Une catastrophe a été évitée de justesse à la cité Berral Salah lorsque un dépôt de plusieurs tonnes de déchets de plastique, qui se trouve à quelques mètres des habitations et appartenant au dénommé Atoui Mourad, a pris feu ce dimanche à 18 h. Il a fallu 3 camions de la protection civile, des dizaines de volontaires et 2 heures de combat en plus d'une pluie diluvienne providentielle pour venir à bout du brasier. Des dizaines de familles avoisinantes ont quitté leurs maisons dans des cris et des pleurs pour fuir le danger surtout lorsque des bidons et autres bonbonnes ont commencé à exploser ; la fumée d'une densité et épaisseur inimaginables s'est étendue sur plusieurs kilomètres et a presque atteint la frontière tunisienne à l'est, provoquant ainsi une grave pollution de l'atmosphère. Heureusement qu'on ne déplore aucune victime. Dans un geste digne de la jeunesse algérienne des dizaines de jeunes du quartier ont vite fait de s'emparer des lances des sapeurs pompiers, grimper les murs de l'enceinte et s'attaquer aux flammes sans se soucier des dangers qu'ils encouraient, laissant ainsi les agents de la protection civile en spectateurs. L'utilisateur de cet espace exerçait dans la récupération des métaux qu'il vendait au complexe sidérurgique d'El Hadjar avant de se transformer en vendeur de matières plastiques à recycler, un métier qui rapporte gros. Néanmoins il n'est nullement tolérable d'autoriser un tel dépôt à proximité d'habitations. Hier soir, l'indignation des citoyens était à son comble, et ils ont juré de le chasser loin de la cité si la situation actuelle persiste. Une catastrophe a été évitée de justesse à la cité Berral Salah lorsque un dépôt de plusieurs tonnes de déchets de plastique, qui se trouve à quelques mètres des habitations et appartenant au dénommé Atoui Mourad, a pris feu ce dimanche à 18 h. Il a fallu 3 camions de la protection civile, des dizaines de volontaires et 2 heures de combat en plus d'une pluie diluvienne providentielle pour venir à bout du brasier. Des dizaines de familles avoisinantes ont quitté leurs maisons dans des cris et des pleurs pour fuir le danger surtout lorsque des bidons et autres bonbonnes ont commencé à exploser ; la fumée d'une densité et épaisseur inimaginables s'est étendue sur plusieurs kilomètres et a presque atteint la frontière tunisienne à l'est, provoquant ainsi une grave pollution de l'atmosphère. Heureusement qu'on ne déplore aucune victime. Dans un geste digne de la jeunesse algérienne des dizaines de jeunes du quartier ont vite fait de s'emparer des lances des sapeurs pompiers, grimper les murs de l'enceinte et s'attaquer aux flammes sans se soucier des dangers qu'ils encouraient, laissant ainsi les agents de la protection civile en spectateurs. L'utilisateur de cet espace exerçait dans la récupération des métaux qu'il vendait au complexe sidérurgique d'El Hadjar avant de se transformer en vendeur de matières plastiques à recycler, un métier qui rapporte gros. Néanmoins il n'est nullement tolérable d'autoriser un tel dépôt à proximité d'habitations. Hier soir, l'indignation des citoyens était à son comble, et ils ont juré de le chasser loin de la cité si la situation actuelle persiste.