L‘aéroport Mostefa Benboulaïd est désert en cette période de canicule. Les voyageurs en attente de départ préfèrent le grand air à l‘extérieur en raison de la chaleur suffocante qui règne dans cette structure. L‘aéroport Mostefa Benboulaïd est désert en cette période de canicule. Les voyageurs en attente de départ préfèrent le grand air à l‘extérieur en raison de la chaleur suffocante qui règne dans cette structure. Depuis son inauguration en 1998, il présente de nombreuses insuffisances telles l‘absence de commodités (locaux commerciaux), de moyens de transport ainsi que la chaleur suffocante qui règne à l‘intérieur. L‘on rappellera que cette structure programmée en 1998 été expédiée, dans sa réalisation, en neuf mois, par des entreprises et bureaux d‘étude locaux. "Si sur le plan exécution on ne décèle pas d‘anomalie, les études architecturales sont un véritable gâchis, dès lors que les parois murales sont en verre pare-soleil mais laissent filtrer les rayons solaires et, par conséquent, c‘est un effet de serre qui se produit" déplore le représentant de l‘EGSA (Entreprise de gestion des aéroports de Constantine interrogé par le Midi Libre sur la question. Tous les opérateurs pointent un doigt accusateur sur l‘EGSA de Constantine qui tergiverse, selon eux, dans la réparation des armoires de climatisation et ne facilite pas la location des locaux de l‘étage aux commerçants (kiosques, Agences de voyages, banque,, fast food, restaurants, location de voitures, taxiphone…). En réponse à ces accusations, le directeur par intérim de l‘EGSA de l‘aéroport de Batna replace le débat dans son vrai contexte : "L‘aéroport de Batna souffre de sa conception architecturale où tout est vitré avec la coupole du hall qui produit un effet de serre de par son toit en verre" justifiera ce responsable. Sur les dix-huit grosses armoires climatiques, seules dix fonctionnent, mais n‘ont aucun effet sur la température. "Ce type de climatisation ne répond pas aux exigences climatiques de la région" souligne le responsable de l‘EGSA qui estime qu‘un système à gaine est préférable. Quant aux locaux vides, il imputera leur vacance au manque de trafic aéroportuaire. L‘EGSA a toujours fait appel à manifestation auprès des éventuels adjudicataires, mais ces derniers appréhendent le manque de rentabilité de l‘exploitation et ne veulent pas prendre de risque. Devant ce sombre tableau, l‘actuel wali, mis au courant, a demandé au directeur des transports de prendre en charge la résolution du problème de climatisation. "Nous avons présenté une ébauche avec un devis et nous attendons" a -t-il déclaré. B. A. Depuis son inauguration en 1998, il présente de nombreuses insuffisances telles l‘absence de commodités (locaux commerciaux), de moyens de transport ainsi que la chaleur suffocante qui règne à l‘intérieur. L‘on rappellera que cette structure programmée en 1998 été expédiée, dans sa réalisation, en neuf mois, par des entreprises et bureaux d‘étude locaux. "Si sur le plan exécution on ne décèle pas d‘anomalie, les études architecturales sont un véritable gâchis, dès lors que les parois murales sont en verre pare-soleil mais laissent filtrer les rayons solaires et, par conséquent, c‘est un effet de serre qui se produit" déplore le représentant de l‘EGSA (Entreprise de gestion des aéroports de Constantine interrogé par le Midi Libre sur la question. Tous les opérateurs pointent un doigt accusateur sur l‘EGSA de Constantine qui tergiverse, selon eux, dans la réparation des armoires de climatisation et ne facilite pas la location des locaux de l‘étage aux commerçants (kiosques, Agences de voyages, banque,, fast food, restaurants, location de voitures, taxiphone…). En réponse à ces accusations, le directeur par intérim de l‘EGSA de l‘aéroport de Batna replace le débat dans son vrai contexte : "L‘aéroport de Batna souffre de sa conception architecturale où tout est vitré avec la coupole du hall qui produit un effet de serre de par son toit en verre" justifiera ce responsable. Sur les dix-huit grosses armoires climatiques, seules dix fonctionnent, mais n‘ont aucun effet sur la température. "Ce type de climatisation ne répond pas aux exigences climatiques de la région" souligne le responsable de l‘EGSA qui estime qu‘un système à gaine est préférable. Quant aux locaux vides, il imputera leur vacance au manque de trafic aéroportuaire. L‘EGSA a toujours fait appel à manifestation auprès des éventuels adjudicataires, mais ces derniers appréhendent le manque de rentabilité de l‘exploitation et ne veulent pas prendre de risque. Devant ce sombre tableau, l‘actuel wali, mis au courant, a demandé au directeur des transports de prendre en charge la résolution du problème de climatisation. "Nous avons présenté une ébauche avec un devis et nous attendons" a -t-il déclaré. B. A.