Les Etats-Unis viennent, officiellement, d'autoriser l'Inde à lancer les deux satellites algériens Alsat 2A et Alsat 2B, selon un communiqué rendu public hier par l'ambassade de l'Inde à Washington. Il s'agit, d'après la presse indienne qui a dévoilé l'information hier, du premier résultat concret de la visite effectuée en juillet dernier en Inde par la secrétaire d'Etat américaine à la défense Hillary Clinton. La décision des Etats-Unis de donner l'aval à l'organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) fait suite à la signature, à l'occasion de la visite de Mme Clinton, d'un accord technique portant le lancement de ces satellites, a indiqué la même source. «L'accord autorise le lancement par ISRO des satellites algériens Alsat 2A et Alsat-2B dont les lanceurs indiens sont fabriqués avec des composants américains», a précisé le communiqué de l'ambassade. Il s'agit d'une étape très importante pour l'Algérie, compte tenu des missions qui seront assignées à ces satellites en matière de recherche spatiale sans compter que ce feu vert américain est un signe de la confiance placée par ce pays en l'Algérie surtout après s'être assuré que les satellites seront à usage civil. Lancé en janvier 2006, le programme Alsat 2 consistait en la réalisation de deux satellites à haute résolution d'observation de la Terre. Il doit être exploité pour lutter contre les catastrophes naturelles et pour une meilleure étude de la surface de la terre notamment. Pour cela, Alsat 2 «est dix fois plus précis que Alsat1», selon le directeur général de l'Agence spatiale algérienne, Azeddine Oussedik. Alsat 2 a été conduit en partenariat par l'ASAL et l'EADS Astrium, qui développent les deux satellites sous contrat du Centre national de Technologie spatiale. Le système de EADS Astrium est censé permettre à «l'Algérie d'obtenir des images de très haute qualité qui seront utilisées dans différentes applications comme la cartographie, la gestion des ressources agricoles, hydriques, forestières, minières et pétrolières, la lutte antiacridienne, la gestion des catastrophes naturelles et l'aménagement du territoire», a indiqué le groupe français. Selon EADS Astrium, «le contrat Alsat 2 prévoit la conception et le développement du premier satellite Alsat 2A, intégré et testé en France chez EADS Astrium et le second, Alsat-2B, intégré en Algérie au sein de l'Unité de développement de petits satellites à Oran». Les Etats-Unis viennent, officiellement, d'autoriser l'Inde à lancer les deux satellites algériens Alsat 2A et Alsat 2B, selon un communiqué rendu public hier par l'ambassade de l'Inde à Washington. Il s'agit, d'après la presse indienne qui a dévoilé l'information hier, du premier résultat concret de la visite effectuée en juillet dernier en Inde par la secrétaire d'Etat américaine à la défense Hillary Clinton. La décision des Etats-Unis de donner l'aval à l'organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) fait suite à la signature, à l'occasion de la visite de Mme Clinton, d'un accord technique portant le lancement de ces satellites, a indiqué la même source. «L'accord autorise le lancement par ISRO des satellites algériens Alsat 2A et Alsat-2B dont les lanceurs indiens sont fabriqués avec des composants américains», a précisé le communiqué de l'ambassade. Il s'agit d'une étape très importante pour l'Algérie, compte tenu des missions qui seront assignées à ces satellites en matière de recherche spatiale sans compter que ce feu vert américain est un signe de la confiance placée par ce pays en l'Algérie surtout après s'être assuré que les satellites seront à usage civil. Lancé en janvier 2006, le programme Alsat 2 consistait en la réalisation de deux satellites à haute résolution d'observation de la Terre. Il doit être exploité pour lutter contre les catastrophes naturelles et pour une meilleure étude de la surface de la terre notamment. Pour cela, Alsat 2 «est dix fois plus précis que Alsat1», selon le directeur général de l'Agence spatiale algérienne, Azeddine Oussedik. Alsat 2 a été conduit en partenariat par l'ASAL et l'EADS Astrium, qui développent les deux satellites sous contrat du Centre national de Technologie spatiale. Le système de EADS Astrium est censé permettre à «l'Algérie d'obtenir des images de très haute qualité qui seront utilisées dans différentes applications comme la cartographie, la gestion des ressources agricoles, hydriques, forestières, minières et pétrolières, la lutte antiacridienne, la gestion des catastrophes naturelles et l'aménagement du territoire», a indiqué le groupe français. Selon EADS Astrium, «le contrat Alsat 2 prévoit la conception et le développement du premier satellite Alsat 2A, intégré et testé en France chez EADS Astrium et le second, Alsat-2B, intégré en Algérie au sein de l'Unité de développement de petits satellites à Oran».