Dès aujourd‘hui, les parlementaires des deux chambres du Parlement vont prendre des vacances. La clôture de la session de printemps de l‘APN et du Conseil de la nation est prévue, en effet, dans l‘après-midi de ce samedi. Avant la séance de clôture de cette session de printemps les 9 vice-présidents de l‘APN procéderont à l‘installation des 12 commissions permanentes, dont la composante est la conséquence du renouvellement des structures de l‘Assemblée, notamment, pour ce qui est des postes de président, de vice-président et de rapporteur, auront été déjà installées mercredi. Que dire de cette session, qui a été ouverte le 2 mars dernier ? Pour ceux qui ont suivi de près les activités des deux chambres du parlement depuis cette dernière date le constat ne souffre d‘aucune équivoque, tant il est sans appel. Cette session s‘est distinguée, en effet et contrairement à toutes les précédentes sessions, par la rareté des projets et de lois adoptés. Ainsi, en un peu plus de 4 mois les députés n‘ont examiné et adopté qu‘un seul projet de loi. Il s‘agit de celui portant sur la lutte contre la cybercriminalité adopté, il y a juste quelques jours par l‘APN et seulement mercredi dernier par le Sénat. Autant dire, fait exceptionnel, que c‘était une session… à blanc. Pourtant dans son discours d‘ouverture de cette session le président de l‘APN a clairement énuméré une douzaine de textes de loi qui devaient être soumis à l‘appréciation des députés. Il faut dire que cette session a coïncidé avec la tenue de l‘élection présidentielle du 9 avril. Cet événement politique majeur a mobilisé durant presque deux mois les élus du peuple qui ont déserté en masse les travées de l‘Hémicycle pour animer la campagne électorale. Ces longues vacances des parlementaires, pourtant grassement payés, pourrait malheureusement «les discréditer davantage aux yeux de l‘opinion publique nationale». Cette session a été aussi marquée, rappelons-le, par l‘adoption du plan d‘action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Dès aujourd‘hui, les parlementaires des deux chambres du Parlement vont prendre des vacances. La clôture de la session de printemps de l‘APN et du Conseil de la nation est prévue, en effet, dans l‘après-midi de ce samedi. Avant la séance de clôture de cette session de printemps les 9 vice-présidents de l‘APN procéderont à l‘installation des 12 commissions permanentes, dont la composante est la conséquence du renouvellement des structures de l‘Assemblée, notamment, pour ce qui est des postes de président, de vice-président et de rapporteur, auront été déjà installées mercredi. Que dire de cette session, qui a été ouverte le 2 mars dernier ? Pour ceux qui ont suivi de près les activités des deux chambres du parlement depuis cette dernière date le constat ne souffre d‘aucune équivoque, tant il est sans appel. Cette session s‘est distinguée, en effet et contrairement à toutes les précédentes sessions, par la rareté des projets et de lois adoptés. Ainsi, en un peu plus de 4 mois les députés n‘ont examiné et adopté qu‘un seul projet de loi. Il s‘agit de celui portant sur la lutte contre la cybercriminalité adopté, il y a juste quelques jours par l‘APN et seulement mercredi dernier par le Sénat. Autant dire, fait exceptionnel, que c‘était une session… à blanc. Pourtant dans son discours d‘ouverture de cette session le président de l‘APN a clairement énuméré une douzaine de textes de loi qui devaient être soumis à l‘appréciation des députés. Il faut dire que cette session a coïncidé avec la tenue de l‘élection présidentielle du 9 avril. Cet événement politique majeur a mobilisé durant presque deux mois les élus du peuple qui ont déserté en masse les travées de l‘Hémicycle pour animer la campagne électorale. Ces longues vacances des parlementaires, pourtant grassement payés, pourrait malheureusement «les discréditer davantage aux yeux de l‘opinion publique nationale». Cette session a été aussi marquée, rappelons-le, par l‘adoption du plan d‘action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia.