Christopher Ross, qui était ce jeudi dans les camps des réfugiés sahraouis de Tindouf, dans le cadre d'une tournée dans la région a, en effet, eu des discussions avec Mohamed Abdelaziz. Christopher Ross, qui était ce jeudi dans les camps des réfugiés sahraouis de Tindouf, dans le cadre d'une tournée dans la région a, en effet, eu des discussions avec Mohamed Abdelaziz. L'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU au Sahara Occidental a eu ce jeudi des entretiens avec le Président de la RASD (République arabe sahraouie démocratique). Christopher Ross, qui était ce jeudi dans les camps des réfugiés sahraouis de Tindouf, dans le cadre d'une tournée dans la région a, en effet, eu des discussions avec Mohamed Abdelaziz. Selon l'agence de presse sahraouie (SPS), qui cite ce diplomate onusien, «les entretiens ont porté sur tous les aspects du conflit. Nous avons étudié la manière d'aller de l'avant dans les plus brefs délais et je suis optimiste quant à la possibilité de faire le premier pas vers la solution sans tarder», a indiqué à la presse Christopher Ross après sa rencontre avec le chef du Front Polisario. Depuis qu'il a été nommé à ce poste par Ban Ki-moon Christopher Ross, qui a déjà effectué une première tournée dans la région au mois de février dernier, ne cesse de faire preuve d'optimisme à propos d'une solution à cette question de décolonisation. Mercredi passé, et à l'issue d'une audience que lui a accordé le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, Ross ne s'est pas empêché de faire preuve d'optimisme. «Je crois que nous sommes sur le bon chemin pour procéder à la prochaine étape dans la recherche d'une solution à cette grande question», a-t-il, en effet, indiqué dans une déclaration à la presse. Pour leur part les responsables sahraouis ont transmis au représentant du secrétaire général de l'ONU leurs préoccupations, ce, d'autant que les négociations avec le Maroc qui occupe ce territoire depuis 1975, n'avancent pas. «Nous avons affirmé au représentant spécial notre disponibilité à coopérer avec lui avec bonne foi pour mettre en œuvre la dernière résolution du Conseil de sécurité qui appelle à des négociations entre les deux parties en conflit, le Front Polisario et le Maroc, sans conditions préalables pour parvenir à une solution garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», a déclaré ce jeudi M'hamed Khadad, membre du secrétariat national du front Polisario. Les Sahraouis accusent le Maroc d'être à l'origine du blocage des négociations directes entre les deux parties en conflit tout en n'hésitant pas, par ailleurs, à rappeler à l'ONU «son entière responsabilité». Tout récemment le conseil des ministres sahraouis a dénoncé «Les violations des droits de l'Homme commises par les autorités de l'occupation marocaine à l'encontre de citoyens sans défense et des défenseurs des droits de l'Homme qui sont victimes d'arrestations, d'enlèvements, de torture et de harcèlement». L'appel est aussi lancé en direction de l'ONU pour qu'elle assume «son entière responsabilité au Sahara Occidental pour mettre fin au colonialisme marocain et organiser un référendum libre, équitable et transparent qui permettra au peuple sahraoui d'exercer son droit inaliénable à l'autodétermination et à l'indépendance». Il est à rappeler que quatre séries de négociations n'ont abouti à rien puisque le Polisario exige un référendum d'autodétermination alors que le Maroc privilégie la voie de l'autonomie. Christopher Ross, qui était hier en Mauritanie, doit se rendre à Rabat aujourd'hui. L'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU au Sahara Occidental a eu ce jeudi des entretiens avec le Président de la RASD (République arabe sahraouie démocratique). Christopher Ross, qui était ce jeudi dans les camps des réfugiés sahraouis de Tindouf, dans le cadre d'une tournée dans la région a, en effet, eu des discussions avec Mohamed Abdelaziz. Selon l'agence de presse sahraouie (SPS), qui cite ce diplomate onusien, «les entretiens ont porté sur tous les aspects du conflit. Nous avons étudié la manière d'aller de l'avant dans les plus brefs délais et je suis optimiste quant à la possibilité de faire le premier pas vers la solution sans tarder», a indiqué à la presse Christopher Ross après sa rencontre avec le chef du Front Polisario. Depuis qu'il a été nommé à ce poste par Ban Ki-moon Christopher Ross, qui a déjà effectué une première tournée dans la région au mois de février dernier, ne cesse de faire preuve d'optimisme à propos d'une solution à cette question de décolonisation. Mercredi passé, et à l'issue d'une audience que lui a accordé le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, Ross ne s'est pas empêché de faire preuve d'optimisme. «Je crois que nous sommes sur le bon chemin pour procéder à la prochaine étape dans la recherche d'une solution à cette grande question», a-t-il, en effet, indiqué dans une déclaration à la presse. Pour leur part les responsables sahraouis ont transmis au représentant du secrétaire général de l'ONU leurs préoccupations, ce, d'autant que les négociations avec le Maroc qui occupe ce territoire depuis 1975, n'avancent pas. «Nous avons affirmé au représentant spécial notre disponibilité à coopérer avec lui avec bonne foi pour mettre en œuvre la dernière résolution du Conseil de sécurité qui appelle à des négociations entre les deux parties en conflit, le Front Polisario et le Maroc, sans conditions préalables pour parvenir à une solution garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», a déclaré ce jeudi M'hamed Khadad, membre du secrétariat national du front Polisario. Les Sahraouis accusent le Maroc d'être à l'origine du blocage des négociations directes entre les deux parties en conflit tout en n'hésitant pas, par ailleurs, à rappeler à l'ONU «son entière responsabilité». Tout récemment le conseil des ministres sahraouis a dénoncé «Les violations des droits de l'Homme commises par les autorités de l'occupation marocaine à l'encontre de citoyens sans défense et des défenseurs des droits de l'Homme qui sont victimes d'arrestations, d'enlèvements, de torture et de harcèlement». L'appel est aussi lancé en direction de l'ONU pour qu'elle assume «son entière responsabilité au Sahara Occidental pour mettre fin au colonialisme marocain et organiser un référendum libre, équitable et transparent qui permettra au peuple sahraoui d'exercer son droit inaliénable à l'autodétermination et à l'indépendance». Il est à rappeler que quatre séries de négociations n'ont abouti à rien puisque le Polisario exige un référendum d'autodétermination alors que le Maroc privilégie la voie de l'autonomie. Christopher Ross, qui était hier en Mauritanie, doit se rendre à Rabat aujourd'hui.