stratégie lancée en 2005 commence à donner des résultats selon le vice-président Aval. «2 unités d'ammoniaque et d'urée sont en cours de réalisation a Arzew. Ils permettront à notre pays de se positionner sur le marché des engrais de manière effective». D'autres projets seront finalisés dans les mois à venir avec des consortiums étrangers.