L'insécurité grandissante dans la capitale ne cesse d'inquiéter les riverains. Ces derniers tirent la sonnette d'alarme face à cette situation qui a instauré un climat de terreur condamnant les personnes à rejoindre leurs foyers et à s'y enfermer dès le crépuscule. L'insécurité grandissante dans la capitale ne cesse d'inquiéter les riverains. Ces derniers tirent la sonnette d'alarme face à cette situation qui a instauré un climat de terreur condamnant les personnes à rejoindre leurs foyers et à s'y enfermer dès le crépuscule. La violence dans la capitale gagne de plus en plus du terrain et la liste des agressions, bien trop souvent fatales, va en s'allongeant. Samedi soir aux environs de 23h30, un jeune homme a été agressé à l'arme blanche à la rue Mustapha-Ferroukhi à Alger-Centre. Le malheureux a reçu plusieurs coups de couteau au niveau du cou. La victime a été aussitôt transférée à l'hôpital pour y recevoir les soins d'urgence. Les services de police ont, au cours d'une patrouille nocturne coïncidant avec ce drame, réussi à mettre la main sur l'auteur de cette agression, au moment où il tentait de prendre la clé des champs. Ils ont ainsi récupéré l'arme blanche ayant servi à l'agression. Son auteur serait selon des témoins oculaires, un repris de justice notoire et bien connu dans le quartier qui serait d'ailleurs recherché, depuis pas mal de temps, par les services de police pour plusieurs affaires criminelles. Ce crime n'a pas encore révélé ses dessous, l'agresseur et sa victime se connaissaient-ils ? S'agit-il simplement d'un règlement de compte ? L'agresseur était-il ivre ou sous l'effet de produits illicites ? Autant de questions que se posent les riverains. Une évidence, toutefois : le marché Clausel, la rue Mustapha-Ferroukhi et les alentours de ce quartier sont, fréquemment, le théâtre de plusieurs actes de violence et représentent l'axe de tous les dangers. Des lieux qui, après une journée très mouvementée, se transforment la nuit venue en un site particulièrement prisé par les SDF. Les débits de boissons alcoolisées qui gravitent aux alentours ne sont pas faits pour arranger les choses. Pas une nuit ne s'écoule sans qu'un cas de violence ; bagarre, agression... ne soit déploré par les riverains qui préfèrent se calfeuter chez eux en se bouchant les oreilles pour ne pas entendre les insanités proférées par les squatteurs des lieux. Une femme a été délestée de son téléphone portable en plein jour il y a justequelques jours. Un SDF, s'introduisant le matin du vendredi dans un café du quartier y a semé la panique, faisant fuir les consommateurs. Il a fallu l'intervention musclée du gérant du café pour enfin le mettre à la porte et rétablir l'ordre. La sonnette d'alarme est ainsi tirée et à la veille de recevoir nos hôtes dans le cadre du Festival panafricain il est impératif de sécuriser la ville. S. N. La violence dans la capitale gagne de plus en plus du terrain et la liste des agressions, bien trop souvent fatales, va en s'allongeant. Samedi soir aux environs de 23h30, un jeune homme a été agressé à l'arme blanche à la rue Mustapha-Ferroukhi à Alger-Centre. Le malheureux a reçu plusieurs coups de couteau au niveau du cou. La victime a été aussitôt transférée à l'hôpital pour y recevoir les soins d'urgence. Les services de police ont, au cours d'une patrouille nocturne coïncidant avec ce drame, réussi à mettre la main sur l'auteur de cette agression, au moment où il tentait de prendre la clé des champs. Ils ont ainsi récupéré l'arme blanche ayant servi à l'agression. Son auteur serait selon des témoins oculaires, un repris de justice notoire et bien connu dans le quartier qui serait d'ailleurs recherché, depuis pas mal de temps, par les services de police pour plusieurs affaires criminelles. Ce crime n'a pas encore révélé ses dessous, l'agresseur et sa victime se connaissaient-ils ? S'agit-il simplement d'un règlement de compte ? L'agresseur était-il ivre ou sous l'effet de produits illicites ? Autant de questions que se posent les riverains. Une évidence, toutefois : le marché Clausel, la rue Mustapha-Ferroukhi et les alentours de ce quartier sont, fréquemment, le théâtre de plusieurs actes de violence et représentent l'axe de tous les dangers. Des lieux qui, après une journée très mouvementée, se transforment la nuit venue en un site particulièrement prisé par les SDF. Les débits de boissons alcoolisées qui gravitent aux alentours ne sont pas faits pour arranger les choses. Pas une nuit ne s'écoule sans qu'un cas de violence ; bagarre, agression... ne soit déploré par les riverains qui préfèrent se calfeuter chez eux en se bouchant les oreilles pour ne pas entendre les insanités proférées par les squatteurs des lieux. Une femme a été délestée de son téléphone portable en plein jour il y a justequelques jours. Un SDF, s'introduisant le matin du vendredi dans un café du quartier y a semé la panique, faisant fuir les consommateurs. Il a fallu l'intervention musclée du gérant du café pour enfin le mettre à la porte et rétablir l'ordre. La sonnette d'alarme est ainsi tirée et à la veille de recevoir nos hôtes dans le cadre du Festival panafricain il est impératif de sécuriser la ville. S. N.