Les premiers groupes des centrales de type turbine à gaz de Larbaa (4x140 MW) et de Relizane (3x154MW) ont été mis en service la semaine dernière, a annoncé le groupe Sonelgaz. La réalisation de ces centrales a été décidé en 2006 dans le cadre d'un projet global intitulé « plan 2000 MW » qui consiste en la réalisation de sept centrales électriques de type turbines à gaz qui sont destinées à renforcer et à rajeunir le parc de production. Selon le groupe, ces centrales répondront à la demande nationale en énergie électrique en attendant la mise en service des deux méga-centrales de type cycle combiné d'une puissance totale de 1200 MW chacune de Terga et de Koudiet Eddraouch dont la mise en service est prévue pour 2012. Hormis la centrale d'Oran Est (2x40MW) mise en service en 2008 et celles de Larbaa et Relizane, la mise en exploitation des autres centrales d'Alger Port, Annaba, M'sila et Batna est prévue tout au long du deuxième semestre de l'année 2009. Le parc turbines à gaz représente 53,5% du parc de production de la Société algérienne de Production de l'Electricité (SPE) et près de 37% du parc de production nationale. Selon Sonelgaz, l'introduction de centrales de type turbine à gaz à démarrage rapide (souvent inférieur à 30 minutes), permet de «répondre à la modulation de la demande journalière en donnant la possibilité aux dispatcheurs de les mettre rapidement sur le réseau à chaque fois que c'est nécessaire». Ce type de centrales permet également de «secourir vite le système en cas de défaillance des grosses centrales de type cycle combiné ou turbine vapeur dont le redémarrage nécessite une durée moyenne de 6 à 16 heures», précise-t-on. Par ailleurs et pour mieux optimiser les capacités de production des grosses centrales installées en base et qui sont constamment connectées au réseau, il est envisagé désormais «d'exporter les capacités excédentaires durant certaines périodes de la journée, voire de l'année». Cela permet «d'améliorer la sécurité du fonctionnement du système électrique», indique Sonelgaz, car en cas de défaillance sur le système électrique, la puissance exportée peut être «instantanément mobilisée pour résorber totalement ou partiellement le déficit». Les premiers groupes des centrales de type turbine à gaz de Larbaa (4x140 MW) et de Relizane (3x154MW) ont été mis en service la semaine dernière, a annoncé le groupe Sonelgaz. La réalisation de ces centrales a été décidé en 2006 dans le cadre d'un projet global intitulé « plan 2000 MW » qui consiste en la réalisation de sept centrales électriques de type turbines à gaz qui sont destinées à renforcer et à rajeunir le parc de production. Selon le groupe, ces centrales répondront à la demande nationale en énergie électrique en attendant la mise en service des deux méga-centrales de type cycle combiné d'une puissance totale de 1200 MW chacune de Terga et de Koudiet Eddraouch dont la mise en service est prévue pour 2012. Hormis la centrale d'Oran Est (2x40MW) mise en service en 2008 et celles de Larbaa et Relizane, la mise en exploitation des autres centrales d'Alger Port, Annaba, M'sila et Batna est prévue tout au long du deuxième semestre de l'année 2009. Le parc turbines à gaz représente 53,5% du parc de production de la Société algérienne de Production de l'Electricité (SPE) et près de 37% du parc de production nationale. Selon Sonelgaz, l'introduction de centrales de type turbine à gaz à démarrage rapide (souvent inférieur à 30 minutes), permet de «répondre à la modulation de la demande journalière en donnant la possibilité aux dispatcheurs de les mettre rapidement sur le réseau à chaque fois que c'est nécessaire». Ce type de centrales permet également de «secourir vite le système en cas de défaillance des grosses centrales de type cycle combiné ou turbine vapeur dont le redémarrage nécessite une durée moyenne de 6 à 16 heures», précise-t-on. Par ailleurs et pour mieux optimiser les capacités de production des grosses centrales installées en base et qui sont constamment connectées au réseau, il est envisagé désormais «d'exporter les capacités excédentaires durant certaines périodes de la journée, voire de l'année». Cela permet «d'améliorer la sécurité du fonctionnement du système électrique», indique Sonelgaz, car en cas de défaillance sur le système électrique, la puissance exportée peut être «instantanément mobilisée pour résorber totalement ou partiellement le déficit».