Les urgences du CHU Ibn Rochd mettent les bouchées doubles, durant la période estivale car sollicitées en permanence. Ce qui complique davantage la tâche aux urgentistes, ce sont les transferts intempestifs des malades des régions avoisinantes. Les urgences du CHU Ibn Rochd mettent les bouchées doubles, durant la période estivale car sollicitées en permanence. Ce qui complique davantage la tâche aux urgentistes, ce sont les transferts intempestifs des malades des régions avoisinantes. En une seule nuit, nous avons reçu plus de 24 cas relevant d'intoxications alimentaires et 75 cas de diverses blessures pour cause d'accidents et d'agressions, affirme le médecin de garde L.D. L'été avec le flux des estivants, les services des urgences sont généralement débordés. «On carbure non stop dès la prise de la permanence pour faire face, on s'organise par spécialité pour assurer une prise en charge rapide et efficace aux malades en fonction de la gravité de leur situation» assure-t-il. Les urgences du CHU Ibn Rochd mettent les bouchées doubles, durant la période estivale car sollicitées en permanence. Ce qui complique davantage la tâche aux urgentistes ce sont les transferts intempestifs des malades des régions avoisinantes, comme les daïras limitrophes avec les autres wilayas (Taraf, Guelma…) qui n'hésitent pas à évacuer vers ces services des cas qui le plus souvent relèvent de simples prises en charges médicales pouvant être assumées au niveau local. C'est à se demander à quoi donc servent les faramineux investissements publics pour la dotation d'infrastructures sanitaires opérationnelles de plusieurs localités sub-urbaines ? Autre facteur encombrant, la majorité des personnes dirigées aux urgences du CHU Ibn Rohd, doivent subir un tri par cas pathologique, ce qui représente dénonce le personnel des urgences, une charge de travail supplémentaire qui n'a rien à voir en principe avec «notre boulot» disent-ils. Le cas des malaises cardiaques est cité en exemple. Les gens souffrant de ce genre de problèmes sont orientés par des généralistes qui activent au niveau des centres de santé de proximité vers les urgences d'Ibn Rochd inadapté pour ces cas d'espèces. Les fautes professionnelles, estime le docteur L.D, sont parfois fatales aux malades qui viennent des communes éloignées et qui vu leur état clinique, ont besoin d'une prise en charge spécialisée immédiate, qui ne peut-être prodiguée qu'au niveau de l'hôpital Dorban qui abrite les services compétents en cardiologie. En une seule nuit, nous avons reçu plus de 24 cas relevant d'intoxications alimentaires et 75 cas de diverses blessures pour cause d'accidents et d'agressions, affirme le médecin de garde L.D. L'été avec le flux des estivants, les services des urgences sont généralement débordés. «On carbure non stop dès la prise de la permanence pour faire face, on s'organise par spécialité pour assurer une prise en charge rapide et efficace aux malades en fonction de la gravité de leur situation» assure-t-il. Les urgences du CHU Ibn Rochd mettent les bouchées doubles, durant la période estivale car sollicitées en permanence. Ce qui complique davantage la tâche aux urgentistes ce sont les transferts intempestifs des malades des régions avoisinantes, comme les daïras limitrophes avec les autres wilayas (Taraf, Guelma…) qui n'hésitent pas à évacuer vers ces services des cas qui le plus souvent relèvent de simples prises en charges médicales pouvant être assumées au niveau local. C'est à se demander à quoi donc servent les faramineux investissements publics pour la dotation d'infrastructures sanitaires opérationnelles de plusieurs localités sub-urbaines ? Autre facteur encombrant, la majorité des personnes dirigées aux urgences du CHU Ibn Rohd, doivent subir un tri par cas pathologique, ce qui représente dénonce le personnel des urgences, une charge de travail supplémentaire qui n'a rien à voir en principe avec «notre boulot» disent-ils. Le cas des malaises cardiaques est cité en exemple. Les gens souffrant de ce genre de problèmes sont orientés par des généralistes qui activent au niveau des centres de santé de proximité vers les urgences d'Ibn Rochd inadapté pour ces cas d'espèces. Les fautes professionnelles, estime le docteur L.D, sont parfois fatales aux malades qui viennent des communes éloignées et qui vu leur état clinique, ont besoin d'une prise en charge spécialisée immédiate, qui ne peut-être prodiguée qu'au niveau de l'hôpital Dorban qui abrite les services compétents en cardiologie.