Les Bissau-Guinéens ont commencé à voter dimanche à travers les 2. 684 bureaux de vote prévus pour le scrutin présidentiel à l'occasion duquel les électeurs auront à choisir, à la faveur de ce premier tour, entre onze candidats en lice. Les Bissau-Guinéens ont commencé à voter dimanche à travers les 2. 684 bureaux de vote prévus pour le scrutin présidentiel à l'occasion duquel les électeurs auront à choisir, à la faveur de ce premier tour, entre onze candidats en lice. Selon les informations recueillies par l'APS à Bissau, tous les moyens humains et matériels ont été mis en place pour un bon déroulement des opérations de vote encadrées par la Commission nationale électorale indépendante (CNEI) en présence de 134 observateurs internationaux. Ces élections pour lesquelles 600.000 électeurs ont été convoqués aux urnes se tiennent dans une période sensible et interviennent trois mois après l'assassinat du président Joa Bernardo Vieira tué en mars dernier juste après un attentat qui avait coûté la vie au chef d'état-major des armées, le général Tagma Tagmé Na Waié. Les populations bissau-guinéennes, qui nourrissaient l'espoir de renouer avec la stabilité politique, semblaient encore sous le choc de cet événement sanglant suivi, juste avant le début de la campagne électorale, par l'assassinat du candidat Baciro Dabo et d'un ex-ministre de la Défense, Helder Proenca, avec ses deux gardes du corps. S'exprimant à la veille de ce rendez-vous électoral Joseph Mutaboba, représentant du secrétaire général des Nations unies en Guinée-Bissau (UNOGBIS), a affirmé que "tout est mis en place pour réussir cette échéance." Vu l'enjeu de ces élections, la compétition sera rude entre les trois principaux postulants à la magistrature suprême que sont Malam Bacai Sanha, candidat du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC - au pouvoir), Henrique Rosa, ancien président intérimaire, candidat indépendant, soutenu par des organisations de la société civile et Kumba Yala, et candidat du Parti pour la rénovation (PRS-opposition). Les électeurs rencontrés devant les bureaux de vote ne cachent pas leur aspiration à l'apaisement social et à la réforme des structures de l'Etat dans un climat de réconciliation, souhaitant la mise en œuvre d'une politique de lutte contre la pauvreté et la précarité dans lesquelles est plongé ce pays de l'Afrique de l'Ouest qui compte 1,5 million d'habitants. Selon les informations recueillies par l'APS à Bissau, tous les moyens humains et matériels ont été mis en place pour un bon déroulement des opérations de vote encadrées par la Commission nationale électorale indépendante (CNEI) en présence de 134 observateurs internationaux. Ces élections pour lesquelles 600.000 électeurs ont été convoqués aux urnes se tiennent dans une période sensible et interviennent trois mois après l'assassinat du président Joa Bernardo Vieira tué en mars dernier juste après un attentat qui avait coûté la vie au chef d'état-major des armées, le général Tagma Tagmé Na Waié. Les populations bissau-guinéennes, qui nourrissaient l'espoir de renouer avec la stabilité politique, semblaient encore sous le choc de cet événement sanglant suivi, juste avant le début de la campagne électorale, par l'assassinat du candidat Baciro Dabo et d'un ex-ministre de la Défense, Helder Proenca, avec ses deux gardes du corps. S'exprimant à la veille de ce rendez-vous électoral Joseph Mutaboba, représentant du secrétaire général des Nations unies en Guinée-Bissau (UNOGBIS), a affirmé que "tout est mis en place pour réussir cette échéance." Vu l'enjeu de ces élections, la compétition sera rude entre les trois principaux postulants à la magistrature suprême que sont Malam Bacai Sanha, candidat du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC - au pouvoir), Henrique Rosa, ancien président intérimaire, candidat indépendant, soutenu par des organisations de la société civile et Kumba Yala, et candidat du Parti pour la rénovation (PRS-opposition). Les électeurs rencontrés devant les bureaux de vote ne cachent pas leur aspiration à l'apaisement social et à la réforme des structures de l'Etat dans un climat de réconciliation, souhaitant la mise en œuvre d'une politique de lutte contre la pauvreté et la précarité dans lesquelles est plongé ce pays de l'Afrique de l'Ouest qui compte 1,5 million d'habitants.