Le coup d'envoi du Panorama du film amazigh a été donné jeudi à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. L'événement, organisé dans le cadre du Festival panafrican, est dédié au cinéma africain. Lors de la cérémonie d'ouverture, qui s'est déroulée à la salle des spectacles de cette enceinte, un vibrant hommage a été rendu à trois grands réalisateurs algériens : Abderrahmane Bouguermouh, Belkacem Hadjdadj et Ali Mouzaoui. Ces derniers se sont tous accordé à dire que le cinéma algérien a besoin d'un nouveau souffle. En effet, après une longue période d'absence de productions, une amorce de relance est entamée et les trois cinéastes, honorés à l'occasion du Panorama, y ont joué un rôle important avec des films chefs d'œuvre dont la Colline oubliée et Machaho qui sont d'expression kabyle. Djouher Amhis, qui a pris la parole, dira que le cinéma doit être porteur d'authenticité et de vérité et laisser de côté les clichés ravageurs. Pour sa part Me Assad commissaire du Festival du film amazigh a rappelé que la dixième édition de cet événement cinématographique marquera un tournant car il sera désormais domicilié dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Toutefois le panorama du festival sera itinérant afin de permettre aux Algériens de découvrir les films amazighs primés par le festival. D'ailleurs les habitants de la wilaya de Tizi-Ouzou ont la possibilité de voir la projection de plusieurs films tel que Tamurt Idurar, Trésor d'une autre planète, Izourane, la Tour d'argent, Khoya Tarik, etc, et ce jusqu'à demain. Il pourront également apprendre davantage sur des cinéastes africains grâce aux portraits affichés dans le hall des exposition de la Maison de la culture. Rappelons enfin que pour ce qui est du Festival du film amazigh la dixième édition est prévue pour le printemps 2010. Z. H. Le coup d'envoi du Panorama du film amazigh a été donné jeudi à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. L'événement, organisé dans le cadre du Festival panafrican, est dédié au cinéma africain. Lors de la cérémonie d'ouverture, qui s'est déroulée à la salle des spectacles de cette enceinte, un vibrant hommage a été rendu à trois grands réalisateurs algériens : Abderrahmane Bouguermouh, Belkacem Hadjdadj et Ali Mouzaoui. Ces derniers se sont tous accordé à dire que le cinéma algérien a besoin d'un nouveau souffle. En effet, après une longue période d'absence de productions, une amorce de relance est entamée et les trois cinéastes, honorés à l'occasion du Panorama, y ont joué un rôle important avec des films chefs d'œuvre dont la Colline oubliée et Machaho qui sont d'expression kabyle. Djouher Amhis, qui a pris la parole, dira que le cinéma doit être porteur d'authenticité et de vérité et laisser de côté les clichés ravageurs. Pour sa part Me Assad commissaire du Festival du film amazigh a rappelé que la dixième édition de cet événement cinématographique marquera un tournant car il sera désormais domicilié dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Toutefois le panorama du festival sera itinérant afin de permettre aux Algériens de découvrir les films amazighs primés par le festival. D'ailleurs les habitants de la wilaya de Tizi-Ouzou ont la possibilité de voir la projection de plusieurs films tel que Tamurt Idurar, Trésor d'une autre planète, Izourane, la Tour d'argent, Khoya Tarik, etc, et ce jusqu'à demain. Il pourront également apprendre davantage sur des cinéastes africains grâce aux portraits affichés dans le hall des exposition de la Maison de la culture. Rappelons enfin que pour ce qui est du Festival du film amazigh la dixième édition est prévue pour le printemps 2010. Z. H.