Constantine la ville des ponts dispose de nombreux atouts pour devenir une destination touristique prisée. Cirta l'antique regorge de sites, monuments et vestiges millénaires dont les grottes des Ours et du Mouflon, enfouies sur le côté nord de Sidi M'cid. A 16 km du chef-lieu, c'est l'important mausolée de Massinissa qui trône sur le village numide, à la croisée de deux voies importantes, celles de Cirta-Thevest et de Calama-Setitis. Ce patrimoine inestimable a subi dans le passé quelques dégradations en raison de l'expansion urbaine. Un préjudice rattrapé par les autorités à travers un programme de restauration. Un peu plus loin, sur la RN 27, Teddis s'étale majestueusement sur un ensemble de rochers durs, et de grande hauteur. Selon les historiens, elle reçut l'empreinte des civilisations libyque, punique, romaine, chrétienne et musulmane. Elle abrite, en outre, le tombeau de Lolluis Ibrucus, préfet de Rome. Bien conservé, il constitue une œuvre de grande valeur historique et architecturale. Il existe aussi d'autres vestiges qui méritent le détour, à l'image des aqueducs, des bains de César, de la résidence de Saleh Bey et du palais du dernier Bey de Constantine dont la restauration aura duré des années. Aussi, évoquer les quartiers de la vieille médina réveille une nostalgie. Quoi de plus agréable que de sentir glisser sous ses pieds les pavés de Rahbet Essouf, Erssif, Souika et autre. Le cœur de la ville n'a pas cessé de battre grâce au maintien des activités commerciales et artisanales perpétuées depuis toujours. Deux fois millénaire, Constantine enjambe fièrement le Rhummel libérant ainsi les effluves d'une ville qui remonte à très loin. Perchée sur le rocher, elle y a pris forme et vie jusqu'à ne plus pouvoir contenir son poids, celui des hommes et de l'histoire. Il suffirait pourtant de peu de choses pour qu'elle libère ses potentiels et ses atours et reconquérir son rang, comme du temps où elle était la perle du royaume numide. Constantine la ville des ponts dispose de nombreux atouts pour devenir une destination touristique prisée. Cirta l'antique regorge de sites, monuments et vestiges millénaires dont les grottes des Ours et du Mouflon, enfouies sur le côté nord de Sidi M'cid. A 16 km du chef-lieu, c'est l'important mausolée de Massinissa qui trône sur le village numide, à la croisée de deux voies importantes, celles de Cirta-Thevest et de Calama-Setitis. Ce patrimoine inestimable a subi dans le passé quelques dégradations en raison de l'expansion urbaine. Un préjudice rattrapé par les autorités à travers un programme de restauration. Un peu plus loin, sur la RN 27, Teddis s'étale majestueusement sur un ensemble de rochers durs, et de grande hauteur. Selon les historiens, elle reçut l'empreinte des civilisations libyque, punique, romaine, chrétienne et musulmane. Elle abrite, en outre, le tombeau de Lolluis Ibrucus, préfet de Rome. Bien conservé, il constitue une œuvre de grande valeur historique et architecturale. Il existe aussi d'autres vestiges qui méritent le détour, à l'image des aqueducs, des bains de César, de la résidence de Saleh Bey et du palais du dernier Bey de Constantine dont la restauration aura duré des années. Aussi, évoquer les quartiers de la vieille médina réveille une nostalgie. Quoi de plus agréable que de sentir glisser sous ses pieds les pavés de Rahbet Essouf, Erssif, Souika et autre. Le cœur de la ville n'a pas cessé de battre grâce au maintien des activités commerciales et artisanales perpétuées depuis toujours. Deux fois millénaire, Constantine enjambe fièrement le Rhummel libérant ainsi les effluves d'une ville qui remonte à très loin. Perchée sur le rocher, elle y a pris forme et vie jusqu'à ne plus pouvoir contenir son poids, celui des hommes et de l'histoire. Il suffirait pourtant de peu de choses pour qu'elle libère ses potentiels et ses atours et reconquérir son rang, comme du temps où elle était la perle du royaume numide.