Le coup de filet le plus important a été opéré par les gardes-côtes de Annaba, dans la soirée de dimanche passé, avec l'interception de 104 candidatsà l'émigration clandestine. Le coup de filet le plus important a été opéré par les gardes-côtes de Annaba, dans la soirée de dimanche passé, avec l'interception de 104 candidatsà l'émigration clandestine. Depuis le début du mois en cours et jusqu'à mardi passé, soit en l'espace de quinze jours seulement, 233 candidats à l'émigration clandestine ont été interceptés par les groupements territoriaux des gardes-côtes au large de la Méditerranée, selon un bilan-presse. Le coup de filet le plus important a été opéré par les gardes-côtes de Annaba, dans la soirée de dimanche passé, avec l'interception de 104 candidats à l'émigration clandestine . Deux groupes, composés respectivement de 23 et 31 jeunes ont été, dans un premier temps, arrêtés avait indiqué le chef de la station principale des gardes-côtes de Annaba, Abdelaziz Zaidi. Le premier de ces deux groupes se trouvait à bord d'une embarcation artisanale lorsqu'il at été repéré par les gardes-côtes. Deux autres groupes, 50 personnes au total, et qui voulaient se rendre en Italie ont ensuite été interceptés. Déjà au début de cette semaine, deux groupes de 39 "harraga" chacun avaient été interceptés samedi près d'Annaba. L'embarcation artisanale, à bord de laquelle se trouvait les "harraga", avait pris la mer à partir de la plage Seybouse aux environs de minuit avant son interception vers trois heures du matin par une patrouille. Trente autres "harraga", parmi eux deux jeunes filles l'une enceinte, ont été interceptés vendredi au large d'Oran. Le 2 juin écoulé, les gardes-côtes ont arrêté 19 migrants clandestins tous Oranais âgés entre 21 et 22 ans, au large d'Oran. Voyageant à bord d'un canot pneumatique, ils avaient embarqué vers une destination incertaine. Le surlendemain soit le 5 juin, un autre groupe de constitué de 18 jeunes de 17 à 29 ans, a été intercepté au large de Annaba. L'embarcation de fabrication artisanale, à bord de laquelle les «harraga» avaient pris place, a été interceptée par une patrouille de surveillance des gardes-côtes, au large de Ras el Hamra, un peu plus d'une heure après sa mise à l'eau. Qualques jours plus tards, le 12 juin plus précisément, trente migrants illégaux, dont deux jeunes filles, et deux mineurs, ont été interceptés au large du littoral oranais par les gardes-côtes. L'interception de ces migrants illégaux, qui s'apprêtaient à rallier les côtes espagnoles, s'est faite aux environs de 14 h. Le mois écoulé, toujours selon un bilan-presse, c'est plus d'une centaine de "harragas" qui a été interceptée. Des statistiques qui sont aussi effarantes qu'alarmantes sur l'ampleur que tend à prendre ce phénomène qui demeure une véritable tragédie humaine. Avec le retour du beau temps, ces "harraga" prennent souvent, dans une totale illégalité, des risques importants, pouvant mettre leur vie en péril, afin de rejoindre l'autre rive de la Méditerranée. Dans leur entreprise, ils sont souvent aidés par des passeurs peu scrupuleux leur faisant payer des prix exorbitants pour leur fournir les moyens de franchir les obstacles naturels ou encore humains, dans des conditions extrêmement précaires. Toutes les personnes interceptées sont évidemment présentées devant les procureurs généraux territorialement compétents. Les peines prononcées à leur encontre vont de 6 à 12 mois de prison ferme tel que stipulé par le code pénal qui depuis décembre passé a pénalisé cet acte. Une disposition qui est apparemment loin d'être perçue comme un acte dissuasif. Les solutions devraient, peut-être, être recherchées ailleurs… Depuis le début du mois en cours et jusqu'à mardi passé, soit en l'espace de quinze jours seulement, 233 candidats à l'émigration clandestine ont été interceptés par les groupements territoriaux des gardes-côtes au large de la Méditerranée, selon un bilan-presse. Le coup de filet le plus important a été opéré par les gardes-côtes de Annaba, dans la soirée de dimanche passé, avec l'interception de 104 candidats à l'émigration clandestine . Deux groupes, composés respectivement de 23 et 31 jeunes ont été, dans un premier temps, arrêtés avait indiqué le chef de la station principale des gardes-côtes de Annaba, Abdelaziz Zaidi. Le premier de ces deux groupes se trouvait à bord d'une embarcation artisanale lorsqu'il at été repéré par les gardes-côtes. Deux autres groupes, 50 personnes au total, et qui voulaient se rendre en Italie ont ensuite été interceptés. Déjà au début de cette semaine, deux groupes de 39 "harraga" chacun avaient été interceptés samedi près d'Annaba. L'embarcation artisanale, à bord de laquelle se trouvait les "harraga", avait pris la mer à partir de la plage Seybouse aux environs de minuit avant son interception vers trois heures du matin par une patrouille. Trente autres "harraga", parmi eux deux jeunes filles l'une enceinte, ont été interceptés vendredi au large d'Oran. Le 2 juin écoulé, les gardes-côtes ont arrêté 19 migrants clandestins tous Oranais âgés entre 21 et 22 ans, au large d'Oran. Voyageant à bord d'un canot pneumatique, ils avaient embarqué vers une destination incertaine. Le surlendemain soit le 5 juin, un autre groupe de constitué de 18 jeunes de 17 à 29 ans, a été intercepté au large de Annaba. L'embarcation de fabrication artisanale, à bord de laquelle les «harraga» avaient pris place, a été interceptée par une patrouille de surveillance des gardes-côtes, au large de Ras el Hamra, un peu plus d'une heure après sa mise à l'eau. Qualques jours plus tards, le 12 juin plus précisément, trente migrants illégaux, dont deux jeunes filles, et deux mineurs, ont été interceptés au large du littoral oranais par les gardes-côtes. L'interception de ces migrants illégaux, qui s'apprêtaient à rallier les côtes espagnoles, s'est faite aux environs de 14 h. Le mois écoulé, toujours selon un bilan-presse, c'est plus d'une centaine de "harragas" qui a été interceptée. Des statistiques qui sont aussi effarantes qu'alarmantes sur l'ampleur que tend à prendre ce phénomène qui demeure une véritable tragédie humaine. Avec le retour du beau temps, ces "harraga" prennent souvent, dans une totale illégalité, des risques importants, pouvant mettre leur vie en péril, afin de rejoindre l'autre rive de la Méditerranée. Dans leur entreprise, ils sont souvent aidés par des passeurs peu scrupuleux leur faisant payer des prix exorbitants pour leur fournir les moyens de franchir les obstacles naturels ou encore humains, dans des conditions extrêmement précaires. Toutes les personnes interceptées sont évidemment présentées devant les procureurs généraux territorialement compétents. Les peines prononcées à leur encontre vont de 6 à 12 mois de prison ferme tel que stipulé par le code pénal qui depuis décembre passé a pénalisé cet acte. Une disposition qui est apparemment loin d'être perçue comme un acte dissuasif. Les solutions devraient, peut-être, être recherchées ailleurs…