L'édile de l'APC d'Alger-Centre n'a pas manqué de souligner la dimension africaine de la signature du protocole en raison de la présence de nombreux diplomates du continent noir et celle du président des cités et villes africaines ainsi que des délégués de la ville d'El Ayoun. L'édile de l'APC d'Alger-Centre n'a pas manqué de souligner la dimension africaine de la signature du protocole en raison de la présence de nombreux diplomates du continent noir et celle du président des cités et villes africaines ainsi que des délégués de la ville d'El Ayoun. Les villes d'Alger-Centre et El Ayoun de la République Arabe Sahraouie Démocratique, ont renouvelé, hier à Alger, le protocole d'accord de coopération et de jumelage qui lie les deux cités. La cérémonie de signature, à laquelle étaient conviées de nombreuses personnalités politiques nationales et étrangères, notamment, le révérend sud-africain, Smangaliso Mkhatshawa, président de l'Union des cités et villes africaines et des représentants des Sahraouis des territoires libérés et occupés, s'est voulue, au-delà de son aspect protocolaire, tout un symbole pour ces Sahraouis qui sont réunis, le temps de cette cérémonie, eux qui sont séparés par «le mur de la honte», érigé par les forces occupantes marocaines. Tout un symbole aussi pour les représentants diplomatiques des Etats africains et pour le révérend qui, se référant dans son discours de circonstance, à Kwame Nkrumah, père du panafricanisme et Nelson Mandéla, a souligné que «tant que des parties africaines ne sont pas libérées, l'idée d'un développement du continent serait un vœu pieux». Le protocole de coopération et de jumelage entre les deux villes, qualifié d'«historique» par le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui, Mohamed Mahrez Lamari, se distingue de ses précédents par le fait qu'il renferme «un point politique» outre ses dimensions culturelles et économiques. Une profondeur politique véhiculé, par le message de novembre 1954, perçu, selon le président de l'APC d'Alger-Centre, Tayeb Zitouni, comme «une dimension historique et une référence par le peuple sahraoui qui lutte pour son droit à l'autodétermination». L'édile de l'APC d'Alger-Centre n'a pas manqué de souligner la dimension africaine de la signature du protocole en raison de la présence de nombreux diplomates du continent noir et celle du président des cités et villes africaines et d'affirmer que «le mur de la honte», érigé par les forces marocaines s'est «écroulé», en témoigne la présence des délégués de la ville d'El Ayoun occupée. Des délégués qui ne craignent pas, selon le P/APC d'Alger-Centre, les représailles des forces coloniales marocaines à leur retour dans la région les prochains jours. Le révérend sud- africain affirme que ce jumelage «est plus que symbolique» relève que «l'emblème national de la RASD, flotte sur le fronton du siège de l'Organisation à Cape Town (AFS) et salue «la position claire» de son pays qui soutient la lutte du peuple sahraoui pour son indépendance. Indiquant que «des discussions ont cours entre l'Union africaine (UA) et son organisation pour une reconnaissance officielle», il déplore que «la faiblesse de la participation des villes d'Afrique du Nord aux activités de l'Union des cités et villes africaines», à laquelle remédiera, espère-t-il «la vice-présidence de l'Union qui échoira à une des cités du Maghreb». S. B. Les villes d'Alger-Centre et El Ayoun de la République Arabe Sahraouie Démocratique, ont renouvelé, hier à Alger, le protocole d'accord de coopération et de jumelage qui lie les deux cités. La cérémonie de signature, à laquelle étaient conviées de nombreuses personnalités politiques nationales et étrangères, notamment, le révérend sud-africain, Smangaliso Mkhatshawa, président de l'Union des cités et villes africaines et des représentants des Sahraouis des territoires libérés et occupés, s'est voulue, au-delà de son aspect protocolaire, tout un symbole pour ces Sahraouis qui sont réunis, le temps de cette cérémonie, eux qui sont séparés par «le mur de la honte», érigé par les forces occupantes marocaines. Tout un symbole aussi pour les représentants diplomatiques des Etats africains et pour le révérend qui, se référant dans son discours de circonstance, à Kwame Nkrumah, père du panafricanisme et Nelson Mandéla, a souligné que «tant que des parties africaines ne sont pas libérées, l'idée d'un développement du continent serait un vœu pieux». Le protocole de coopération et de jumelage entre les deux villes, qualifié d'«historique» par le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui, Mohamed Mahrez Lamari, se distingue de ses précédents par le fait qu'il renferme «un point politique» outre ses dimensions culturelles et économiques. Une profondeur politique véhiculé, par le message de novembre 1954, perçu, selon le président de l'APC d'Alger-Centre, Tayeb Zitouni, comme «une dimension historique et une référence par le peuple sahraoui qui lutte pour son droit à l'autodétermination». L'édile de l'APC d'Alger-Centre n'a pas manqué de souligner la dimension africaine de la signature du protocole en raison de la présence de nombreux diplomates du continent noir et celle du président des cités et villes africaines et d'affirmer que «le mur de la honte», érigé par les forces marocaines s'est «écroulé», en témoigne la présence des délégués de la ville d'El Ayoun occupée. Des délégués qui ne craignent pas, selon le P/APC d'Alger-Centre, les représailles des forces coloniales marocaines à leur retour dans la région les prochains jours. Le révérend sud- africain affirme que ce jumelage «est plus que symbolique» relève que «l'emblème national de la RASD, flotte sur le fronton du siège de l'Organisation à Cape Town (AFS) et salue «la position claire» de son pays qui soutient la lutte du peuple sahraoui pour son indépendance. Indiquant que «des discussions ont cours entre l'Union africaine (UA) et son organisation pour une reconnaissance officielle», il déplore que «la faiblesse de la participation des villes d'Afrique du Nord aux activités de l'Union des cités et villes africaines», à laquelle remédiera, espère-t-il «la vice-présidence de l'Union qui échoira à une des cités du Maghreb». S. B.