Baraques, taudis et gourbis de fortune poussent comme des champignons au grand dam des autorités. En raison de l'absence de l'autorité de l'Etat, la wilaya est confrontée à une série de problèmes. Baraques, taudis et gourbis de fortune poussent comme des champignons au grand dam des autorités. En raison de l'absence de l'autorité de l'Etat, la wilaya est confrontée à une série de problèmes. Le tissu urbanistique de la wilaya de Boumerdès est défiguré par la prolifération des constructions illicites. Les communes de la wilaya sont, dans la plupart, gagnées par ce phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Des baraques, des taudis et des gourbis de fortune poussent comme des champignons au grand dam des autorités. En raison de l'absence de l'autorité de l'Etat, la wilaya est confrontée à une série de problèmes. Saleté, prolifération du commerce informel, squat des espaces publics, dégradation du cadre de vie des citoyens, tels sont les clichés du quotidien que traverse le citoyen dans cette contrée du pays. Les villes de la wilaya sont devenues de véritables poches de précarité où les constructions illicites et habitations précaires sont légion. A titre d'exemple, l'on peut citer l'image déplorable de la commune de Cap Djenet. Cette localité située à 30 km à l'est du chef-lieu de wilaya, avec une population avoisinant les 25.000 âmes, croule sous le poids des problèmes d'un autre âge. Le chef-lieu communal est inondé par les constructions illicites et les habitations précaires dépassent les 600. Ceci a causé une anarchie urbaine galopante ce qui a compromis le développement de toute la localité. Car les sites stratégiques sont occupés par les constructions illicites, notamment ceux situés sur les bordures de littoral sur la RN 24. A Boudouaou, une ville située à l'ouest du chef-lieu de wilaya, les constructions illicites prolifèrent, notamment à Boudouaou El Bahri. Dans cette région, l'ampleur du phénomène a contrecarré le développement local. La plupart des constructions érigées dans cette localité se trouvent au niveau du littoral qui, au fur et à mesure, a empêché la réalisation des projets touristiques dignes de ce nom. Dans ses diverses déclarations et lors de ses sorties sur le terrain, le wali de Boumerdès, en l'occurrence M. Merad Brahim, a mis l'accent sur la nécessité d'éradiquer le phénomène des constructions illicites et le rétablissement de l'autorité de l'Etat. T. O. Le tissu urbanistique de la wilaya de Boumerdès est défiguré par la prolifération des constructions illicites. Les communes de la wilaya sont, dans la plupart, gagnées par ce phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Des baraques, des taudis et des gourbis de fortune poussent comme des champignons au grand dam des autorités. En raison de l'absence de l'autorité de l'Etat, la wilaya est confrontée à une série de problèmes. Saleté, prolifération du commerce informel, squat des espaces publics, dégradation du cadre de vie des citoyens, tels sont les clichés du quotidien que traverse le citoyen dans cette contrée du pays. Les villes de la wilaya sont devenues de véritables poches de précarité où les constructions illicites et habitations précaires sont légion. A titre d'exemple, l'on peut citer l'image déplorable de la commune de Cap Djenet. Cette localité située à 30 km à l'est du chef-lieu de wilaya, avec une population avoisinant les 25.000 âmes, croule sous le poids des problèmes d'un autre âge. Le chef-lieu communal est inondé par les constructions illicites et les habitations précaires dépassent les 600. Ceci a causé une anarchie urbaine galopante ce qui a compromis le développement de toute la localité. Car les sites stratégiques sont occupés par les constructions illicites, notamment ceux situés sur les bordures de littoral sur la RN 24. A Boudouaou, une ville située à l'ouest du chef-lieu de wilaya, les constructions illicites prolifèrent, notamment à Boudouaou El Bahri. Dans cette région, l'ampleur du phénomène a contrecarré le développement local. La plupart des constructions érigées dans cette localité se trouvent au niveau du littoral qui, au fur et à mesure, a empêché la réalisation des projets touristiques dignes de ce nom. Dans ses diverses déclarations et lors de ses sorties sur le terrain, le wali de Boumerdès, en l'occurrence M. Merad Brahim, a mis l'accent sur la nécessité d'éradiquer le phénomène des constructions illicites et le rétablissement de l'autorité de l'Etat. T. O.