Au grand dam des concessionnaires, il y aura bel et bien une augmentation de la taxe sur les véhicules neufs qui sera, de surcroit, étendue à d'autres types d'automobile. Le directeur de la législation fiscale au ministère des Finances, M. Mustapha Zikara, a indiqué, hier, que la loi de finances complémentaire a prévu un relèvement de la taxe sur les transactions de véhicules automobiles neufs pour les cylindrées supérieurs à 2500 cm3 et l'extension de son champ d'application aux camions et engins de travaux publics. Le montant de la taxe passe ainsi que 100.000 à 200.000 dinars pour les véhicules de plus de 2500 cm3 qui roulent à l'essence et de 150.000 à 300.000 pour ceux roulant au diesel. Pour les camions et les engins de travaux publics, le montant de la taxe varie entre 340.000 et 500.000 dinars. En revanche, pour les petites cylindrés, le représentant du ministère a expliqué que les montants appliqués dans le cadre de l'ancienne taxe instituée l'année dernière resteront inchangés. «Outre les effets sur les recettes du fonds spécial pour le développement des transports publics, cette taxe devrait favoriser la mise en place de partenariats dans ce secteur », indique-t-on au niveau du ministère. En fait, il s'agit essentiellement, selon M. Zikar, de contribuer au financement des transports en commun, plus précisément, le tramway et le métro. A travers le relèvement et l'extension de la taxe, le gouvernement espère générer des ressources additionnelles de l'ordre de 500 millions de dinars à la fin de l'année. D'ores et déjà, durant le seul premier semestre de cette année, la taxe sur les véhicules neufs a rapporté 707 millions de dinars, selon M. Zikar. L'association des concessionnaire, qui a déjà tiré la sonnette d'alarme, a prévenu que le marché ne supporterait pas un nouvel impôt et risquerait de s'effondrer. Depuis son entrée en vigueur l'année dernière, la taxe sur les véhicules neufs a déjà induit une baisse des ventes de voiture de plus de 10%. Au grand dam des concessionnaires, il y aura bel et bien une augmentation de la taxe sur les véhicules neufs qui sera, de surcroit, étendue à d'autres types d'automobile. Le directeur de la législation fiscale au ministère des Finances, M. Mustapha Zikara, a indiqué, hier, que la loi de finances complémentaire a prévu un relèvement de la taxe sur les transactions de véhicules automobiles neufs pour les cylindrées supérieurs à 2500 cm3 et l'extension de son champ d'application aux camions et engins de travaux publics. Le montant de la taxe passe ainsi que 100.000 à 200.000 dinars pour les véhicules de plus de 2500 cm3 qui roulent à l'essence et de 150.000 à 300.000 pour ceux roulant au diesel. Pour les camions et les engins de travaux publics, le montant de la taxe varie entre 340.000 et 500.000 dinars. En revanche, pour les petites cylindrés, le représentant du ministère a expliqué que les montants appliqués dans le cadre de l'ancienne taxe instituée l'année dernière resteront inchangés. «Outre les effets sur les recettes du fonds spécial pour le développement des transports publics, cette taxe devrait favoriser la mise en place de partenariats dans ce secteur », indique-t-on au niveau du ministère. En fait, il s'agit essentiellement, selon M. Zikar, de contribuer au financement des transports en commun, plus précisément, le tramway et le métro. A travers le relèvement et l'extension de la taxe, le gouvernement espère générer des ressources additionnelles de l'ordre de 500 millions de dinars à la fin de l'année. D'ores et déjà, durant le seul premier semestre de cette année, la taxe sur les véhicules neufs a rapporté 707 millions de dinars, selon M. Zikar. L'association des concessionnaire, qui a déjà tiré la sonnette d'alarme, a prévenu que le marché ne supporterait pas un nouvel impôt et risquerait de s'effondrer. Depuis son entrée en vigueur l'année dernière, la taxe sur les véhicules neufs a déjà induit une baisse des ventes de voiture de plus de 10%.