Comme à l'accoutumée, dès la fin du mois de juin, la wilaya de Guelma accueille nos ressortissants établis à l'étranger qui préfèrent passer leurs vacances estivales au pays natal pour moult raisons et dont la plus sacrée est l'indispensable retour aux racines afin de se ressourcer. De nombreux émigrés, qui ont trimé des dizaines d'années outre-méditerranée, ont économisé, au prix de durs sacrifices pour acheter un lot de terrain et construire une villa qu'ils occuperont définitivement pour y finir leurs vieux jours au bled. En attendant, ils viennent, en famille, pour un séjour d'un mois ou deux afin de retrouver leurs proches, leurs amis et voisins et assister aux fêtes familiales : mariages, fiançailles, circoncisions, succès aux examens scolaires et universitaires, etc. Ils ne passent pas inaperçus car leur tenue vestimentaire, leur accent marseillais, parisien, toulousain et autres, leur décontraction, les trahissent. Ils circulent à bord de leurs véhicules aux plaques minéralogiques françaises, allemandes, italiennes, belges et autres. Ils rallient quotidiennement les belles plages d'Annaba, Skikda, Béjaia, Jijel, El Tarf pour s'adonner au farniente et à la baignade. Leurs vacances sont abordables, car ils disposent du gîte et du couvert et ils ont recours aux cambistes de la ville pour vendre leurs devises à un cours très avantageux. Nos émigrés arpentent sans relâche les artères du chef-lieu de wilaya et ils privilégient les rues commerçantes pour acheter des gandouras, tissus, tapis, plateaux en cuivre, babouches et autres souvenirs du pays. Ils sont souvent invités par leurs proches et amis pour déguster le fameux couscous garni, la trida, la chekhchoukha et autres plats du terroir. Ils ne ratent pas les soirées estivales agrémentées de troupes locales de variétés, rai, malouf, haouzi et aissaouas au cours desquelles ils s'adonnent à des danses effrénées. Ces retrouvailles avec le pays natal peuvent engendrer des relations qui se concrétisent par des mariages, un sésame incontournable pour obtenir le visa et la carte de résidence de l'autre coté de la Méditerranée. Durant tout l'été, Guelma vivra, donc, au rythme de nos compatriotes d'outre mer. Comme à l'accoutumée, dès la fin du mois de juin, la wilaya de Guelma accueille nos ressortissants établis à l'étranger qui préfèrent passer leurs vacances estivales au pays natal pour moult raisons et dont la plus sacrée est l'indispensable retour aux racines afin de se ressourcer. De nombreux émigrés, qui ont trimé des dizaines d'années outre-méditerranée, ont économisé, au prix de durs sacrifices pour acheter un lot de terrain et construire une villa qu'ils occuperont définitivement pour y finir leurs vieux jours au bled. En attendant, ils viennent, en famille, pour un séjour d'un mois ou deux afin de retrouver leurs proches, leurs amis et voisins et assister aux fêtes familiales : mariages, fiançailles, circoncisions, succès aux examens scolaires et universitaires, etc. Ils ne passent pas inaperçus car leur tenue vestimentaire, leur accent marseillais, parisien, toulousain et autres, leur décontraction, les trahissent. Ils circulent à bord de leurs véhicules aux plaques minéralogiques françaises, allemandes, italiennes, belges et autres. Ils rallient quotidiennement les belles plages d'Annaba, Skikda, Béjaia, Jijel, El Tarf pour s'adonner au farniente et à la baignade. Leurs vacances sont abordables, car ils disposent du gîte et du couvert et ils ont recours aux cambistes de la ville pour vendre leurs devises à un cours très avantageux. Nos émigrés arpentent sans relâche les artères du chef-lieu de wilaya et ils privilégient les rues commerçantes pour acheter des gandouras, tissus, tapis, plateaux en cuivre, babouches et autres souvenirs du pays. Ils sont souvent invités par leurs proches et amis pour déguster le fameux couscous garni, la trida, la chekhchoukha et autres plats du terroir. Ils ne ratent pas les soirées estivales agrémentées de troupes locales de variétés, rai, malouf, haouzi et aissaouas au cours desquelles ils s'adonnent à des danses effrénées. Ces retrouvailles avec le pays natal peuvent engendrer des relations qui se concrétisent par des mariages, un sésame incontournable pour obtenir le visa et la carte de résidence de l'autre coté de la Méditerranée. Durant tout l'été, Guelma vivra, donc, au rythme de nos compatriotes d'outre mer.