A l'occasion de l'avènement de la Journée mondiale de la lutte contre la toxicomanie, un centre de protection des jeunes a été inauguré, officiellement, samedi dernier, à la rue Hammani ex-Charras, à Alger-Centre. Ce nouveau centre a été doté de moyens logistiques modernes importés de Corée. Lors de l'allocution prononcée devant les médias, les initiateurs de ce projet ont axé leurs interventions sur la nécessité de sensibiliser les jeunes sur les effets de la toxicomanie afin de mieux les aider à en guérir. Des appareils de relaxation sont exposés sur les lieux, accompagnées des explications sur leur méthode d'exploitation et le rôle qu'ils peuvent jouer dans la lutte contre la toxicomanie. Cette méthode thérapeutique est principalement axée sur la relaxation et la diminution de la nervosité, le stress, l'insomnie et l'angoisse, des facteurs majeurs qui poussent les jeunes à s'adonner à la consommation de diverses drogues, et psychotropes, explique-t-on. Une démonstration scientifique a été animée, dans la même journée, par des spécialistes sur les méfaits de la drogue et de son action sur la déchéance du corps humain, les causes principales qui poussent l'homme à s'adonner à la consommation de drogues ont été également passées en revue, entre autres, la fatigue, le stress, l'angoisse... Cette méthode thérapeutique et révolutionnaire consiste en clair en des séances d'hydromassage et totale relaxation. L'équipe de médecins spécialistes qui gérent ce programme animent également et régulièrementdes émissions de sensibilisation envers les jeunes, premières victimes de fléau dévastateur. Lors de ces émissions ils mettent en exergue les nouvelle méthodes de prévention, car leur souci premier est la prévention même s'ils sont formés pour prendre en charge des toxicomanes. Ces médecins espèrent que grâce à ces émissions passant sur Radio El-Bahdja, ils arriveront enfin à enrayer, un tant soit peu, l'invasion de ces produits nocifs dans le monde des jeunes et moins jeunes. L'adage ne dit-il pas : "Mieux vaut prévenir que guérir". A l'occasion de l'avènement de la Journée mondiale de la lutte contre la toxicomanie, un centre de protection des jeunes a été inauguré, officiellement, samedi dernier, à la rue Hammani ex-Charras, à Alger-Centre. Ce nouveau centre a été doté de moyens logistiques modernes importés de Corée. Lors de l'allocution prononcée devant les médias, les initiateurs de ce projet ont axé leurs interventions sur la nécessité de sensibiliser les jeunes sur les effets de la toxicomanie afin de mieux les aider à en guérir. Des appareils de relaxation sont exposés sur les lieux, accompagnées des explications sur leur méthode d'exploitation et le rôle qu'ils peuvent jouer dans la lutte contre la toxicomanie. Cette méthode thérapeutique est principalement axée sur la relaxation et la diminution de la nervosité, le stress, l'insomnie et l'angoisse, des facteurs majeurs qui poussent les jeunes à s'adonner à la consommation de diverses drogues, et psychotropes, explique-t-on. Une démonstration scientifique a été animée, dans la même journée, par des spécialistes sur les méfaits de la drogue et de son action sur la déchéance du corps humain, les causes principales qui poussent l'homme à s'adonner à la consommation de drogues ont été également passées en revue, entre autres, la fatigue, le stress, l'angoisse... Cette méthode thérapeutique et révolutionnaire consiste en clair en des séances d'hydromassage et totale relaxation. L'équipe de médecins spécialistes qui gérent ce programme animent également et régulièrementdes émissions de sensibilisation envers les jeunes, premières victimes de fléau dévastateur. Lors de ces émissions ils mettent en exergue les nouvelle méthodes de prévention, car leur souci premier est la prévention même s'ils sont formés pour prendre en charge des toxicomanes. Ces médecins espèrent que grâce à ces émissions passant sur Radio El-Bahdja, ils arriveront enfin à enrayer, un tant soit peu, l'invasion de ces produits nocifs dans le monde des jeunes et moins jeunes. L'adage ne dit-il pas : "Mieux vaut prévenir que guérir".
