La séance d'ouverture de la première université d'été de la communauté nationale établie à l'étranger a été présidée, hier, par Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République. Dans un message transmis aux participants, le président de la République a indiqué que l'Algérie souhaite tirer profit des compétences algériennes établies à l'étranger dans les domaines de la recherche scientifique, de l'expertise et des découvertes technologiques ainsi que de l'investissement financier dans divers secteurs. «De votre apport, nous attendons surtout une bonne gestion, de judicieuses décisions et la rationalisation dans la conduite des affaires grâce aux opportunités qu'offrent maintenant la connaissance et les différents moyens de communication et de technologie numérique, de promouvoir le pays sur le chemin du progrès et du développement national», a-t-il précisé. Il rappelle dans ce sens qu'en Algérie plusieurs secteurs présentent aujourd'hui, «les meilleur conditions» aux opérateurs et investisseurs nationaux d'abord et l'Etat veille à garantir un environnement économique et social favorable à la production nationale et à sa diversification. Par ailleurs, les ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui est intervenu lors de cette séance d'ouverture, a souligné que les assises de cette université fourniront des propositions concrètes visant à mieux mettre en oeuvre les décisions du gouvernement. C'est justement dans ce contexte que «l'université d'été constitue un jalon important dans les relations de l'Algérie avec ses enfants à l'étranger». Il a estimé, dans ce cadre, que l'importance de ces assises est «double», expliquant que cette université a une importance «symbolique», dans la mesure où elle représente un «saut qualitatif dans les rapports entre l'Algérie et sa communauté établie à l'étranger». Le ministre à relevé à cette occasion que l'Etat algérien «ne doit plus rien ou presque rien a l'étranger.» D'ailleurs, «les réserves de change qui étaient inexistantes dans les années 90 représentent, aujourd'hui, l'équivalent de près de trois années d'importation, et ce, malgré des investissements étatiques qui ont dépassé durant cette présente décennie les 200 milliards de dollars». Le ministre des Affaires étrangères a affirmé, à l'adresse des participants à cette université d'été, qui s'étalera jusqu'au 27 juillet, que «le gouvernement dans son ensemble et plus particulièrement le ministère chargé de la Communauté nationale établie à l'étranger et le ministère des Affaires étrangères veilleront à tirer le meilleur profit de cette première édition de l'université d'été». Il a conclu son intervention en assurant que le Conseil consultatif de la communauté nationale vise à «raffermir» les liens entre les institutions de l'Etat et les Algériens établis à l'étranger. L'université d'été de la communauté nationale à l'étranger, qui s'étalera sur une semaine, regroupera des représentants de l'ensemble de la communauté algérienne des quatre coins du monde et sera un espace de concertation, d'échange et d'amitié. La séance d'ouverture de la première université d'été de la communauté nationale établie à l'étranger a été présidée, hier, par Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République. Dans un message transmis aux participants, le président de la République a indiqué que l'Algérie souhaite tirer profit des compétences algériennes établies à l'étranger dans les domaines de la recherche scientifique, de l'expertise et des découvertes technologiques ainsi que de l'investissement financier dans divers secteurs. «De votre apport, nous attendons surtout une bonne gestion, de judicieuses décisions et la rationalisation dans la conduite des affaires grâce aux opportunités qu'offrent maintenant la connaissance et les différents moyens de communication et de technologie numérique, de promouvoir le pays sur le chemin du progrès et du développement national», a-t-il précisé. Il rappelle dans ce sens qu'en Algérie plusieurs secteurs présentent aujourd'hui, «les meilleur conditions» aux opérateurs et investisseurs nationaux d'abord et l'Etat veille à garantir un environnement économique et social favorable à la production nationale et à sa diversification. Par ailleurs, les ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui est intervenu lors de cette séance d'ouverture, a souligné que les assises de cette université fourniront des propositions concrètes visant à mieux mettre en oeuvre les décisions du gouvernement. C'est justement dans ce contexte que «l'université d'été constitue un jalon important dans les relations de l'Algérie avec ses enfants à l'étranger». Il a estimé, dans ce cadre, que l'importance de ces assises est «double», expliquant que cette université a une importance «symbolique», dans la mesure où elle représente un «saut qualitatif dans les rapports entre l'Algérie et sa communauté établie à l'étranger». Le ministre à relevé à cette occasion que l'Etat algérien «ne doit plus rien ou presque rien a l'étranger.» D'ailleurs, «les réserves de change qui étaient inexistantes dans les années 90 représentent, aujourd'hui, l'équivalent de près de trois années d'importation, et ce, malgré des investissements étatiques qui ont dépassé durant cette présente décennie les 200 milliards de dollars». Le ministre des Affaires étrangères a affirmé, à l'adresse des participants à cette université d'été, qui s'étalera jusqu'au 27 juillet, que «le gouvernement dans son ensemble et plus particulièrement le ministère chargé de la Communauté nationale établie à l'étranger et le ministère des Affaires étrangères veilleront à tirer le meilleur profit de cette première édition de l'université d'été». Il a conclu son intervention en assurant que le Conseil consultatif de la communauté nationale vise à «raffermir» les liens entre les institutions de l'Etat et les Algériens établis à l'étranger. L'université d'été de la communauté nationale à l'étranger, qui s'étalera sur une semaine, regroupera des représentants de l'ensemble de la communauté algérienne des quatre coins du monde et sera un espace de concertation, d'échange et d'amitié.