Ce sont surtout les partisans du malheureux Moussavi, ex-Premier ministre, et candidat modéré à la présidentielle, qui ont manifesté, dans un premier temps dans un calme absolu, puis tout aurait dégénéré par la faute d'éléments perturbateurs, à hauteur d'une base de la milice islamique du bassidj. Une confrontation s'est alors engagée entre policiers et manifestants dont un d'entre eux aurait été touché mortellement par balles. Ce sont surtout les partisans du malheureux Moussavi, ex-Premier ministre, et candidat modéré à la présidentielle, qui ont manifesté, dans un premier temps dans un calme absolu, puis tout aurait dégénéré par la faute d'éléments perturbateurs, à hauteur d'une base de la milice islamique du bassidj. Une confrontation s'est alors engagée entre policiers et manifestants dont un d'entre eux aurait été touché mortellement par balles. Depuis la réélection du président Ahmedinedjad, l'on assiste à des manifestations de rue, interdites par le ministère de l'Intérieur, pour contester les résultat du scrutin présidentiel et demander son annulation pure et simple. Ce sont surtout les partisans du malheureux Moussavi, ex-Premier ministre, candidat modéré à la présidentielle, qui ont manifesté, dans un premier temps, dans un calme absolu puis tout aurait dégénéré par la faute d'éléments perturbateur à hauteur d'une base de la milice islamique du bassidj. La confrontation s'est alors engagée entre policiers et manifestants dont un d'entre eux aurait été touché mortellement par balles. Mir Hossein Moussavi, qui parle de scrutin truqué a participé à la manifestation, de même que le candidat réformateur Mehdi Karoubi. Même l'épouse de l'ancien Premier ministre se dit prête à tout faire pour que l'on annule l'élection. Quant au guide suprême, Ali Khamenei, pour qui le résultat du scrutin s'apparente à une "vraie fête", il a appelé M. Moussavi, un ancien Premier ministre et un conservateur modéré, à poursuivre sa contestation par la seule voie légale. Il se référait au dépôt, par M. Moussavi, d'une requête en annulation du scrutin devant le Conseil des gardiens de la Constitution, qui a annoncé dans la soirée qu'il se prononcerait bientôt sur le sujet. Certains pays d'Occident comme la France ont condamné les violences contre les manifestants et ont convoqué leurs ambassadeurs pour demander que les ambassades européennes soient protégées contre d'éventuels débordements. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a souligné que la volonté du peuple devait être respectée alors que l'Union européenne a demandé à l'Iran d'enquêter sur l'élection. Les violences à Téhéran, sont les plus importantes depuis les émeutes estudiantines de juillet 1979 qui ont conduit à la révolution islamique et provoqué la chute et la fuite du shah d'Iran Rezah Pahlavi. Son fils Reza, réfugié aux Etats unis depuis la mort de son père a appelé à une «désobéissance civile» et lance un appel aux Etats-Unis pour qu'ils fassent preuve de "solidarité" envers le peuple iranien et dénoncer "la fraude" électorale en Iran. Un peu pour tenter de calmer l'opposition, le Conseil des gardiens de la Constitution en Iran s'est dit, hier, prêt à procéder à un recomptage des bulletins de vote des urnes "sujettes à contestation" de la part de l'opposition après la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad. "Le Conseil des gardiens de la Constitution ordonnera un nouveau décompte des voix s'il s'avère que des irrégularités comme l'achat de voix ou l'utilisation de fausses cartes d'électeurs ont été commises", a affirmé le porte-parole du Conseil, Abbas Ali Kadkhodaï. Selon les résultas définitifs du scrutin présidentiel annoncés par le ministre de l'Intérieur, Sadeq Mahsouli, M. Ahmadinejad a remporté l'élection du 12 juin avec 62,63% de voix, face à son principal rival, l'ancien Premier ministre Mir-Hossein Mousavi, qui en a obtenu 33,75%. Ces résultats sont contestés par l'opposition qui réclame la tenue d'un nouveau scrutin. Depuis la réélection du président Ahmedinedjad, l'on assiste à des manifestations de rue, interdites par le ministère de l'Intérieur, pour contester les résultat du scrutin présidentiel et demander son annulation pure et simple. Ce sont surtout les partisans du malheureux Moussavi, ex-Premier ministre, candidat modéré à la présidentielle, qui ont manifesté, dans un premier temps, dans un calme absolu puis tout aurait dégénéré par la faute d'éléments perturbateur à hauteur d'une base de la milice islamique du bassidj. La confrontation s'est alors engagée entre policiers et manifestants dont un d'entre eux aurait été touché mortellement par balles. Mir Hossein Moussavi, qui parle de scrutin truqué a participé à la manifestation, de même que le candidat réformateur Mehdi Karoubi. Même l'épouse de l'ancien Premier ministre se dit prête à tout faire pour que l'on annule l'élection. Quant au guide suprême, Ali Khamenei, pour qui le résultat du scrutin s'apparente à une "vraie fête", il a appelé M. Moussavi, un ancien Premier ministre et un conservateur modéré, à poursuivre sa contestation par la seule voie légale. Il se référait au dépôt, par M. Moussavi, d'une requête en annulation du scrutin devant le Conseil des gardiens de la Constitution, qui a annoncé dans la soirée qu'il se prononcerait bientôt sur le sujet. Certains pays d'Occident comme la France ont condamné les violences contre les manifestants et ont convoqué leurs ambassadeurs pour demander que les ambassades européennes soient protégées contre d'éventuels débordements. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a souligné que la volonté du peuple devait être respectée alors que l'Union européenne a demandé à l'Iran d'enquêter sur l'élection. Les violences à Téhéran, sont les plus importantes depuis les émeutes estudiantines de juillet 1979 qui ont conduit à la révolution islamique et provoqué la chute et la fuite du shah d'Iran Rezah Pahlavi. Son fils Reza, réfugié aux Etats unis depuis la mort de son père a appelé à une «désobéissance civile» et lance un appel aux Etats-Unis pour qu'ils fassent preuve de "solidarité" envers le peuple iranien et dénoncer "la fraude" électorale en Iran. Un peu pour tenter de calmer l'opposition, le Conseil des gardiens de la Constitution en Iran s'est dit, hier, prêt à procéder à un recomptage des bulletins de vote des urnes "sujettes à contestation" de la part de l'opposition après la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad. "Le Conseil des gardiens de la Constitution ordonnera un nouveau décompte des voix s'il s'avère que des irrégularités comme l'achat de voix ou l'utilisation de fausses cartes d'électeurs ont été commises", a affirmé le porte-parole du Conseil, Abbas Ali Kadkhodaï. Selon les résultas définitifs du scrutin présidentiel annoncés par le ministre de l'Intérieur, Sadeq Mahsouli, M. Ahmadinejad a remporté l'élection du 12 juin avec 62,63% de voix, face à son principal rival, l'ancien Premier ministre Mir-Hossein Mousavi, qui en a obtenu 33,75%. Ces résultats sont contestés par l'opposition qui réclame la tenue d'un nouveau scrutin.