A Bordj Ménaïel, des commerçants à la sauvette disputent même la route aux automobilistes en étalant leurs marchandises au grand dam des usagers. L'axe principal de la ville est pris d'assaut par des dizaines de jeunes qui squattent les trottoirs causant une anarchie indescriptible. A Bordj Ménaïel, des commerçants à la sauvette disputent même la route aux automobilistes en étalant leurs marchandises au grand dam des usagers. L'axe principal de la ville est pris d'assaut par des dizaines de jeunes qui squattent les trottoirs causant une anarchie indescriptible. Dans la wilaya de Boumerdès, le phénomène des marchés informels prend de plus en plus de l'ampleur. Un phénomène encouragé par l'absence de l'autorité de l'Etat. Par conséquence, l'anarchie règne en roi et le désordre s'installe à longueur de journée. Là où l'on se rend, un décor fait d'insalubrité et de puanteur frappe frappe de plein fouet. Aucune des 32 communes composant Boumerdès n'est à ce jour dotée d'un marché digne de ce nom. Ceux qui y existent ont été construits durant la période coloniale et ne répondent pas, dans la majorité des cas, aux besoins des consommateurs. Le marché se trouvant à Boudouaou n'est qu'un exemple parmi tant d'autres qui ne répondent plus aux exigences des consommateurs. Construit par les Français, ce marché est actuellement dans un état lamentable. De même pour celui des Issers où celui de Bordj Ménaïel où les règles d'hygiène les plus élémentaires ne sont plus respectées. Des odeurs nauséabondes se dégagent à longueur de journée et des tas d'ordures jonchent tous les endroits. Cette situation désastreuse a encouragé la prolifération de marchés informels à travers toutes les communes de la wilaya. A Bordj Ménaïel, des commerçants à la sauvette disputent même la route aux automobilistes en étalant leurs marchandises au grand dam des usagers. L'axe principal de la ville est pris d'assaut par des dizaines de jeunes qui squattent les trottoirs pour vendre leurs marchandises, causant ainsi une anarchie indescriptible et mettant la sécurité des passants en danger, puisqu'ils les obligent de traverser à même sur la chaussée. Ce phénomène ne fait que s'accentuer. Le quartier Génie Sider, dans la commune de Zemmouri, subit encore le même sort. Tous les espaces sont pris par des commerçants de fortune qui dictent d'ores et déjà leur diktat. Ce phénomène, faut-il le rappeler, a pris de l'ampleur particulièrement au lendemain du séisme de 2003. En dépit de l'existence d'un marché de 60 locaux dans la commune de Thénia, des commerçants continuent à exercer dans l'anarchie et occupent toujours une grande partie de la route de stade de la ville. L'APC compte rouvrir ces locaux prochainement. Pour cela, une opération de réfection a été lancée récemment. La même situation prévaut à Cap Djenet, à l'est de la wilaya, où des dizaines d'individus ont squatté les accotements de la RN 24. Le nombre de ces pseudo-commerçants se multiplie particulièrement en été, une saison des bonnes affaires, de fait que des milliers d'estivants s'y rendent. Dans la commune de Chaâbet El-Ameur, au sud-est du chef-lieu de wilaya, le phénomène de squatt des espaces publics est devenu presque un procédé ordinaire. L'on construit même des taudis et des baraques de tôle servant de commerce qui poussent comme des champignons. Tous les trottoirs de la ville sont quasiment squattés. L'image la plus édifiante dans cette localité est le marché des fruits et légumes se trouvant au centre-ville et qui encombre grandement la circulation routière. Par ailleurs, 63 marchés informels ont été recensés par la wilaya et qui occupent une superficie de 75 mille m2. Tous les discours lancés par les autorités locales et de wilaya afin de venir à bout de ce phénomène sont restés lettre morte. A l'exception de l'éradication du marché longeant la RN 24, à hauteur de Figuier, mais celui-ci a repris bel et bien car aucun endroit n'a été mis à la disposition des commerçants. Il en convient, toutefois, de dire que la construction de marchés couverts contribue au renflouement des caisses des communes. T. O. Dans la wilaya de Boumerdès, le phénomène des marchés informels prend de plus en plus de l'ampleur. Un phénomène encouragé par l'absence de l'autorité de l'Etat. Par conséquence, l'anarchie règne en roi et le désordre s'installe à longueur de journée. Là où l'on se rend, un décor fait d'insalubrité et de puanteur frappe frappe de plein fouet. Aucune des 32 communes composant Boumerdès n'est à ce jour dotée d'un marché digne de ce nom. Ceux qui y existent ont été construits durant la période coloniale et ne répondent pas, dans la majorité des cas, aux besoins des consommateurs. Le marché se trouvant à Boudouaou n'est qu'un exemple parmi tant d'autres qui ne répondent plus aux exigences des consommateurs. Construit par les Français, ce marché est actuellement dans un état lamentable. De même pour celui des Issers où celui de Bordj Ménaïel où les règles d'hygiène les plus élémentaires ne sont plus respectées. Des odeurs nauséabondes se dégagent à longueur de journée et des tas d'ordures jonchent tous les endroits. Cette situation désastreuse a encouragé la prolifération de marchés informels à travers toutes les communes de la wilaya. A Bordj Ménaïel, des commerçants à la sauvette disputent même la route aux automobilistes en étalant leurs marchandises au grand dam des usagers. L'axe principal de la ville est pris d'assaut par des dizaines de jeunes qui squattent les trottoirs pour vendre leurs marchandises, causant ainsi une anarchie indescriptible et mettant la sécurité des passants en danger, puisqu'ils les obligent de traverser à même sur la chaussée. Ce phénomène ne fait que s'accentuer. Le quartier Génie Sider, dans la commune de Zemmouri, subit encore le même sort. Tous les espaces sont pris par des commerçants de fortune qui dictent d'ores et déjà leur diktat. Ce phénomène, faut-il le rappeler, a pris de l'ampleur particulièrement au lendemain du séisme de 2003. En dépit de l'existence d'un marché de 60 locaux dans la commune de Thénia, des commerçants continuent à exercer dans l'anarchie et occupent toujours une grande partie de la route de stade de la ville. L'APC compte rouvrir ces locaux prochainement. Pour cela, une opération de réfection a été lancée récemment. La même situation prévaut à Cap Djenet, à l'est de la wilaya, où des dizaines d'individus ont squatté les accotements de la RN 24. Le nombre de ces pseudo-commerçants se multiplie particulièrement en été, une saison des bonnes affaires, de fait que des milliers d'estivants s'y rendent. Dans la commune de Chaâbet El-Ameur, au sud-est du chef-lieu de wilaya, le phénomène de squatt des espaces publics est devenu presque un procédé ordinaire. L'on construit même des taudis et des baraques de tôle servant de commerce qui poussent comme des champignons. Tous les trottoirs de la ville sont quasiment squattés. L'image la plus édifiante dans cette localité est le marché des fruits et légumes se trouvant au centre-ville et qui encombre grandement la circulation routière. Par ailleurs, 63 marchés informels ont été recensés par la wilaya et qui occupent une superficie de 75 mille m2. Tous les discours lancés par les autorités locales et de wilaya afin de venir à bout de ce phénomène sont restés lettre morte. A l'exception de l'éradication du marché longeant la RN 24, à hauteur de Figuier, mais celui-ci a repris bel et bien car aucun endroit n'a été mis à la disposition des commerçants. Il en convient, toutefois, de dire que la construction de marchés couverts contribue au renflouement des caisses des communes. T. O.