Des émeutes se sont déclenchées, hier, dans la commune de Zerizen, à 80 km du chef-lieu de la wilaya d'El Taref à la suite de la mort d'une jeune étudiante qui a reçu sur la tête une pierre provenant d'explosions effectuées par la société Coojal chargée de la réalisation de l'autoroute Est-Ouest. Les émeutiers, touchés par la mort de cette jeune fille de 26, qui venait de terminer ses études en post graduation, s'en sont pris au siège de l'APC où ils ont saccagé le matériel informatique. Ainsi, 15 ordinateurs et un nombre considérable d'imprimantes ont volé en éclats. Par ailleurs, les contestataires ont brûlé trois engins appartenant à la société NIPON. On apprend de source crédible qu'il y a eu trois blessés sur le même chantier. Le parc automobile de l'APC n'a pas été épargné. Plusieurs véhicules ont été saccagés. La brigade anti-émeutes a été dépêchée sur les lieux mais n'a pas pu contenir les protestataires qui usaient d'une violence sans égale mesure. Un calme plat a fini par régner en attendant l'enterrement de la victime hier en fin de journée. Affaire à suivre. Des émeutes se sont déclenchées, hier, dans la commune de Zerizen, à 80 km du chef-lieu de la wilaya d'El Taref à la suite de la mort d'une jeune étudiante qui a reçu sur la tête une pierre provenant d'explosions effectuées par la société Coojal chargée de la réalisation de l'autoroute Est-Ouest. Les émeutiers, touchés par la mort de cette jeune fille de 26, qui venait de terminer ses études en post graduation, s'en sont pris au siège de l'APC où ils ont saccagé le matériel informatique. Ainsi, 15 ordinateurs et un nombre considérable d'imprimantes ont volé en éclats. Par ailleurs, les contestataires ont brûlé trois engins appartenant à la société NIPON. On apprend de source crédible qu'il y a eu trois blessés sur le même chantier. Le parc automobile de l'APC n'a pas été épargné. Plusieurs véhicules ont été saccagés. La brigade anti-émeutes a été dépêchée sur les lieux mais n'a pas pu contenir les protestataires qui usaient d'une violence sans égale mesure. Un calme plat a fini par régner en attendant l'enterrement de la victime hier en fin de journée. Affaire à suivre.
