Un nouveau cas de grippe porcine (A/H1N1) a été confirmé dimanche dernier par les services du laboratoire de référence de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA), a-t-on appris de source proche du ministère de la Santé. Selon un communiqué, diffusé hier à cet effet, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière confirme qu'il s'agit d'une fillette de 9 ans, arrivée de Londres (Grande-Bretagne) pour passer ses vacances à Tissemsilt. La malade est hospitalisée dans un service de référence de Tissemsilt depuis l'apparition des symptômes de la grippe, jeudi, selon le ministère. Avec ce cas, le nombre de personnes atteintes est passé à 15. Il faut dire qu'en l'espace d'un mois, plus de dix cas ont été enregistrés. Selon l'OMS, la propagation du virus A (H1N1) de la grippe porcine risque d'atteindre «100%» de la planète. «Si vous considérez que la propagation de ce virus a atteint 160 des 193 Etats membres (de l'OMS), nous nous approchons de 100%, mais pas encore», a déclaré à la presse Gregory Hartl, porte parole de l'organisation. «En ce qui concerne les morts, je pense que nous sommes maintenant à près de 800 morts», a-t-il précisé. Le précédent chiffre avancé par l'OMS faisait état mardi dernier de plus de 700 décès. Le nouveau virus A (H1N1) a été signalé à la fin du mois de mars au Mexique et l'OMS a déclaré le monde en état de pandémie le 11 juin dernier. Une pandémie qui s'est propagée dans le monde entier plus vite que jamais. Lors de pandémies antérieures, il avait fallu aux virus grippaux plus de six mois pour se propager aussi largement que le nouveau virus AH1N1 ne l'a fait en moins de six semaines. Selon l'OMS cette pandémie se caractérise jusqu'à présent par des symptômes bénins chez l'immense majorité des patients, qui guérissent habituellement au bout d'une semaine même sans traitement médical. Il faut cependant encore suivre de près, dans tous les pays, les événements inhabituels tels que les groupes de cas graves ou mortels d'infection par le virus pandémique A (H1N1) 2009, les groupes de cas d'affections respiratoires exigeant une hospitalisation, ou les caractéristiques cliniques inexpliquées ou inhabituelles associées à des cas graves ou mortels, recommande l'organisation. Un nouveau cas de grippe porcine (A/H1N1) a été confirmé dimanche dernier par les services du laboratoire de référence de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA), a-t-on appris de source proche du ministère de la Santé. Selon un communiqué, diffusé hier à cet effet, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière confirme qu'il s'agit d'une fillette de 9 ans, arrivée de Londres (Grande-Bretagne) pour passer ses vacances à Tissemsilt. La malade est hospitalisée dans un service de référence de Tissemsilt depuis l'apparition des symptômes de la grippe, jeudi, selon le ministère. Avec ce cas, le nombre de personnes atteintes est passé à 15. Il faut dire qu'en l'espace d'un mois, plus de dix cas ont été enregistrés. Selon l'OMS, la propagation du virus A (H1N1) de la grippe porcine risque d'atteindre «100%» de la planète. «Si vous considérez que la propagation de ce virus a atteint 160 des 193 Etats membres (de l'OMS), nous nous approchons de 100%, mais pas encore», a déclaré à la presse Gregory Hartl, porte parole de l'organisation. «En ce qui concerne les morts, je pense que nous sommes maintenant à près de 800 morts», a-t-il précisé. Le précédent chiffre avancé par l'OMS faisait état mardi dernier de plus de 700 décès. Le nouveau virus A (H1N1) a été signalé à la fin du mois de mars au Mexique et l'OMS a déclaré le monde en état de pandémie le 11 juin dernier. Une pandémie qui s'est propagée dans le monde entier plus vite que jamais. Lors de pandémies antérieures, il avait fallu aux virus grippaux plus de six mois pour se propager aussi largement que le nouveau virus AH1N1 ne l'a fait en moins de six semaines. Selon l'OMS cette pandémie se caractérise jusqu'à présent par des symptômes bénins chez l'immense majorité des patients, qui guérissent habituellement au bout d'une semaine même sans traitement médical. Il faut cependant encore suivre de près, dans tous les pays, les événements inhabituels tels que les groupes de cas graves ou mortels d'infection par le virus pandémique A (H1N1) 2009, les groupes de cas d'affections respiratoires exigeant une hospitalisation, ou les caractéristiques cliniques inexpliquées ou inhabituelles associées à des cas graves ou mortels, recommande l'organisation.