Plusieurs catégories de commerçants, qui pointent un doigt accusateur en direction de Sonelgaz, envisagent de saisir la justice pour réclamer des dédommagements pour les pertes subies durant cette période. Plusieurs catégories de commerçants, qui pointent un doigt accusateur en direction de Sonelgaz, envisagent de saisir la justice pour réclamer des dédommagements pour les pertes subies durant cette période. Les commerçants, qui ont subi d'énormes pertes à cause des fréquentes coupures d'électricité qu'a connu l'ensemble du pays il y a quelques jours, comptent donner des suites à cette question. A travers leur associations et syndicats, plusieurs catégories de commerçants, qui pointent un doigt accusateur en direction de Sonelgaz, envisagent de saisir la justice pour réclamer des dédommagements pour les pertes subi durant cette période. C'est ainsi le cas des boulangers, une catégorie durement touchée durant plusieurs jours successifs par ces coupures. «En vérité nous n'avons pas l'intention d'aller porter l'affaire devant les tribunaux » nous a declaré, hier, le président de la Fédération nationale des boulangers qui dépend de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA). Mais Youcef Khalafat, joint par téléphone hier, devait tout de même préciser que « si toutes les portes pour régler la question des pertes subies restes closes dernière étape sera inévitablement le recours à la justice». Notre interlocuteur, qui compte organiser une conférence de presse aujourd'hui pour faire part des préoccupations des boulangers, a indiqué avoir saisi Sonelgaz, mais «sans résultat». Cette dernière lui a clairement signifié qu'aucun texte de loi ne l'oblige à rembourser ses clients pour les dommages subis à cause de ces coupures d'électricité. Selon Youcef Khalafat l'entreprise nationale d'électricité et de gaz lui a conseillé d'aller voir plutôt du coté des entreprises d'assurance. Il a alors du interpellé aussi le ministère du Commerce dans l'espoir de trouver oreilles attentive aux doléances de la corporation des boulangers. Cependant la Fédération ne compte nullement baisser les bras et espèrer que ses tentatives de resoudre cette question trouve une issue favorable. En vérité ce que souhaitent les boulangers, selon notre interlocuteur, c'est l'exonération d'impôts durant cette période estivale et, pour ce faire, ils ont d'ores et déjà, comme nous l'a annoncé Khalafat, entrepris des démarches dans ce sens auprès des pouvoirs publics. Il faut dire que les pertes subies, à en croire notre interlocuteur, sont énormes. Selon ses dires en moyenne les boulangers perdent entre 7.500 et 20 000 DA par jour surtout si la panne électrique dure plus d'une heure. «Plus de 50% des boulangers ont, ainsi, été contraints de baisser rideau et de prendre des un congé forcé alors qu'une grande partie de ceux qui n'ont pas pris des congés disposent de groupes électrogènes qui coûtent très cher puisque leur prix varie ente 40 et 50 millions de centimes et qui, par voie de conséquence , ne sont pas à la portée de tous les boulangers » a-t-il souligné. Notons que l'Algérie compte quelque 13.600 boulangeries. Les commerçants, qui ont subi d'énormes pertes à cause des fréquentes coupures d'électricité qu'a connu l'ensemble du pays il y a quelques jours, comptent donner des suites à cette question. A travers leur associations et syndicats, plusieurs catégories de commerçants, qui pointent un doigt accusateur en direction de Sonelgaz, envisagent de saisir la justice pour réclamer des dédommagements pour les pertes subi durant cette période. C'est ainsi le cas des boulangers, une catégorie durement touchée durant plusieurs jours successifs par ces coupures. «En vérité nous n'avons pas l'intention d'aller porter l'affaire devant les tribunaux » nous a declaré, hier, le président de la Fédération nationale des boulangers qui dépend de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA). Mais Youcef Khalafat, joint par téléphone hier, devait tout de même préciser que « si toutes les portes pour régler la question des pertes subies restes closes dernière étape sera inévitablement le recours à la justice». Notre interlocuteur, qui compte organiser une conférence de presse aujourd'hui pour faire part des préoccupations des boulangers, a indiqué avoir saisi Sonelgaz, mais «sans résultat». Cette dernière lui a clairement signifié qu'aucun texte de loi ne l'oblige à rembourser ses clients pour les dommages subis à cause de ces coupures d'électricité. Selon Youcef Khalafat l'entreprise nationale d'électricité et de gaz lui a conseillé d'aller voir plutôt du coté des entreprises d'assurance. Il a alors du interpellé aussi le ministère du Commerce dans l'espoir de trouver oreilles attentive aux doléances de la corporation des boulangers. Cependant la Fédération ne compte nullement baisser les bras et espèrer que ses tentatives de resoudre cette question trouve une issue favorable. En vérité ce que souhaitent les boulangers, selon notre interlocuteur, c'est l'exonération d'impôts durant cette période estivale et, pour ce faire, ils ont d'ores et déjà, comme nous l'a annoncé Khalafat, entrepris des démarches dans ce sens auprès des pouvoirs publics. Il faut dire que les pertes subies, à en croire notre interlocuteur, sont énormes. Selon ses dires en moyenne les boulangers perdent entre 7.500 et 20 000 DA par jour surtout si la panne électrique dure plus d'une heure. «Plus de 50% des boulangers ont, ainsi, été contraints de baisser rideau et de prendre des un congé forcé alors qu'une grande partie de ceux qui n'ont pas pris des congés disposent de groupes électrogènes qui coûtent très cher puisque leur prix varie ente 40 et 50 millions de centimes et qui, par voie de conséquence , ne sont pas à la portée de tous les boulangers » a-t-il souligné. Notons que l'Algérie compte quelque 13.600 boulangeries.