Une semaine est passée depuis le coup d'envoi du 2e Festival culturel panafricain d'Alger. Plusieurs activités ont été déjà organisées avec des artistes de renom et cela, dans différents lieux de la capitale mais également d'autres wilayas du pays. Une semaine est passée depuis le coup d'envoi du 2e Festival culturel panafricain d'Alger. Plusieurs activités ont été déjà organisées avec des artistes de renom et cela, dans différents lieux de la capitale mais également d'autres wilayas du pays. Des festivals, des colloques, des rencontres littéraires et historiques, des expositions, des représentations théâtrales et des projections cinématographiques…sont également organisés un peu partout. Des manifestations qui ont plongé la capitale et ses environs dans une ambiance culturelle jamais vécue auparavant. La fête avait déjà commencé le 5 juillet par une parade qui a regroupé les 53 pays de l'Union africaine. Elle avait donné le la des couleurs africaines devant des spectateurs assoiffés d'échanges culturels. S'en est suivi un méga-concert, le lendemain, avec plusieurs figures emblématiques de la chanson africaine. Cette manifestation a vu le coup d'envoi du Festival international du cinéma d'Alger donné à la salle Ibn Zeydoun (Riadh El Feth). Les organisateurs de ce Festival, qui durera Jusqu'au 19 juillet, ont prévu la projection de plus de 120 films de fiction et documentaires, algériens, africains et afro-américains. En marge de ce Festival international du cinéma, il y a eu l'organisation d'un colloque de deux jours sur le cinéma africain sous le thème : «Quels modèles d'avenir pour le cinéma africain ?». Ce colloque s'est déroulé en présence de réalisateurs et cinéastes algériens et africains. Cette première a également été marquée par l'inauguration du Festival international du théâtre à Alger avec un spectacle d'ouverture au nom évocateur: Ventres pleins, ventres creux. Un colloque a été également organisé en marge de ce festival autour du thème générique «le théâtre africain : entre tradition et modernité». Cette rencontre entre dramaturges africains a vu plusieurs communications qui ont donné un aperçu sur la situation du théâtre africain dans différents pays. Une rencontre internationale consacrée à la pensée et l'œuvre de Frantz Fanon a regroupé des hommes de lettres et des chercheurs nationaux et africains. La liste est exhaustive, car un autre colloque, a été réservé à l'art et l'esthétique, au cours duquel les participants ont proposé l'élaboration et l'utilisation d'une terminologie propre à la culture africaine. Les arts plastiques n'ont pas été en reste et le public a apprécié et appréciera encore une exposition au Musée national d'art moderne et contemporain (MAMA) sur l'œuvre africaine de l'artiste peintre Choukri Mesli. Au même endroit et dans le même genre artistique, une autre exposition sur le vécu des Africains, de l'artiste-peintre Zaphira Yacef Saadi, a été inaugurée sous le titre «Maman Africa, berceau de l'humanité». Le Panaf voit également l'organisation d'une exposition sur le talent et l'esprit de créativité des jeunes bédéistes africains. Un autre événement a marqué le Festival panafricain, l'exposition des ossements de "Lucy" au musée du Bardo, la célèbre Australopithecus afarensis, découverte en 1974 en Ethiopie. Enfin, quant à la musique, elle a accupé une grande place avec des concerts de différents styles musicaux et cela, chaque soir depuis le coup d'envoi du festival. Ainsi, le patrimoine africain, sous toutes ses facettes, a enrichi la palette de ce Festival et cela à travers la multitude de concerts qui ont fait et font toujours salle archicomble à l'image de Youssou N'dour, Selif Keita, Mory Kanté, Ait Menguellet, Cheb Khaled, Amazigh Kateb, Karim Ziad, Zehouania … K. H. Des festivals, des colloques, des rencontres littéraires et historiques, des expositions, des représentations théâtrales et des projections cinématographiques…sont également organisés un peu partout. Des manifestations qui ont plongé la capitale et ses environs dans une ambiance culturelle jamais vécue auparavant. La fête avait déjà commencé le 5 juillet par une parade qui a regroupé les 53 pays de l'Union africaine. Elle avait donné le la des couleurs africaines devant des spectateurs assoiffés d'échanges culturels. S'en est suivi un méga-concert, le lendemain, avec plusieurs figures emblématiques de la chanson africaine. Cette manifestation a vu le coup d'envoi du Festival international du cinéma d'Alger donné à la salle Ibn Zeydoun (Riadh El Feth). Les organisateurs de ce Festival, qui durera Jusqu'au 19 juillet, ont prévu la projection de plus de 120 films de fiction et documentaires, algériens, africains et afro-américains. En marge de ce Festival international du cinéma, il y a eu l'organisation d'un colloque de deux jours sur le cinéma africain sous le thème : «Quels modèles d'avenir pour le cinéma africain ?». Ce colloque s'est déroulé en présence de réalisateurs et cinéastes algériens et africains. Cette première a également été marquée par l'inauguration du Festival international du théâtre à Alger avec un spectacle d'ouverture au nom évocateur: Ventres pleins, ventres creux. Un colloque a été également organisé en marge de ce festival autour du thème générique «le théâtre africain : entre tradition et modernité». Cette rencontre entre dramaturges africains a vu plusieurs communications qui ont donné un aperçu sur la situation du théâtre africain dans différents pays. Une rencontre internationale consacrée à la pensée et l'œuvre de Frantz Fanon a regroupé des hommes de lettres et des chercheurs nationaux et africains. La liste est exhaustive, car un autre colloque, a été réservé à l'art et l'esthétique, au cours duquel les participants ont proposé l'élaboration et l'utilisation d'une terminologie propre à la culture africaine. Les arts plastiques n'ont pas été en reste et le public a apprécié et appréciera encore une exposition au Musée national d'art moderne et contemporain (MAMA) sur l'œuvre africaine de l'artiste peintre Choukri Mesli. Au même endroit et dans le même genre artistique, une autre exposition sur le vécu des Africains, de l'artiste-peintre Zaphira Yacef Saadi, a été inaugurée sous le titre «Maman Africa, berceau de l'humanité». Le Panaf voit également l'organisation d'une exposition sur le talent et l'esprit de créativité des jeunes bédéistes africains. Un autre événement a marqué le Festival panafricain, l'exposition des ossements de "Lucy" au musée du Bardo, la célèbre Australopithecus afarensis, découverte en 1974 en Ethiopie. Enfin, quant à la musique, elle a accupé une grande place avec des concerts de différents styles musicaux et cela, chaque soir depuis le coup d'envoi du festival. Ainsi, le patrimoine africain, sous toutes ses facettes, a enrichi la palette de ce Festival et cela à travers la multitude de concerts qui ont fait et font toujours salle archicomble à l'image de Youssou N'dour, Selif Keita, Mory Kanté, Ait Menguellet, Cheb Khaled, Amazigh Kateb, Karim Ziad, Zehouania … K. H.