L'édition 2009 du championnat d'Algérie «open» d'athlétisme débute aujourd'hui, au stade annexe (Sato) de l'Office du complexe olympique (OCO) Mohamed-Boudiaf d'Alger et sera marquée par les finales du 400 m plat et les qualifications du 800 m, dans les deux sexes. L'édition 2009 du championnat d'Algérie «open» d'athlétisme débute aujourd'hui, au stade annexe (Sato) de l'Office du complexe olympique (OCO) Mohamed-Boudiaf d'Alger et sera marquée par les finales du 400 m plat et les qualifications du 800 m, dans les deux sexes. Pendant les trois journées des compétition, le public, les techniciens et les observateurs auront largement le temps et les possibilités de procéder à une évaluation objective de la santé de l'athlétisme au niveau national. Compétition inscrite au calendrier de la Fédération algérienne d'athlétisme (FAA), le championnat d'Algérie verra la participation – sauf imprévu de dernière minute - de l'ensemble des athlètes de l'élite nationale et de haut niveau. Deux séances figurent au programme de cette première journée. La matinée avec, d'entrée, la finale du 10 kilomètres marche dames et Amzal Ghania et Bahia Boussad où vont se livrer au duel classique. Les séries de qualifications du 400 m plat vont nous permettre d'observer de nouveau celle qui a fait parler la poudre cet été, Zahra Bouras qui a battu le record d'Algérie de la distance détenu par Moussa Houria. Pas moins de douze (12) finales figurent au programme de la séance prévue cet après-midi, à partir de 16h00. Les plus intéressantes à suivre sont les 100 m et 400 m (H et D), le 3 000 m steeple messieurs et le 5 000 m dames. Il y aura également le triple saut dames en l'absence de la n° 1, Baya Rahouli, qui s'est accordée un congé de maternité cette saison. Les séries de qualifications du 800 m seront très intéressantes à suivre, chez les hommes, comme chez les femmes. Notamment avec la présence du finaliste des JO de Pékin 2008, Nadjim Manseur, qui est toujours à la recherche des minima A pour les championnats du monde d'athlétisme de Berlin. Une chose est sûre, d'autres athlètes peuvent eux aussi tirer leur épingle du jeu en réalisant de bonnes performances, la concurrence aidant. A commencer par Walid Meliani, les frères Touil, Samir Khedar et Azzedine Boudjemâa. Une belle brochette d'athlètes doués et talentueux, donc de belles courses en perspective. On sera fixé aussi sur l'évolution du double tour de piste féminin et sur les forces en présence en cette année 2009. Il y aura également les finales du lancer de poids et du lancer du disque dames dans l'après-midi. Les grands pôles de développement du sport n° 1 en Algérie seront tous représentés à l'occasion de ce championnat national « open » d'athlétisme. Notamment Béjaïa, Tlemcen, Bordj Bou-Arreridj et Alger ou plus exactement le GS Pétroliers qui se distingue face à une concurrence qui n'existe plus depuis la « mort programmée » de l'OC Alger et les pépins de la JS Douanes algériennes. Il est clair, donc, que le GSP, club financé par les moyens colossaux de l'entreprise pétrolière Sonatrach, fera une véritable razzia devant une concurrence composée de Azzazga, Bir El-Atter, Refsa, Ras El-Oued, Ziama Mansouriah, Aïn-Defla, Souk El-Tenine, etc. Et les athlètes du Sud qu'on ne doit pas oublier de citer. Autant de clubs qui vivent des petits financements que leur octroient les Fonds de wilaya ou les communes et qui sont loin d'être des sommes faramineuses. Et qui font des miracles : ils forment des jeunes ! A. S. Pendant les trois journées des compétition, le public, les techniciens et les observateurs auront largement le temps et les possibilités de procéder à une évaluation objective de la santé de l'athlétisme au niveau national. Compétition inscrite au calendrier de la Fédération algérienne d'athlétisme (FAA), le championnat d'Algérie verra la participation – sauf imprévu de dernière minute - de l'ensemble des athlètes de l'élite nationale et de haut niveau. Deux séances figurent au programme de cette première journée. La matinée avec, d'entrée, la finale du 10 kilomètres marche dames et Amzal Ghania et Bahia Boussad où vont se livrer au duel classique. Les séries de qualifications du 400 m plat vont nous permettre d'observer de nouveau celle qui a fait parler la poudre cet été, Zahra Bouras qui a battu le record d'Algérie de la distance détenu par Moussa Houria. Pas moins de douze (12) finales figurent au programme de la séance prévue cet après-midi, à partir de 16h00. Les plus intéressantes à suivre sont les 100 m et 400 m (H et D), le 3 000 m steeple messieurs et le 5 000 m dames. Il y aura également le triple saut dames en l'absence de la n° 1, Baya Rahouli, qui s'est accordée un congé de maternité cette saison. Les séries de qualifications du 800 m seront très intéressantes à suivre, chez les hommes, comme chez les femmes. Notamment avec la présence du finaliste des JO de Pékin 2008, Nadjim Manseur, qui est toujours à la recherche des minima A pour les championnats du monde d'athlétisme de Berlin. Une chose est sûre, d'autres athlètes peuvent eux aussi tirer leur épingle du jeu en réalisant de bonnes performances, la concurrence aidant. A commencer par Walid Meliani, les frères Touil, Samir Khedar et Azzedine Boudjemâa. Une belle brochette d'athlètes doués et talentueux, donc de belles courses en perspective. On sera fixé aussi sur l'évolution du double tour de piste féminin et sur les forces en présence en cette année 2009. Il y aura également les finales du lancer de poids et du lancer du disque dames dans l'après-midi. Les grands pôles de développement du sport n° 1 en Algérie seront tous représentés à l'occasion de ce championnat national « open » d'athlétisme. Notamment Béjaïa, Tlemcen, Bordj Bou-Arreridj et Alger ou plus exactement le GS Pétroliers qui se distingue face à une concurrence qui n'existe plus depuis la « mort programmée » de l'OC Alger et les pépins de la JS Douanes algériennes. Il est clair, donc, que le GSP, club financé par les moyens colossaux de l'entreprise pétrolière Sonatrach, fera une véritable razzia devant une concurrence composée de Azzazga, Bir El-Atter, Refsa, Ras El-Oued, Ziama Mansouriah, Aïn-Defla, Souk El-Tenine, etc. Et les athlètes du Sud qu'on ne doit pas oublier de citer. Autant de clubs qui vivent des petits financements que leur octroient les Fonds de wilaya ou les communes et qui sont loin d'être des sommes faramineuses. Et qui font des miracles : ils forment des jeunes ! A. S.